I'm your ch-ch-ch-cherry bomb (PV Jezzy la sexy lutteuse)

12/11/2021

I'm your ch-ch-ch-cherry bomb

Bon c’est le temps de faire une petite tournée d’inspection autour de la baraque qui me sert de refuge pour la nuit. Putain que je me sens pris dans une routine et je commence à virer fou à faire juste les même activités. Sortir m’amuser à taper du zombie, trouver de quoi me bourrer la gueule et chanter à tue-tête. Je suis planté au milieu de l’arrondissement Popincourt ou un truc du genre. Je me suis arrêter ici car le nom m’a bien fait marré et que je me suis dit qu'il devait bien avoir des joujous de riche. Mais j’aimerais bien déconner avec une personne, pourquoi pas baiser un peu si ça s’adonne. Un trou c’est un trou et une queue n’a pas de yeux. Une de mes meilleures philosophies. Juste à penser à des mouvements lubrique fait relever mon kilt et ce n’est pas le froid qui affecte mon général à moustache qui aime monter sa tente. Mon brassard de revu à mon bras, la lame de ma canne trop superbe à la main et mon reste sur mon dos, j’ai l’air d’un vendeur itinérant. Mon casque à visière avec deux canettes de bières dessus me donne un panache que j’adore. Je me fous du comment je suis habiller. Juste pour dire je suis en chaps de cuir et en kilt. Donc j’ai mon crache yaourt à tête violet qui se fait caresser par le vent et ma zone venteuse est libre comme l’air. Je marche en restant plus ou moins alerte en dansant un peu. Je virevolte dans tous les sens comme une toupie. Comme ça je peux zieuter autour de moi en et je suis fabuleux dans mes déhanchements. Je sais que je provoque l’appétit de tous. Mais merde ces derniers temps c’est des zombies qui veulent mon cul. Au moins ça me fait du sport.

Donc me voilà en train de me promener au milieu de ce quartier fantôme. Je rêve de me trouver de la tequila,des condoms ou mon Brucie ne sera pas à l’étroit ou bien du poulet frit. En marchant dans ce paysage complètement laisser à l’abandon, je suis étonné de ne pas voir monsieur cannibale qui ne vit plus, ou bien des vrais comme Hannibal car je suis sur que ça va venir ces salauds amateurs de poulets humain, de se promener en farfouillant partout.

Bruce- Bordel les zombies sont invités à une fête! Ils ont oublié de le dire à leur vieux copain Bruce? Je suis tout tristonette! Si je les attrapes je vais leur planter mon épée dans la tronche pour leur apprendre que ce n’est pas sympa de me laisser tout seul comme un gland dans le sable.

Je fais même « exprès » pour frapper du pied une canette de Perrier qui rebondit sur le bitume. Rien du tout. Je place alors mon écouteur dans mon oreille gauche et je fredonne en même temps que le chanteur un vieux tube des années 70. Je me fous du bruit et je commence à chanter d’une voix de fausette et amusante tout en sifflotant quand c'est le moment.

Bruce- Can't stay at home, can't stay at school
Old folks say, "You poor little fool"
Down the streets I'm the girl next door
I'm the fox you've been waiting for

Hello, daddy, hello, mom
I'm your ch-ch-ch-cherry bomb
Hello world I'm your wild girl
I'm your ch-ch-ch-cherry bomb

Stone age love and strange sounds too
Come on, baby, let me get to you
Bad nights causing teena...

Ça met du pep dans une journée qui va être trop longue. Mais je suis arrêté alors en plein milieu de ma chanson par un cri d’épouvante. Mon sang se fige et même mon érection quasi-permanente retombe. C’est celui d’une femme car je l’ai entendu plus qu’une fois. Putain de merde je me revoie dernièrement avec une survivante qui était encerclé par des bouffeurs de chairs. J’ai arrivé trop car elle fut mordue. Elle m’a supplié de la tuer et ma santé mentale fragile en a pris pour son rhume. Alors pas cette fois si je peux réussir à intervenir comme Batman. Je m’élance et j’arrive en dérapant de ma jambe métallique dans une sorte de terrain vague clôturé avec des bagnoles abandonnées. Le coin favori des violeurs et des pourritures qui ont un phallus de la taille de mon petit doigt. J’arrive au moment où trois types semblent maintenir un superbe femme en tenue militaire sur le capot d’une voiture.Un type mort est étendu au sol avec la nuque brisé. L’un la gifle violemment et aussitôt me voilà le méchant Brucie. Le genre de type qui va te marteler les couilles avec son marteau pour te les faire recracher et qu’ensuite il va te les faire ravaler pour recommencer juste à l’infini et plus loin encore. Je suis encore loin et là c’est le sprint de la mort quand celui qui se tient un peu les burnes ramasse le couteau pour menacer la demoiselle qui serre des dents. Celle-ci s’arrête sous la menace et je me promets de lui faire avaler son couteau par le cul à ce type. J’arrive donc au moment pour capter quelques mots de la pourriture qui essaie de relever la manche du manteau de la femme qui se remit à se débattre avec l’énergie du désespoir.

Mauvais type- Tenez la bien les gars, j’vais lui faire la marque du gang sur le bras, histoire qu’elle nous oublie pas.

Les deux autres se mirent à ricaner comme des hyènes dans le Roi Lion. Tiens je pourrais jouer le macaque qui sait? Ils ne m’ont pas entendu arriver malgré le fait que je suis aussi discret qu'un éléphant qui tombe sur le cul. Je me plante derrière et je leur dit avec toute la haine que me provoque cette scène que tout bon père de famille voudrait jamais voir.

