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Bloody hell!

Alair Goodman
Alair Goodman



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Bloody hell! EmptySam 8 Jan - 16:03
Bloody Hell!!!


Je me lève de bon matin. Avec l'ardeur de mes vingt ans, mais les articulations de mon âge vénérable, je fais quelques étirements. Bonté divine que je n'aime aucunement ces claquements secs que mes articulations font en protestant énergiquement. Ils ont l'air de me crier de me supplier, d'arrêter cette torture. De me plonger sous la douillette de mon lit et de ne plus relever avant mon prochain anniversaire. Mais je les laisse hurler de souffrance, je dois rester stoïque et démontrer un peu de fierté que diable. Depuis ces derniers jours ou le chaos semble s’être invité un peu comme une plaie virulente d’Égypte, je ne peux que remercier la providence de la chance de cocue que je semble posséder de manière incongrue. Pouvoir respirer, boire un thé et pouvoir éviter ces colporteurs dines des âmes qui arpenter les lieux comme le célèbre Styx. Que demander de plus. J’essaie de soutenir quelques survivants, la pluparts des touristes étrangers pris dans la même tourmente que moi. Mais c'est devant ces personnes qui semblent épanouies que je sens les nombreuses années qui m’affligent. J'essaie de les suivre, mais c'est humainement impossible. Je m'habille en grommelant dans ma barbe. Mes bottes de randonnées, mes jeans, ma chemise à carreaux et ma veste de cuir en mouton. Je me regarde dans mon miroir et je ne peux qu'apprécier l'élégance que je dégage. Même si la fin du monde est à nos portes, avoir un minimum de savoir-vivre et surtout une classe typiquement britannique est de rigueur pour mon propre orgueil. Je saisis ma canne de marche, élément incongru durant cette époque  chaotique j'en conviens. Mais la lame d'acier caché à l'intérieur m'a été d'une grande assistance dans des situations des fois délicates ou bien catastrophiques. Et avoir l'air désarmé peut donner l'avantage dans une escarmouche. C'est ce que mon vieux professeur d'escrime d'Oxford se tuait à nous dire. Paix à l'âme de cet homme qui sans le savoir m'a façonnée pour me défendre dans cette contrée inhospitalière. Elle est devenu ma fidèle compagne et j’adore caresser le pommeau qui ravive tant de souvenir. Et je vous entends penser, ça m’arrive encore à mon âge de faire du Dieu seul me voit. Mais c’est hors propos que je ne vais pas m’étendre sur le sujet. Tout près de la porte de ma chambrette, je vois ma sacoche de cuir de médecin itinérant qui me suit depuis des lunes. Du matériel de soins, une gourde d'eau, quelques conserves et une vieille lampe de poche à manivelle se trouvent  à l'intérieur.

Rassurer par ma dégaine, je prends la direction de la sortie du refuge endormi. En sortant je sonde les alentours. Il fait encore entre chien et loup. Je prends une grande respiration et je commence à descendre les quelques marches de béton de l’ancien temple du savoir que nous avons à la hâte fortifié. Une main immense se dépose sur mon épaule. Bonté divine j'ai failli souiller mon pantalon. Je pivote ma tête d'un quart de tour et je vois le regard intransigeant de Leroy, un américain colossal. Il me demande où je vais. Je lui tapote gentiment sa main qui est plus grosse que ma cuisse. Je lui fais un sourire charmant et désarmant. Je vais en promenade, mon cher Leroy. Je croyais vous l'avoir dit hier? Même les Rednell  m’ont accordé cette petite promenade de santé pour que je puisse mettre la main sur des fournitures essentielles. Les yeux du géant se perdent un instant. Je sais qu'il cherche dans sa mémoire qui est surtout centrée sur ses domaines de prédilections. À voir démolir des infectés avec sa hache de pompier et causer des dommages importants à ceux qui auront l’audace de s’en prendre à notre refuge. Il hoche la tête et me dis de faire attention. C'est drôle, je crois qu'il m'a adopté le gaillard. Un peu comme un père de substitution. Et je ne m'en plains aucunement. Qui ne rêve pas d'avoir un colosse de la sorte comme ami? Leroy aurez l'obligeance d’avertir les belles aux bois dormants de mon départ je vous prie? Je ne veux surtout pas causer d’inquiétude à qui ce soit. Je salue le vétéran lui disant au revoir de manière polie et chaleureuse, je commence mon périple à pieds.