Bruce- Vous êtes en train de d'essayer de vous taper une demoiselle à trois gang d'enfoirés.... C’est moi ou vous ne valez pas un pet de lapin mort dans un sac de merde?

Je fais un clin d’œil espiègle et remplis de sollicitude à la femme fatale et un grand sourire encourageant.

Bruce- Désolé des mauvais mots d’oncle Brucie... Maintenant ferme les yeux car je vais leur apprendre à comment traiter une femme à ces connards d’enculés de leurs mères!

Je commence par le type qui pense être un pirate avec un couteau de l’armée entre les dents. Je balance un coup du plat de ma lame directement sur la garde de l’arme et le choc est bandant. Le gus recule en crachant la lame de combat, quelques dents et du sang en gueulant comme une vache amoureuse. Je rigole et aussitôt je me tourne vers l’autre qui manie une batte de baseball. Il se croit un cogneur de la ligue Majeur et me balance son arme vers ma tête. Dommage je saisis un couvercle de poubelle métallique pour bloquer le la frappe. Ça résonne comme un coup de gong et si je pourrais ressentir de la douleur j’aurai peut-être mal au bras pour peut-être m’empêcher de décharger ma sauce du chef ce soir. Il se replace en position et je vois une ouverture. Je lève bien haut ma bottine à cap d’acier direct dans la jonction de ses jambes. Le type hurle d’une voix de castra, la puissance de mon coup doit lui avoir émietté les burnes c’est sûr. Comme il me casse les oreilles, je l’assomme avec le bouclier de fortune. KO et je danse un peu comme déconner. Monsieur Lapin attacher à ma ceinture danse avec moi. Mais un choc dans mon dos me fait arrêter. Je ne sens pas que le dernier type vient de me planter un couteau à cran d’arrêt direct dans l’omoplate, un peu plus et il perçait mon sac à dos Dora l’Exploratrice. Je me retourne et mon regard d’azur glacier brûle de haine et de fureur. L’homme lève les mains, incrédule que je ne sois pas à terre en train de pleurer ma mère.

Type- Mec on ne veut pas d’embrouille. Cette salope à buter notre ami Karl…

Je fais mon expression 23 de type en colère et sadique à souhait.

Bruce- Si c’était un enculé comme vous trois, je l’appuie... Peace mon frère... En passant dis-moi le nom de ton gang de merde

L’idiot fait le symbole de la paix avec ses doigts en me le disant. Je le fait aussi avec ma main qui tient ma lame. Ensuite je l’envoie chier avec un doigt bien dresser et lui balance un coup de pommeau au niveau de la tempe pour l’envoyer au sol en convulsion. Celui qui cherche ses dents à le cul bien dressé et j’ai une putain de bonne idée. Je ramasse son couteau avec ma main gantée et je prends un élan. Je fais un arc parfait et le bout pointu pénètre entre les fesses du type. Il se redresse un instant sur le choc le tranchant lui déchire l’élastique brun et tombe dans les pommes en hurlant de souffrance. J’essuie alors le couteau de tranché qui semble avoir des résidus de merdes et de sang du cul du type édentés. Je l’adore ma lame et je dis à voir haute.

Bruce- Je crois t’appeler Amour... Car je vais buter avec Amour les connards de première.

Je fige en me rappelant de la demoiselle et me retourne en m’excusant comme un gentleman pris en défaut... Mais son visage me rappelle des soirées de baise intense et tout surpris, je cligne des yeux comme un personnage de manga sous le choc. Me touchant mon torse viril comme une femme de la haute sous le choc de voir mon Brucie Jr, je dis avec un petit sourire en coin...

Bruce- Succube! Happy de te voir ma badass suprême! Bordel j’attend encore tes photos coquines pour celle que je t’ai envoyer il y a un an!

Tellement concentrer sur sa poitrine qui me fait fantasmer, je ne vois pas le castra du baseball se relever avec un Famas qui pointe sur ma troche en grimaçant de douleur...

@Jezabelle Rivas

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01/01/2022

I'm your ch-ch-ch-cherry bomb

Jezabelle Rivas & Bruce O'Neil

Je ne m’attendais à rien ce jour-là, ni même à tomber nez à nez avec un groupe de pervers qui n’avais envie que de se faire ma peau, avec tout ce qui allais venir avec. Goûtant à tous ce qui aurais pu leurs plaire sur moi. Les images mentales qui me vint en tête alors que je me fis plaqué sur le capot n’avais rien de sexuelle pour ma part, je n’avais qu’une idée en tête et c’était de leurs foutres une raclée à eux trois. Je ne comprenais même pas la haine à mon égard mais alors qu’il me dire avoir tuer leur ami Karl, je me souvins du mec rencontrer à la librairie. Il m’avait croisé au détour d’une allée et s’était déjà sorti la saucisse en passant très fort me l’enfoncé. Je lui avais rappeler que dans un monde, même apocalypse, la gente féminine ne souhaitais pas retomber au bas de l’échelle. A simple pute de bas étage sur qui les mecs pouvaient se vider les gourdes. Il n’avait pas trop apprécié mon refus et avais chercher à en avoir davantage, malgré mon non consentement. Je lui avais refais le portrait mais ce n’était pas suffisant et avais essayer de me tuer en retour. Je m’étais défendu et voila l'envoyant valsé en bas de la fenêtre lui enlevant la vie par le fait même. J’avais maintenant aux trousses ses foutus connards d’amis visiblement. Je ne savais pas trop qu'elle était mon échappatoire, je ne voyais qu'une solution possible afin d'éviter de me faire traquée sans arrêt, c'était de les butés.