J'adore ce petit quartier fantôme, cette nature morte de béton et de ferraille qui commencent à se préparer pour l'hibernation d'un hiver rigoureux. Le chant des oiseaux m'accompagne, me permettant de me sentir en sécurité. C'est mon ancien employé de ferme qui m'a fait remarquer que les animaux se taisaient à l’approche d’un prédateur. Donc à condition que les oiseaux gazouillent, je peux être serein. Quelques fois, durant ma marche de près de vingt minutes pour rejoindre mon objectif, j'aperçois des silhouettes empêtrer. Que ce soit dans des véhicules bloqués dans des embouteillages mortels ou bien immobilisés sur des clôtures qui encerclent les résidences privées des environs. Je pourrais apporter la miséricorde à ces pauvres bougres, mais je n'aime pas trop me placer dans une position délicate. Le seul bruit qui accompagne mes pas, à part le bruit de mes talons frappant l'asphalte et les oiseaux, et le claquement de ma canne le sol. Je prends le chemin vers un magasin de grande surface, un qui porte pignon sur rue dont chaque grande ville possède. Je descends la rue principale, ma démarche droite et noble contraste avec les alentours. Des voitures abandonnées, des maisons aux portes à moitié arrachées et des cadavres pourrissants au soleil m'indiquaient la violence que le secteur avait vécue. Je revoyais la population souriante française de mon passé. Comme si leurs esprits n'avaient pas quitté leur lieu de résidence. Passant à proximité du bureau de poste, je vis la forme reconnaissable d’Adrien. Vieux facteur qui adorait les échecs. Mais hélas le virus l'avait mis Mat. Il était prisonnier de son local grillagé. Mais à part ce pauvre type, je ne vis aucun autre cannibale qui se dirigeait vers la cible tentante que je devais représenter. Sûrement que les habitants décédés avaient plié bagages pour poursuivre un but qu'eux seuls connaissaient. Je me retiens de sourire devant l'image d'une envolée en « V » de cannibales à moitié putrides émigrants vers le sud pour l'hiver. Je m’infligeai alors une gifle mentale pour chasser cette image qui était à la fois inappropriée et saugrenue à souhait. Je devais rester concentrée et alerte. C'est souvent durant le moment où on rêvassait qu'un râtelier gourmand se plantait dans notre chair. J'eus un petit frisson et évitant soigneusement les voitures stationnées ici et là, pour éviter les systèmes antivol ou bien les occupants transformés piégés à l'intérieur, je gravis les quelques petites marches pour me rendre à mon but.

Le lieu de prédilection pour les achats des environs. Comme se plaisait de dire feu l’employé à l’accueil à chacune de mes visites précédent le drame. On trouve de tout même un ami. Poliment je souriais à cet humour dérangeant des assidus de la langue de Volaire. J'aime mieux le pince-sans-rire de mon Angleterre chéri. Les portes vitrées étaient barbouillées de croûtes cramoisies. Un sinistre accueil qui me fit hésiter un instant. Mais je me ressaisis en pensant à la distance que je venais de parcourir. Revenir la queue entre les jambes ne me disait rien qui vaille. Je pousse alors la porte, m'attendant à qu'elle soit verrouillée. Non j'ai une demi-chance alors. Demi malchance si je pousse l’audace. Car j'avais oublié la satanée clochette d'accueil en haut du battant qui semble être une loi non écrite des commerces au travers du globe. Le battant la touche, faisant tonner le petit tintamarre métallique. Je ne peux m'empêcher de sursauter et d'exclamé tout haut un « BLOODY HELL» bien senti. Ce n'est pas très prudent, ni très sophistiqué de ma part. Mais c'était naturel et intuitif. J'écoute alors attentivement, persuadée d'entendre des gémissements. Mais rien. Je ne peux cacher ma surprise et j'entre donc dans le magasin. Une odeur de lait caillé et de viande avariée m'accueille. La section alimentaire est tout près de la porte d’entrée. Je respire maintenant par la bouche. Des étagères renversées et vides m'accueillent. Mais c'est la petite pharmacie au fond qui m'intéresse au plus haut point. Et si j'ai la main chanceuse, je pourrais peut-être mettre la main sur une friandise pour la fillette des Rednell. Mais je ne fonde pas vraiment d'espoir sur les possibles découverts de ma journée. Au plus, j'aurais surement des ampoules aux pieds. Le bout de ma canne claque quelques fois au sol. Une vieille habitude de gentleman qui n'est pas le plus approprié pour le point de vue discrétion.

   
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Bloody hell! EmptySam 8 Jan - 22:47
Nous avons avancé aussi loin que nous le pouvions, loin de ce gymnase de malheur dont les souvenirs ne me quittent pas. Je me souviens du regard de cet homme qui avait compris que s'était la fin pour lui, que la morsure qu'il avait reçu était comme un poison qui, déjà, prenait sa place dans son pauvre corps. Je me souviens de cette mère qui vois son enfant pleurer, elle va mourir et les deux le savent. Puis je me réveille en sursaut. Des gouttes de transpiration coulent dans mon décolleté et sur ma nuque. Je m'asseoir dans le lit de mon camion et passe ma main dans mes cheveux. Samuel dors sur le canapé de fortune. Nous avons trouvé une place, un stationnement dans un coin tranquille, une ruelle où, visiblement, les morts n'ont pas vraiment d'intérêt. On les vois parfois passer à côté du camion aménager mais ils ne s'arrêtent pas tant que nous restons silencieux.

Nous n'avons pas retrouvé Jackson, ce dernier est partie et nous a laissé, il m'a abandonné et je lui en veux terriblement. J'espère le retrouver en vie mais je crois bien que ce sera une rupture pour nous. Est ce que c'est déjà le cas ? Peut être qu'au fond de moi je l'imagine ainsi, il a tué mon amour en filant à l'anglaise. Samuel est toujours là et prend soin de moi. Enfin j'ai parfois l'impression d'être un poids pour lui, un boulet et j'ai décidé de ne plus être cette princesse que l'on doit secourir. Je m'attache les cheveux en une queue de cheval haute. Je suis prête. Je prends mon sac à randonné. Je l'ai vidé au maximum, juste de l'eau et quelques vivres histoires de pouvoir encore survivre dehors. Il n'y a plus grands choses déjà dans les magasins et même les maisons ont été pillés. Le danger est partout et je suis incapable de réellement me défendre mais je veux tout de même aider.

J'avance doucement à pas de chats, je m'abaisse au niveau du canapé et pose ma main sur l'épaule de mon ami qui grogne un peu en baillant. - Je vais allez voir au centre commercial. Je n'en ai pas pour longtemps. Je serais prudente. Je lui souris, nous avons déjà eu cette conversation hier, j'ai besoin, je crois, de sortir seule pour me prouver à moi même que je peux le faire, que je ne suis pas un poids. Je prend mon pistolet bien que je ne sache pas m'en servir et mon couteau puis je regarde par les fenêtres si je ne vois rien avant de sortir, je ferme la porte silencieusement et me voilà partie . Le supermarché n'est vraiment pas loin, au détour de la ruelle simplement. Nous sommes bien placés je crois.

Ma main se serre autours du couteau, j'ai terriblement peur mais au moins je suis discrète. J'entends un grognement et je cours un peu, silencieuse comme le chat. Le magasin n'est pas loin je le vois. Je passe à côté d'une voiture et je sursaute alors que ce qu'il reste d'une femme claque des dents derrière la vitre de sa voiture. Ma main se pose sur mon coeur, j'ai eu tellement peur ! Je souffle un bon coup et j'avance, plus que quelques mètres, je suis bientôt à l'intérieur.

Je passe les portes entrouvertes et les referment derrière moi sans un bruit, ça put alors je met mon keffier un peu plus haut sur mon nez. J'y ai mis quelques huiles essentielles ainsi je n'ai pas l'odeur de la nourriture qui pourries, ou de l'humain zombifié. C'est déjà bien ! Je fouille ici et là il ne reste pas grand chose mais on a toujours possibilité de trouver un objet utile. Mon regard se pose sur un paquet de briquet que je glisse dans mon sac. Soudain la cloche du magasin teinte et je sursaute. Je me planque derrière une étagère et serre à nouveau mon couteau dans ma main . Je regarde avec discrétion et vois un homme, il semble âgé et avec une canne. je me rapproche doucement sans bruit.

Je ne sais pas si je dois lui parler ou non, si s'est une bonne personne ou non mais mon regard se pose sur un ancien employé - du moins si j'en crois sa chemise qui porte encore son nom. - il rampe au sol et sa main est proche du pied de l'homme. - Attention ! Je lance ça comme une bombe à faire sursauter le pauvre homme mais ma main attrape son bras pour le tirer vers moi et lui éviter le cadavre au sol qui est coincé sous une étagère. - Vous allez bien ? mon regard est doux et inquiet à la fois alors que le pauvre maccabé semble bien déçu de ne pas avoir pu croquer la cheville de cette homme, du moins si on en crois ses grognements.
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Bloody hell! EmptyLun 10 Jan - 2:08
Bloody Hell!!!