Il m’avait pris en tenaille dans une ruelle puis ligoter sur un capot de voiture pour me marquer au fer, malgré ma facilité a d'ordinaire bien me défendre, trois contre moi je dû me résilier , j’avais hurlé tâchant de me débattre pour les empêchés sans succès. Puis alors que je cru que c’était fini et que j’allais payer mon dû comme il se devait.

Voilà qu’un énergumène sorti de nulle part, vint à ma rescousse. Je redresse la tête à ses mots et le voit entamer le combat, me donnant la chance alors de défaire mes liens, enfin. Le premier mec ayant cracher sa lame j’en profite pour la ramasser pour détacher le nœud qui me serre les poignets.
Le combat est presque terminé il s’est bien amusé le salopard, et finalement me retrouvant face à lui je reste figer en le fixant un moment, bouche bée à mon tour. Revoyant l'espace d'un instant les vacances dans le sud pour la cohorte de l'armée, le jacuzzi, la piscine, ma chambre, sa chambre, les toilettes publiques, le restaurant.. la salle d'essayage.. bref.. la liste était longue de tout les ébats que nous nous étions amusés a faire un peu partout. On avais pris notre pied sans lendemain après tout et on s'était bien marré.

Et bah merde alors... Si je me serais attendu à cela. Dis-je en éclatant de rire, un rire qui fût franc et qui s’arrêta rapidement alors que je courais vers le mec encore en vie qui se dirigeais vers Bruce lunatique.

Le plaquant au sol tel un match de rugby, j’en profitai pour lui frapper le tibia dans mon élan, dans un mouvement virevoltant et dans un bruit sonore, l’os venait de se casser et sa gueule sur l’asphalte témoignait d’une totale inconscience pour l’heure après une plainte qui fut étouffé par quelques cailloux en pleine gueule. Il allait faire de doux rêve pendant un moment et se faire bouffer sans doute pensais-je.

Je m’étirai en frottant mes deux poignets en me retournant vers Bruce que j’approchai dans une accolade amicale. Je suis vraiment ravie de te revoir tête de gland! Tu m’as encore sauvé le cul, je te revaudrai cela! Dis-je en lui donnant une petite tape sur l’épaule en guise de remerciement.

Ces photos coquines je les ai envoyés ça fait longtemps t’es sûrs que tu n’as rien reçu? Dis-je en souriant doucement une mine taquine aux lèvres, joignant ma tignasse d’ébène dans un geste rapide pour nouer mes cheveux en queue de cheval.

Allez, on devrait se bouger d’ici avant qu’une horde se ramène. Lançais-je en regardant furtivement autour.

Putain Bruce… Je suis ravie de te revoir. Dis-je en lui souriant, rapatriant mes effets personnels pour prendre la route. Qu’est ce que tu fou là au fait ? Tu n’étais pas en Amérique ? Lui demandais-je en affichant une mine interrogatrice au visage.

@Bruce O'Neil

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12/11/2021

I'm your ch-ch-ch-cherry bomb

Devant la beauté mexicaine dont j’ai dégusté le tacos à te si nombreuses fois, mon immense général moustachu ne peut que se lever pour la saluer. La petite vicieuse semble apprécier l’immense tente qui se lève dans mon kilt et elle sait parfaitement qu’elle est VIP quand elle le désire. Elle éclata de rire et je ne peux que me souvenir de ses cuisses musclés qui s’enserrait autour de mes hanches lors de escapades coquines!Quand elle s’élança j’ouvris mes bras en grand pour l’accueillir comme il se doit. Je prend mon air ahuri numéro 7 quand elle me dépasse pour emboutir le joueur étoile qui voulait me flinguer. Oh Jazzy! Tu ne sais pas comment tu me fais de l’effet quand tu dérouille un type de cette manière.L’os brisé me chatouille l’échine et je ne peux m’empêcher et voir le type sans connaissance me donne envie de faire un peu la majorette tout en faisant une imitation de son surnom avec mes bras et mon corps musculeux.

Bruce- Donnez-moi un S U C C U B E... Ça donne Succube qui est trop torride pour exister!!!

Le cran d’arrêt dont la lame est bloquer dans mes chairs danse au même rythme un peu raide qui est pareille à ma virilité emballé et surtout à la jambe d’acier que je me trimbale.Je la laisse s’étirer langoureusement tout en la dévorant de mon regard d’azur vorace et lubrique qui semble lui plaire. Je recule sous sa petite tape avec une expression de douleur extrême pour la faire rigoler. Quand elle m’enlace, j’en profite pour lui flanquer une petite tape amicale sur son fessier, symbolique des extases du sud qu’on a partager.

Bruce- Comment ne pas sauver un cul si parfait et sexy à souhait! Voyons juste de te voir vêtue de ton plus beau sourire serait amplement suffisant! Il n’y a qu’une succube dans mon univers déjanté et je dois tout faire pour qu’elle s’amuse autant de moi!

Et voilà les points boni de séduction ringarde qui fait rigoler la galerie. Elle me parle de photos coquines pendant que ce temps là je fouille rapidement les types et une idées à la con me vient à l’esprit. Personne ne va s’ennuyer d’eux. Donc j’en couche un sur le capot, sur le dos avec une attention artistique, et lui vire son pantalon. L’autre aussi et je vais semblant de le prendre coucher sur lui et le troisième la gueule en sang encule le premier. En plus j’attache leurs lacets pour les encombrer au max et je rigole tout en prenant une photo avec mon cellulaire. Fronçant des sourcils, je dis l’air complètement perdu.