Je m'avance de quelques pas dans cet arôme pestilentiel. Je pourrais me croire transportée près de la Tamise durant l'ère féodale. Détritus, putréfaction et autres effluves des plus désagréables essaient de s'infiltrer dans ma gorge pour me faire gerber. Bonté divine! À quand cette satanée porte de ce commerce de malheur fut ouverte pour la dernière fois. Mais une inquiétude me fit dresser l'oreille. J'essaie de percevoir de nouveau un grattement de pied, un grognement affamé d'un cannibale décrépi. Aucun mouvement ni son suspect ne viennent perturber le silence pesant. Je relâche enfin un peu de tension de mes trapèzes et de mes lombaires. Je pourrais me ruer vers la pharmacie du magasin de grande surface, mais la prudence la plus élémentaire me retient de faire une stupidité. J'ai suivi mon mantra toute ma vie, à savoir prudence est mère de sûreté et je suis encore là à respirer l'air corrompu en comparaison d'une multitude d'autres. Une inspection de ce charmant environnement nauséabond me tend les bras. Je dois m'assurer qu’aucun carnivore ne décide de faire de son quatre de mon corps. J'ai bien envie de rester encore quelques années sur cette boule de boue où des êtres putrides se prélassent la gueule pleine de sang qu'est devenue la terre. Je montrerais à ces Français ce qu'est le stoïque et la droiture d'un digne représentant de Sa Majesté. Passant en vitesse devant les réfrigérateurs où les vers blancs semblent copuler joyeusement sur des tranches de viande faisandées, je zieute les portes vitrées des boissons. Naturellement il n'y a plus vraiment d'alcool ni de boissons de toutes sortes. Avant la nourriture et les produits essentiels, l’humain moyen devait chercher de quoi se saouler. Et après les peuples se sont demandé comment les Anglais ont réussi à devenir une grande nation.

Enfin soit, passons le cours d'histoire qui est aussi superflu que le café instantané. Mais deux canettes, de bières d'une marque populaire, semblent avoir survécu au braquage des survivants. Comme je suis un bon samaritain, je les place dans mon sac. Au moins, elles vont trouver des compagnons pour les apprécier au refuge. Toujours aucun ne mouvemente et j'enjambe une étagère métallique renversée. Hors une acclamation tonna et malgré le stoïque et le flegme qui se dégage de ma personne, je sursaute légèrement. Une pauvre âme en peine rampe avec difficulté pour essayer grossièrement de prendre une bouchée dans ma cheville.Je plonge alors mon regard d’acier bleuté vers une magnifique demoiselle. Je lui fais don d’un sourire apaisant et surtout remplit d’une gratitude sans artifice.

D’un coup de talon j’achève le pitoyable représentant de la Faucheuse. Je vous remercie ma chère Milady. Oui je me porte bien malgré la lourdeur de la puanteur et vous? Je lève mes mains, tenant tout de même ma canne-épée dans ma paume directrice, en signe d'apaisement. Je recule d'un pas. J'essaie de capter son regard pour y plonger mes yeux. Mon regard d’acier bleuté reflète l’apaisement et aussi la douceur même. Un contact visuel peut m'apprendre beaucoup de choses. Mais le visage de ma potentielle bienfaitrice est masqué par la pénombre. Au moins, je suis calme, stoïque et ayant le flegme typiquement Britannique comme allié. Je fais un petit sourire qui est rassurant. Bonjour ma chère. Je ne veux aucun souci. Je m'appelle Alair Goodman et vous? Mon timbre de voix ne tremble pas. Il est même hypnotique et pointu. Charmant, doux et même exotique selon plusieurs. Je hoche la tête dans sa direction en un salut honnête et sans arrière-pensé. Je voudrais exercer la bienséance et faire preuve de civilité en vous saluant dignement. Mais je vais m'abstenir pour l'instant. J'espère que vous n'allez pas m'en tenir rigueur. Gentleman à la vie à la mort. C'est mon crédo et je peux facilement faire passer James Bond pour un paysan sans aucune classe.