Bruce- Non rien reçu... Tu as envoyer ça à Têtedegland69@gmail.com ou bien BrucieJRMaitredesOrgasmes@gmail.com ? Le premier j’ai laisser tomber car plein de virus, mais le second est comme moi propre comme un sou neuf!

Je claque des doigts comme une idée de génie venait de me percuter et après une révérence digne de la haute avec mon kilt, je lui tends un de mes écouteurs pour qu’on savoure la bonne musique.

Bruce- On y va ma jolie! Et on se fait un petit shooting pour mes archives personnelles et mes nuits en solitaire!

On part et elle voit que ma démarche n’est plus aussi gracieuse et flamboyante que lors de la plage au mille délice.

Bruce- Non je suis rendu dans le coin depuis quelques mois. J’ai essayer de t’appeler histoire qu’on aille visiter les toilettes du Louvre, mais ton message disait que tu étais en déploiement.

Je lui fais un sourire ravageur et hoche la te^te avec ce sourire ravageur qui crée des zones d’humidité dans les dentelles intimes.

Bruce- J’ai laisser un peu le terrain pour être un consultant pour les jeux vidéos ici en France. En passant les Geeks qui t’ont vu en combinaison moulante sont encore sous le choc...

La séance de corps à corps m’avait allumer et elle aussi. Disons que ce soir là on a fait de la lutte coquine et au lieu du décompte de 3, nous avons atteint l’orgasme minimum 3 fois.

Bruce- Il se passe quoi au juste ma belle Succube? Des zombies se promènent comme des maîtresses que j’ai mis sur les rotules et marchent en cowboy... En plus ils veulent tous bouffer mon Brucie Jr!

Je rigole et je démarre une chanson de Shakira qui nous ramène lors de notre semaine de débauche. Je danse de manière lascive et sensuelle malgré le danger. Le couteau dans mon dos fait des cercle cocasse sans me procurer le moindre mal. Je rajoute comme si c’était de moindre importance.

Bruce- Dernière mission contre un affreux de catégorie violeur d’enfant et importateur de drogue, j’ai perdu ma jambe gauche au niveau du genou... Maintenant je prend mon pied littéralement... Et toi quoi de nouveau? Tu as pu te trouver un Jules ou bien tu es comme moi toujours libertin et qu’on profite de l’instant présent?
@Jezabelle Rivas

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01/01/2022

I'm your ch-ch-ch-cherry bomb

Jezabelle Rivas & Bruce O'Neil

Je n’y croyais pas du tout , me retrouver là avec Bruce, qu’elle était les chances de le revoir dans un endroit pareil? J’aurais parié au dés une somme exponentielle que je n’aurais jamais pu miser sur un truc aussi ouf. Je me retourne finalement vers lui après avoir mis au tapis le dernier mec du gang.
Je rigole en le voyant me faire une petite danse privée de cheerleading, j'applaudis doucement pour le remercier portant une main sur mon coeur en guise de remerciement sincère.

Ha putain Bruce Dis-je en grimaçant remarquant dans cette folle chorégraphie l’arme pris entre ses omoplates. T’a .. Un petit quelques choses coincés dans le dos je crois. Dis-je en affichant une mine stupéfaite alors que je viens lui faire une accolade chaleureuse en guise de retrouvaille. Il me tape le fessier et je lui prends les joues à deux mains avant de venir poser mes lèvres sur les siennes. Résultant d’une enthousiaste à le revoir sans doute. Nous voilà finalement a parler de l’envoie de photo coquine et je rigole.

Haaa merde je crois que j’ai mis BrucieJRMaitreOrgasmique.. mon erreur. Dis-je en pouffant de rire. Il claque des doigts en me faisant une révérence et il me tend son écouteur.
Je souris en le mettant dans mon oreille.

Je remarque finalement sa jambe en moins, comment j’ai pu louper ça! Il me parle finalement de sa visite dans le coin et de son essaie à m’appeler. Ouais J’ai été en déploiement et quand cette merde à commencer. Ces mon père qui a pris les choses en main avant de... devenir comme eux. J’ai dû faire ce qu’il fallait pour la suite tu vois.

Il me parle des Geeks d’Ubisoft et je rigole. Et bien tant mieux si je leurs ai donner un peu d’entrain dans leurs branlettes du soir, lançais-je en croquant un sourire en coin pour la peine.

Je n’en sais pas grand-chose pour être franche tu sais bien que je ne suis généralement pas sur le terrain d’ordinaire. J’ai parcouru plusieurs kilomètres, j’ai vue des choses horribles et j’ai dû... Tuer des gens... Autant que des morts qui l’aurais cru, on se croirais dans un de tes jeux vidéo putain... C’est le chaos Bruce et je sais pas du tout qui a foutu se merdier ici.

Je ne peu m’empêcher de rire en entendant la chanson qu’il a choisi, J’imite Bruce dans son euphorie secouant les hanches sur le Whenever, wherever, ces petits mots qui pouvait tellement signifier notre relation à Bruce et moi, relation sans attaches. Il me raconte enfin ce qui s’est passé avec sa jambe et je le regarde avec un nouvel intérêt. J’acquiesce a ses dires, au moins il ne le prend pas mal et cela là rendu encore plus timbré qu’il ne l’était déjà.

Oh moi nah… pas le temps pour un Jules Dis-je en croquant un sourire. J’était franche, je n’avais pas le temps pour une relation amoureuse, d’autant plus d’en l’heure avec ce qui se passais, qui voudrais se foutre un boulet à la cheville dans une relation perdue d’avance et dans laquelle on pouvait perdre au change? Je ne pouvais pas me le permettre, du moins par pour le moment.

Je ne suis pas aussi volatile que toi mais j’ai encore mes ailes si c’est cela ta question, dis-je en souriant en coin à ces propos. Finalisant cette phrase en lui donnant un petit coup de hanche sur sa fesse.

Et toi alors… faudrait te retirer… cette arme, tu peu pas garder ça là! Lui lançais-je en désignant le couteau.

@Bruce O'Neil

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12/11/2021

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Je suis littéralement joyeux en ce moment. J’ai retrouver ma botteuse de cul professionnel et elle est toujours aussi bandante. Je fais un clin d’oeil complice autant suggestif que lubrique et espiègle.

Bruce- Je sais ma belle guerrière. Un sac à dos Dora.

Quand elle m’embrasse, j’en rajoute une couche en lui mordant tendrement le lobe d’oreille, ce qui la rendait littéralement folle et ça débouchait sous les couvertures. Mais je deviens empathique et remplit de sollicitude quand elle me cause de son père. Je lui prend la main avec douceur et elle peut voir ma sincérité dans mes iris d’azur renversant.

Bruce- Je suis désolé, mes condoléances ma Succube...

Elle semble un peu bouleversé d’avoir tuer des gens alors que moi je me suis fait un max de points depuis le début de cette merde. Mais on s’amuse en se cognant joyeusement les fesses et on écoute de la musique qui évoque nos ébats.

Bruce- Je sais que tu devrais rester bien au chaud avec tes élèves qui se bavent dessus en te voyant faire des mouvements de corps à corps. Aussi il n’y a pas juste les Geeks qui font des soirées branlettes en songeant à toi.

Je fais une face à la Mister Bean et je pointe mes deux pouces vers moi en souriant grandement.Elle est l’une de mes meilleures inspirations pour faire du fouet et rlever la tête de mon copain à un œil. Et le voilà justement le petit coquin qui se redresse avec fermeté et qui doit donner des envies d’orgasmes au centuples à ma partenaire sexy de la fin du monde. En rigolant un clin d’oeil complice et lubrique pour lui dire qu’elle peut me faire la prise du gros paquet, quand elle le désire. Surpris j’arrête alors et lui dit avec sincérité.

Bruce- Bordel que les mecs d’ici sont aussi nuls que ça au pieux? Perso si j’aurai une beauté fatale comme toi tout près, on s’amuserait à chaque jour et chaque nuit... Mais si tu as encore tes ailes on peut s’arranger pour un jour de repos de la partie de la survie pour jouer aux lutteurs dans l’huile d’olive sexy?

Tout en innocence naturellement car bordel je suis pur et chaste des fois. Je me retourne alors plusieurs fois sur moi-même essayant de voir mon dos comme un chien fou.

Bruce- Quel arme? Dans le dos tu es sur? Ce n’est pas celle sous le kilt???

J’arrête quand je suis étourdit et je chancelle de manière comique tout en lui laissant le temps de lui enlever la cran d’arrêt. Inquisiteur je regarde la lame et sourit bêtement.

Bruce- Nop pas à moi! Prend le c’est cadeau de retrouvailles...

Je hausse les épaules et lui prend alors les hanches pour l’entrainer dans une lambada torride et amusante.

Bruce- J’ai une négation totale à la douleur... Un truc à la naissance... Super pour faire sentir les autres complètement ahuris alors qu’au lieu de me tordre de douleur je ris de leurs gueules de macaques. Aussi on est rendu couper du monde? Ou c’est la haute saison de touristes pour zombies à Paris ces temps-ci?

Je la laisse pour faire quelques pas de danse seul et quelques raides à cause de ma prothèse de merde. Un long cri strident de douleur nous averti que le buffet de salopards est découvert par nos amis les putrides zombies.

Bruce- Tu vas peut-être te trouver un Jules qui te mérite dans cet enfer ma belle Succube. Je crois que mon plat de résistance est trouver par les zombies... Dis tu as besoin d’un truc? On pourrait faire du shopping post-apo ?

Toujours partant pour faire du magasinage!
@Jezabelle Rivas

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01/01/2022

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Jezabelle Rivas & Bruce O'Neil

Bruce avait offert ses condoléances, malgré sa petite gueule humoristique d’ordinaire, dans un moment pareil, il était sincère et me fixais de son petit regard bleu ciel, me rappelant la couleur de l’eau de la plage dans laquelle nous nous étions baignés à minuit cul-nue.

Ça va mon chou, je dois passer à autre choses, dis-je une mine vide d’émotion dans le moment. Je m’étais toujours promis de ne pas m’encombrer de sentiment envers qui que ce soit pour éviter ce genre de déchirement émotif. Bien qu’il s’agissais de mon père, je dû me reprendre rapidement et oublier tout ce qui s’était passé pour mieux avancer. Certains pourrait dire que j’étais sans cœur, mais je m’en contre-fichais, je pensais à moi, a ma propre survie avant tout. J’avais montré un certain désagrément quand je lui fit part de mes quelques tueries. Je n’avais pas pris mon pied lorsque j’avais fais sauté les premières têtes. Après tout je n’avais jamais vraiment été sur le terrain et tuer des gens n'étais pas dans mon curriculum vitae.