Je commence à l'instant une nouvelle discipline. Parler en essayant de respirer par la bouche. Pour me préserver de l’arôme douteux. Et essayer de m'empêcher d'être une passoire d'un instant à l'autre me donne des ailes. En donnant des informations sur moi, j'espère me rapprocher d'elle. De lui rappeler que nous sommes tous humains et dans la même galère. Je venais pour farfouiller à la recherche de nourriture pour améliorer mon quotidien et celui d’un petit groupe de survivants cloîtrés. Aussi de médicaments et matériel de soins, car je suis médecin.  Les pensées se succèdent dans ma tête. J'espère de tout cœur que la jeune femme ne va pas point faire un geste meurtrier sur une personne susceptible de lui sauver la mise plus tard.

   
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Bloody hell! EmptyJeu 27 Jan - 21:05
Venir en aide à une personne. Voilà une chose dont je ne me pensais pas capable pourtant je viens de le faire et je crois sans mentir avoir apprécier cela. Je le fixe en lui demandant si il va bien. J'ai été un peu effrayante peut être à crier ainsi mais j'ai réellement eu peur pour lui. IL le tue rapidement d'un coup de talon et je me sens soulager. Il me parle de l'odeur ambiante et je souris. - Oui ça va, je vous remercie. Pour la puanteur voici une technique. Je fouille dans ma poche et en sort une petite fiole d'huile essentiel de menthe verte. Je la tends à l'homme et lui fait un signe de tête. Mettez en deux gouttes sur votre écharpe ou quelque chose que vous pouvez mettre sous le nez. Et HOP plus d'odeur ou beaucoup moins. Je restais souriante, j'aimais aidé mon prochain depuis toujours mais aujourd'hui la gentillesse était une faiblesse pourtant je ne pouvais pas changer celle que j'étais au fond de moi.

Je récupérais la petite fiole pour la remettre dans ma poche et remonte sur mon nez mon keffieh. Je reste souriante, je vois qu'il est méfiant et qu'il veut me montrer qu'il n'est pas un danger. Vous pouvez vous détendre Monsieur Goodman, je ne vous veux aucun mal. Je m'appelle Nina, Nina Delacourt. dire son nom c'était tellement rare de nos jours et puis mon nom n'avait rien à voir avec mon physique, en faite je ne l'aimais pas car il me rappelait l'argent de mes parents et cette situation bourgeoise que je me refusais. Il avait une façon de parler différente et à vrai dire je crois que j'aimais beaucoup. Oh, ne vous en faites pas. Je ne suis pas du genre à me vexer. dis je avec un petit pouffement de rire.

Il m'explique ce qu'il fait ici comme ci j'étais flic. Je souris à nouveau et commence à regarder dans les étagères. Nous en sommes tous venus ici je pense. Trouver de quoi survivre et se soigner. Vous devez être précieux à votre groupe, un médecin ce n'est pas rien. Je ne suis qu'avec un ami personnellement mais il faut bien manger tout de même. J'ai toujours mon bandage à la main, un peu rougie par le sang qui a coulé. Je ne me suis pas soignée plus que ça et je dois avouer que j'en souffre un peu, d'ailleurs je grimasse par moment quand je me sers de ma main. Si vous le souhaitez on peut fouiller ensemble, ce sera plus rapide et puis partager nos trouvailles dehors de cette puanteur ? après tout s'était simple et efficace non ? Bien qu'au fond de moi je savais que je lui donnerais une part de plus, nous n'étions que deux et lui semblait être avec un groupe. J'étais bien trop généreuse mais s'était plus fort que moi.