J’avais ris à sa phrase alors qu’il se désigne entrain de m’avouer ces branlettes.
Imagine quand je t’enverrai mes photos… tu en auras pour plusieurs mois à te satisfaire Dis-je dans un rire franc, voyant le kilt de Bruce monter d’un cran.

Toujours aussi en forme à ce que je vois!

Je lui avoue finalement que je n’ai personne, pas de Jules, comme il le dit si bien et il semble choqué. Haha J’en prend note Bruce de cette petite invitation huileuse super invitante.
Finalement je lui demande de prendre un moment pour retirer… l’arme fichu dans son dos.

Nah pas sous ton kilt… Dis-je en riant… Mais bon sang comment tu fais pour pas la sentir putain, elle est carrément plantée là… argh je grimace en la voyant. Il me dit de la garder en guise de cadeau de retrouvaille. Et bah ça alors ! Euh.. merci? Je rigole en le remerciant d’une petite révérence amusée.

T’es un sadique tu le sais ça ? C’est complétement dément cette histoire, sa me donne juste envie d’essayer de te torturer maintenant. Dis-je en rigolant alors qu'il venait de m'avouer qu'il ne ressentais pas la douleur depuis la naissance.

Bruce me dit que je vais surement me trouver un Jules un de ses jours. J’hausse doucement les épaules.

Je préfère ne pas chercher, on verra ce que sa donneras non? Je n’ai pas envie de vivre des déceptions ou quelques choses de super mélodramatique, sa me tuerais à mourir.
Dis-je en croquant un sourire.

Va pour le shopping, je sais exactement ce qu’il te faut, sur la troisième avenue j’ai vue un sexshop! Parfait pour toi mon chou! Dis-je en rigolant déjà en l’imaginant dans un string léopard. Je le suivis dans sa folie dansante profitant de ce moment pour oublier le chaos ambiant qui régnais partout. On s’amusais bien là, sans se prendre la tête.
On arriva à l’endroit en question, je vis une silhouette un peu plus loin, cheveux de blé qui s’était volatilisé aussi vite qu’arrivé.

Ta vue ce que j’ai vue où je suis en mode hallucination?
demandais-je à Bruce qui me talonnait de près.
La vitrine du magasin était complètement détruite. Le bruit de verre cassé sous notre poids grinça, signalant notre présence. J’écouta doucement en me demandant s’il y avait quelqu’un à l’intérieur ou une de ses choses.

@Bruce O'Neil

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hell is empty and all the devils are here. @bruce o'neil & @jezabelle rivas

outfit - Tu ne comprends pas tout ce qu'il peut bien se passer, et tu n'as aucune idée de l'état de certains arrondissements de la Capitale. Coupée du monde, dans ton petit café littéraire abandonné et sécurisé par tes petits soins. Il te faut pourtant te déplacer lorsque tes provisions s'amoindrissent, lorsque ta survie t'y oblige. Seule au monde. Tout comme tu es venue au monde, sans l'avoir décidé, sans rien avoir demandé, sans rien attendre. La benjamine de la famille Evans, l'enfant oubliée, la silencieuse, la petite souris laissée en tout temps de côté. Aujourd'hui, tu dois pourtant affronter ce monde dans lequel tu te caches depuis vingt longues années. Tu as besoin de vivres, un peu de nourriture afin de pouvoir rester cloitrée. T'as quitté le cinquième arrondissement de Paris pour traverser la ville à pas de loup. T'as un certain talent pour te faire oublier, et encore plus pour ne pas te faire voir par ces corps en putréfaction. Ces corps qui malgré la mort qui les habitent bougent au gré du vent. Aller Gwendolyne, tu peux y arriver. Tu déambules avec prudence, aux aguets du moindre bruit - du moindre grognement. Tu ne sais pas trop où tu te rends, mais tu y vas, avec un seul but précis ! Coin de rue, les uns après les autres, c'est au détour d'un nouveau que tu tombes sur une vitrine brisée, le verre craquelant de son chant ta présence sous tes pas. Tu avances prudemment, avant de grimacer en sentant quelques bris sous tes semelles - te dandinant un peu pour les retirer. Mais quand tu entends des pas dans ton dos, tu te retourne avant de sentir une douleur muette. Une douleur à laquelle tu ne hurles pas, ta respiration se coupe, ton corps se tétanise, et la lame pourtant ne reste pas dans ta chair. Tu grimaces, les lèvres tremblantes, tu vois le carmin rouler sur le couteau qui a servi d'arme, le tiens. "Putain t'es pas un zombie ! T'es qu'une pauvre gamine ! T'APPROCHES PAS !" Mais tu ne prononces pas un seul mot, portant ta main à la blessure sanguinolente. L'inconnu s'enfuis en te laissant là, comme ils l'ont tous fait par le passé - tes persécuteurs.