Je continuais alors ma fouille tranquillement, visiblement gênée par la douleur de ma main mais sans pour autant me restreindre, je ne voulais pas non plus rester trop longtemps, l'air était difficilement respirable même avec mon huile essentielle d'ailleurs je fis une pause d'une seconde pour remettre quelques gouttes sur mon tissus. C'était affreux.
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Bloody hell! EmptyVen 28 Jan - 22:45
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Suis-je lunatique à ce point pour ne point songer à ces techniques réputés qui ont outrepassé le défilement des siècles pour combattre la pestilence. Le masque au nez de corbeau des médecins avec du parfum incorporé dans la base, le foulard d’urine pour contrer les effets dévastateurs du gaz moutarde lors de la tragique première guerre mondiale.  Avec un sourire éclatant de reconnaissance et de bienveillance, je prend la minuscule fiole. Avec une minutie et une économie de mouvement qui trahi allègrement ma passion pour ma profession de chirurgien urgentologue, je verse deux gouttelette d’huile essentielle sur mon échappe qui agrémente ma tenue autant fonctionnelle que distinguée. Avec une révérence digne et respectueuse qui encense le mythe  si glorieux du gentleman de la défunte ère victorienne, je redonne à la charmante demoiselle son bien des plus utile. Maintenant paré pour approfondir les recherches en ce lieu ou le chaos et instinct de survie le plus élémentaire semble littéralement avoir pris le dessus, je hoche avec civisme et douceur du bonnet. Mon accent hypnotique et apaisant traverse la protection de textile contre l’arôme de pestiféré qui règne dans la section viande et poissonneries. Ma chère Nina la providence est une douce demoiselle en ce moment car elle m’a permis de vous rencontrer. Ce sera un honneur et un privilège d’être assisté par une personne au charisme et à la candeur grandiose tel que vous. Mais j’ai l’immense regret de vous corriger sur votre affirmation. Certes je suis docteur, mais avant tout de par mon serment fait à la fin de mon cursus médicale et ma conviction la plus profonde en l’humanité, je ne vaux guère plus qu’une autre personne. Chaque vie est synonyme de lueur d’espoir dans la noirceur chaotique et malheureuse de ces moments de ténébreuse. Si par mes compétences je peux être soit tant peu utile, alors à la bonheur.

Je suis cette charmante demoiselle pour la protéger avec la ferveur digne d'un Goodman et je ne peux m’empêcher d’analyser la crispation de sa main et ses moues agacés camouflé grossièrement par le foulard. Avec les ailes de la célérité fourni par notre empressement à sortir de ce lieu qui doit rappeler vaguement les rives de la Tamise à l’époque féodale.  Je saisis ce qui me paraît prometteur et tendant le bras comme l’exige à tout bon serviteur de sa Majesté, j’escorte la charmante Nina vers l’air plus ou moins frais de l’extérieur. Ensuite d’un signe de tête je lance une invitation de bon cœur.  Je n’ai pu d’avec horreur constater votre désagrément pour votre blessure à votre paume. Puis-je vous être utile en vous soignant et surtout... Je transfère ma canne de marche avec élégance dans ma main porteuse de ma sacoche de médecin. Ensuite je sors ma vénérable monstre à gousset pour l’ouvrir avec stoïque et surtout élégance. Satisfait je fais don d’un sourire apaisant et bienveillant à la demoiselle. Ce sera l’heure du thé. Malgré la situation précaire et périlleuse de ce moment bouleversant, je suis fidèle à mes habitudes. Donc voulez-vous partager un tasse de thé et quelques biscuits dans un refuge non loin où la quiétude pourra me laisse la possibilité de désinfecter et panser votre main gracile et de discuter avec vous? Élégance et surtout civisme sont mes atouts digne de rendre honneur à l’enseignement de ma famille pour devenir l’être distingué, humain et surtout bienveillant que je suis.

   
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Bloody hell! EmptyMer 23 Mar - 21:47
Avoir des techniques étaient évidement dans la survie. Celle du foulard parfumé était basique mais m'avait sauvé plus d'une fois depuis la fin du monde. Dans les endroits où l'électricité est coupé l'odeur de la viande pourrissante dans les frigos ou pire des cadavres est vraiment affreuse. Bien sur cela va aussi dans la rue mais moins prononcé heureusement. J'ai bien peur qu'il faille s'en accommodé et même s'habituer à cette nouvelle vie. Et dire qu'on était paniqué quand arrivé l'épidémie de grippe...si on avait su.
Je donne à l'homme ma petite fiole d'huile essentielle, j'en ai plusieurs chez moi et j'en suis vraiment heureuse. Il parle et je l'écoute, pire, je bois ses paroles. Mon regard se fait doux et je lui répond avec calme. Il est doux de rencontrer quelqu'un avec encore de l'humanité, c'est rare à ce jour. Vous parlez comme un poète où ces hommes que l'on ne vois que dans les films. Je dois avouer que j'aime beaucoup cela. Mais je ne pense pas avoir tant de charisme que cela. Je ne suis que ... moi. dis je avec un petit sourire timide derrière mon keffier.

On prend tout ce qui est encore potable, à vrai dire il n'y a pas grand chose mais je fais au mieux. Finalement je sors à l'air libre avec Alair et retire mon visage de mon keffier dévoilant un sourire calme. Je regarde mon sac. Je n'ai pas eu bonne pêche, et vous ? dis je en montrant les deux rouleaux de papier toilette et la petite boîte de maïs. Je pense qu'il doit y avoir plus de choses dans les appartements abandonnés. pensais je tout haut. L'homme a bien vu que j'avais des douleurs à la main. C'est vrai que... je n'ai pas le temps de répondre entièrement qu'il regarde sa montre et me propose d'aller boire un thé et de me soigner. Je souris alors sans me méfier de lui une seconde. Cet homme m'inspire totalement confiance, j'ai peut être tord mais c'est plus fort que moi. j'en serais ravie. Et je dois avouer que ma main me fait souffrir. je met mon sac sur mon dos et suit l'homme dans les ruelles. J'ai du refermer une grande porte en vitesse et je me suis coupé avec une planche en bois, je n'ai pas détailler si c'était un bout de bois sortant ou un clou.. j'ai désinfecté comme j'ai pus mais...je ne suis pas médecin. dis je avec un petit levage d'épaule.

Ce serait clairement idiot de mourir pour une blessure à la main alors qu'il y a des zombis partout. Je le suis donc d'un pas égal au sien, regardant un peu autours de nous et évitant les grognements. Je me demande où il vis en ce moment et j'ai hate d'en apprendre plus sur cet homme ci distingué.
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Bloody hell! EmptyDim 27 Mar - 21:54
Je suis ma charmante et si aimable Nina à l’extérieur de ce lieu de pestilentiel. Avec un plaisir aucunement dissimulé j’enlève mon écharpe pour ensuite avec panache pour l’enrouler autour de mon cou. Je ne suis que flegme, stoïque et surtout  bienséance alors que je me maintien droit et d’une allure de noblesse de cœur. Quand elle semble déçu de sa récolte, je lui prodigue un sourire d’une douceur et surtout d’une bienveillance que je porte à l’égard de tous et chacun qui le mérite naturellement. Bonté divine, notre noble fessier saura vous remercier quand la douceur velouté de ce papier hygiénique va nous tapoter notre arrière-train. Surtout après avoir déguster du mais! Je lui fais un clin d’œil complice et d’une espièglerie digne d’un écolier boites de un peu tapageur. Ce que j'adore l'humour pince-sans-rire britannique. J’ai pu avoir la main heureuse pour deux boites de ragoûts consistants, une boite de salade de fruits et une bonus des plus agréables. D’un geste théâtrale je sors une barre Toblerone de la poche de ma veste d’aviateur. Je lui tends avec dignité et bonne humeur. Je m’interdis le sucre pour éviter un diabète qui sera des mal venu pour la période chaotique ou nous sommes plongé. Je crois que la moitié saura ravir votre soirée et celles des deux enfants qui partagent mon lieu de vie.

En étudiant ma montre à gousset je me rends compte qu’il reste que quinze misérable minutes avant l’heure du sacro-saint rituels qui tient à cœur chaque fidèle serviteur de sa Majesté. Avec tact et surtout d’une politesse sans borne, je l’invite à déguster ce noble breuvage et surtout de lui prodiguer soin. Car la main de la demoiselle semble avoir des élancement douloureux dans sa main. Je l’écoute avec attention alors que j’inspecte un appartement et avec parcimonie je tapote de ma canne la fenêtre. Aucun gémissements qui me tends à croire la présence d’abomination qui veut se délecter de ma chaire tanner par la vieille de Britannique sophistiqué. Bloody hell ma chère j’espère que vous avez été vacciner contre le tétanos? Un métal rouillé peut être des plus dommageables pour noter organismes. Ce lieu me semble des plus inspirants. Ma galanterie me dicte de vous ouvrir la porte, mais ma chevalerie me pousse à pénétrer en premier en ce lieu pour m’assurer qu’il n’y a point de malheur sournois qui y rode. Mon ton est chaleureux, distingué et apaisant comme celui d’un présentateur de la BBC.