T'es effrayée, et tu as peur que l'odeur de l'essence de vie attire les morts en mouvement. Alors, tu fuis. Tu prends le premier embranchement pour faire le tour - comme pour effacer tes traces. Pour seul indicateur de ta présence quelques gouttelettes de sang et ta chevelure dorée qui s'évapore sous tes mouvements. Tu rejoins - sans le savoir - le magasin à la devanture brisée pour te cacher. Pour chercher de quoi panser grossièrement ta blessure jusqu'à ce que tu puisses à nouveau rejoindre ton antre. Tu fouilles, tu retournes parfois les objets qui se trouvent sous tes prunelles à la recherche de n'importe quoi. Du moment que cela fasse l'affaire. Tu trouves là un linge impeccable, tes traits se déformant sous ta gestuelle lorsque tu te montre bien trop brusque avec toi-même. Le fond d'un alcool fera largement l'affaire en qualité de désinfectant, mais alors que tu commençais a retirer ton pull pour soulever par la suite ton débardeur et voir l'état de ta chair abîmée, des voix retentissent. La peur vrille à nouveau tes entrailles, rangeant les affaires dans ton humble sac - garni de livres, d'une bouteille d'eau et de quelques effets personnels. Tu avances lentement, ton petit canif entre tes doigts frêles et incertains. Lorsque tu passes la porte donnant sur le coeur de la boutique, tu ne réalises pas de suite dans quel type de magasin tu es. Pas jusqu'à temps que tu croise un grand brun avec un objet phallique ventousé à son front, et dans une tenue fort dénudée. Pour seul tissus un imprimé léopard cachant sa dignité. Tu détournes ton regard en reculant - percutant une femme dans ton dos - ce qui te vaux là un sursaut. « Je... J-je suis d-désolée. » La situation t'échappe, et ton bégaiement s'éveille avec force. Tu recules encore, tenant une certaine distance avec les deux individus. « N-non... » Que tu lances lorsqu'un l'un d'eux essaie de t'approcher. Roulant en boule ton pull ébène pour cacher ta blessure. « J-je ne v-veux pas v-vous im-importuner. » Tu pinces tes lèvres lorsque ton dos rencontre le mur - prise au piège et tétanisée face à ces deux personnes qui semblent pourtant te venir en aide. « L-laissez m-moi part-partir. S-s'il vous p-plait... » Ca va aller Gwendolyne, respire.

12/11/2021

I'm your ch-ch-ch-cherry bomb

Je suis littéralement pris d’un fou rire contagieux et de bon enfant quand ma sexy lutteuse qui adore me faire la prise du gros paquet me traite de sadique. Je la regarde alors avec ce sourire à la Joker et innocentent je me balance le bassin pour qu’elle voit que mon Brucie Jr lui fait un salut patriotique.

Bruce- Des promesses... Tu vas tomber d’épuisement et je vais devoir te faire du bouche à bouche et faire une bonne transfusion de tequila pour qu’on débute le round 2, 3, et 4 comme dans le resort... Tu te souvient que le staff nous avait donner une cabane sur pilori VIP isolé? Je crois qu’on l’avait foutrement gagner.

Disons qu’avec nos séances de combat lubrique, nous avons déranger une partie de l’ile sûrement. Je me souviens que les femmes avaient demander à ma Succube bandante si on était un couple et sinon qu’elle pouvait me présenter. Je crois que ma Jazzy, je l’ai baptiser comme ça, est du genre gourmande et moi pourquoi aller m’amuser ailleurs alors que j’avais la perle sexuelle de la semaine? Disons simplement que je m’ennuie de ces moments et j’aimerais bien la faire crier d’orgasmes au milieu des meuglements jaloux des zombies qui aimeraient tant nous bouffer. Tout en se promenant avec légèreté et surtout un bonheur croissant, elle me dit qu’elle ne cherche pas d’homme. Je ne peux que sourire davantage et surtout laisser cet éclat lubrique et charmeur scintiller dans mon regard d’azur renversant et qui fait naître le feu du désir charnel dans bien des demoiselles.

Bruce- Pour les besoins physiques, il y a Brucie Jr qui t’adore te faire grimper aux rideaux. En fait depuis toi, je n’ai pas rencontrer une femme qui m’a fait perdre la tête comme tu sais le faire. Je serais toujours là pour toi ma belle Succube.

Un compliment venant de la part de l’envoyé du Dieu de l’orgasme que je suis. Bordel juste là revoir en bikini ça me remonte autant le moral que le kilt. Quand elle me parle de sexshop, je lève les bras au ciel en signe de victoire et je la saisi par la taille pour l’embrasser avec la fougue et la passion que nous aimons tant. Quelques morsures de plus au niveau de son cou de cygne pour nous enflammer et je lui chuchote.

Bruce- Tu vois Bella tu es parfaite! Moi j’ai un petit truc dans mon sac et un gros truc sous mon kilt juste pour toi!

Je la laisse aller un peu vers l’avant pour que je profite de ce cul qui me fait fantasmer. Sa face nord est juste torride et si je sentirais le mal, mon érection me ferait littéralement souffrir le martyr. Alors elle s’arrête pour parler qu’elle a vu quelqu’un dans la boutique alors par exprès je lui rentre dedans. Je l’enlace par les hanches pour regarder par dessus son épaule et le plus sérieusement du monde je lui mordille le lobe comme dans le temps. Je lui murmure alors avant de me dégager pour éviter un coup de sa part.

Bruce- Désolé pour la collision. Nous devrons faire la paperasse et je suis un mauvais élève... Donc tu choisi mon prochain costume pour qu’on puisse dîner tête à tête.

Dans le sud on mangeait au souper à chaque soir, s’allumant littéralement l’un et l’autre avant d’aller danser sensuellement et de finir ça dans le lit... ou le bain ou n’importe où en fait. Mais on doit faire attention quand même pour arriver aux orgasmes à répétions. Laissant surgir mes réflexes de vétérans pur et dur, Brucie Jr remporte la palme du dur en ce moment, on pénètre dans le magasin qui c’est fait défoncer avant nous. Ce n’est pas grave, je suis habituer agrandir l’espace là ou les autres on passer. On trouve rien lors de notre tournée d’inspection, juste des mannequin ayant des habits sexy. Je prend alors un minuscule string léopard et je fais un clin d’oeil complice et langoureux envers ma partenaire du moment.

Bruce- Tu te souviens de mon maillot qui te faisait rigoler... J’ai son petit frère!

Sans pudeur, j’ai perdu ce truc au même moment que j’ai perdu mes raisons de vivre, je me fout à poil et j’enfile le string malgré mon érection monstre. Brucie Jr doit ressembler à Pinocchio qui a raconter une douzaine de mensonges. Je rigole et je trouve un phallus mauve presque aussi gros que le mien. Ventouse inclus. Sans hésiter je me la colle dans le front et je saute devant ma sexy Succube pour la faire rigoler.

Bruce- Je suis un Bruceorgasmicus sauvage! Attrape-moi avec tes deux immenses Pokerball!

On rigole un peu et je la perd de vu. Un mouvement m’attire alors et je saute dans la position d’un chat sexy. Ce n’est pas ma sexy chica, mais une blonde totalement effrayé. Surpris je bouge de la tête comme pour l’hypnotiser avec le dildo sur mon front. Bordel elle bégaie comme une bouilloire qui commence cracher. Ma Succube arrive et je vois que la petite est blessée. Naturellement mon membre devient alors une mi-molle, prête à se lever pour l’action, mais ne pointant plus son canon immense sur des cibles tentantes. Je lève mes mains dans un putain de geste apaisant et lui décroche un sourire autant ravageur de confiant.

Bruce- Tu nous dérange pas. On cherchait des articles coquin pour une soirée privée plus tard.

D’un geste j’enlève le phallus pour le balancer derrière mon dos. Je sais que je suis comique et ahurissant dans ma belle tenue, mais je dois lui expliquer un ou deux trucs.

Bruce- Moi c’est Bruce et je suis un ancien infirmier de combat. Elle cette beauté latine et torride c’est Jezabelle. Tu pourras quitter c’est sur. Mais ta blessure me fait mal au cœur. Je peux te soigner... Regarde je vais aller m’habiller et je reviens. Car tu semble pas habituer de voir un étalon comme moi!

Je laisse Jazzy lui parler pendant que je part vers mon kilt avec ma démarche dandinant qui met en valeur mon cul exquis et musclé. Je sais qu’elle doit avoir eu peu du type bourrer de tatouage comique et symbolique, d’implants et piercing corporels rigolos et d’immenses cicatrices qui relate mon passé de chien de guerre. En plus une prothèse disons que je peux paraître fou alors que je me vois comme une licorne flamboyante!

String:

@Jezabelle Rivas

Musique qui joue dans l'oreille de Bruce!:

Codage par Libella sur Graphiorum

01/01/2022

I'm your ch-ch-ch-cherry bomb

Jezabelle Rivas & Bruce O'Neil & Gwendolyne Evans

Bruce et moi on avait passé du bon temps dans le resort lors de notre convention de travail. On n’avait pas à rendre de compte à personne de toute manière et le fait qu’on nous avait offert une cabane privée pour nos partouzes sexuelles nous avaient foutrement fais marrer. C’était un message subtil pour nous demander d’arrêter de faire ça n’importe où visiblement.

Le fait qu’il en fasse la remarque me ramena des souvenirs et je ne pu retenir un éclat de rire à ses mots. J’avais même eu droit à des demandes féminines sur la disponibilité de cet étalon.J’imagine qu’elles avaient une envie de prendre leurs pieds aussi? Il y en avait même une qui était mariée dans le lot, c’était à croire que son mari ne faisait pas son boulot comme il faut.

Bruce était amusant à souhait et j’avais rigolé de nouveau alors qu’on entama la marche jusqu’au fameux sex-shop. Je m’étais prestement arrêter en voyant une tignasse de blé dans mon champ de vision. Bruce m’avait littéralement foncé de dedans et mordilla mon lobe d’oreille ce qui provoqua quelques frissons, il me connaissait bien parce qu’il s’était déjà dégagé de moi pour éviter que je le frappe.

Où tu vas tête de noix, tu aimes bien que je te frappe d’ordinaire. Lançais-je dans un rire. Je le suivis jusqu’au magasin en question et pénétra à la suite de celui-ci. L’endroit avait déjà été piller mais il restait encore plusieurs trucs, Bruce en moins de deux se fou à poil, enfile un string et se colle un phallus mauve dans le front. Ha bon sang… Je pouffe de rire à cette vision ma foi unique. Je m’éloigne finalement pour attraper, des sous-vêtements un peu osés de rechanges que je fou dans mon sac.

J’entend la voix de Bruce s’élever un peu plus loin dans le magasin mais ce n’est pas à moi qu’il parle. Visiblement il est débile ou à trouver quelqu’un ou quelques choses. Je me rapproche doucement et je l’entends se présenter à ce qui semble être une jeune fille effrayer qui me fonce dedans de reculons. La pauvre voire Bruce ainsi dans ses plus simples apparats en guise de première rencontre. Ce n’est pas la joie. Mais elle se tourne vers moi et babille quelques trucs complètement tétanisés.

Mouais va t’habiller… Dis-je dans un rire pour Bruce. Moi c’est Jezzabelle au fait, tu ne nous importunes pas tu sais… navré que l’on t’aille fait peur. On va te laisser partir quand Bruce aura soigné ta blessure d’accord? Dis-je sur un ton qui se voulait rassurant, un regard sombre et sincère posé sur elle.

@Bruce O'Neil @Gwendolyne Evans

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