Direction la cuisine et je suis des plus heureux de voir que l’eau et le gaz sont encore au bon goût du moment. Avec assiduité et une économie de geste qui trahi ma profession de chirurgien. Bientôt la théière que je trimbale partout siffle le bonheur alors que j’invite Nina à s’asseoir en tirant la chaise avec toute la galanterie qui fait de moi un dinosaure en étiquette et surtout un gentleman qui semble appartenir à l’époque victorienne. Je sors mon nécessaire de soin d’urgence et les gestes apposées sont d’une grande délicatesse et d’une douceur sans nom en plus de trahir ma longue expertise en la matière. Le pansement bien en place, je hoche la tête de satisfaction. Voilà ma chère amie. Si je peux me permettre, si vous désirer désinfecter une plaie, quelques gouttes d’huile essentielle de lavande est un fantastique élément de substitution à l’alcool et surtout au noble savon et l’eau propre. Je sors mes découverte pour le partage prochain tel que convenue ainsi qu’une boite métallique qui contient la crème, les biscuits au beurre et les cubes de sucres. Voilà ce sera parfait. Vous poussez l’audace à prendre le thé avec du sucre, un nuage de crème ou bien dans la plus pur tradition? Je lui sers sa tasse fumante et je m’assoie devant elle pour savourer ce breuvage bénie des dieux. Je claque ma langue à mon palais de satisfaction et je dis avec douceur. Bonté divine voici mon petit paradis quotidien. Merci de partage ce moment avec moi très chère. Je lève un sourcil inquisiteur alors d’une lueur d’amusement scintille dans mon regard d’acier bleuté. Alors vous semblez mourir d’impatience de cerner le noble serviteur de Sa Majesté alors que les questions me brûlent la langue en votre encontre. Mais la galanterie la plus élémentaire me dicte de laisser l’honneur aux dames de mener la discussion. Je lui fais don d’un sourire à la fois apaisant et surtout bienveillant.
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Bloody hell! EmptySam 14 Mai - 20:44
( Hors sujet : Toutes mes excuses pour l'attente, en plus j'adore ta façon de rp. Je serais bien plus rapide par la suite. Encore désolé )
____________________


Quelle était la possibilité pour rencontrer ce genre de gentleman dans un monde en perdition comme celui que nous avions actuellement ? Certainement bien peu, c'était comme un souffle d'espoir pour l'humanité et surtout pour ma personne. Il m'inspirais immédiatement confiance, j'avais peut être tord mais je ne ressentais que de la bonté en lui. Quand je lui présente mon faible butin sa réponse me fait sourire, amusé. Il a un sacré don pour remonter le moral et autant dire que c'est indispensable actuellement. Je regarde le chocolat qu'il me tends avec les yeux brillants d'envie mais quand il parle de deux enfants je le fixe un instant puis posant ma main sur la tienne je lui retourne son trésor. - Je vous suis reconnaissante mais si vous savez des enfants avec vous, je préfère leurs laisser ma part. Un peu de bonheur ne fait pas de mal aujourd'hui et nos enfants en ont bien plus besoin que nous. dis je avec un sourire emplis de bienveillance.

Il toque à la vitre d'un appartement peut être pour prévenir d'éventuels amis, ou ennemies. Je regarde la fenêtre mais rien n'arrive finalement je l'écoute et passe nerveusement ma main sur ma nuque. Le tétanos ? Hum certainement quand j'étais enfant mais je n'ai plus été vaccinée depuis bien des années. Je vis dans un camion aménager depuis pas mal de temps et je dois avouer que les médecins n'ont pas vraiment eu ma visite. dis je à demi-honteuse, je savais que ce n'était pas responsable mais je n'avais pas vraiment eu une vie responsable ces dernières années. Les vaccins étaient assez loin de mes importances. Je le suivis néanmoins avec un petit sourire pour entrer dans l'appartement qu'il avait choisi.

On entre et nous dirigeons vers la cuisine alors que je le regarde avec une certaine fascination. Cet homme me fascine clairement, il est d'une telle douceur et d'une telle élégance, je n'avais pas vu cela depuis...a vrai dire je ne suis pas certaine d'avoir un jour vu cela chez qui que ce soit. Il prend ma main et je le laisse faire avant d'écouter ses conseils. De l'huile essentielle de lavande, d'accord. J'en ai encore un flacon ou deux me semble t'il. J'ai toujours été adoratrice de la médecine douce. Je crois avoir bien fait finalement. dis je avec un petit air de malice. Quand il apporte le thé je souris. Je le prend nature, sans rien merci beaucoup. dis je en posant mes mains sur la tasse fumante, elle me chauffe le bouts des doigts mais j'aime bien cette sensation.

C'est un réel plaisir de partager ce moment avec vous cher ami. Les gens aussi gentlemans et élégants que vous se font rares alors c'est vraiment un moment que je n'oublierais pas. dis je avec sincérité. Je porte le thé à mes lèvres pour en boire une gorgée. Je souris au bonheur du gout délicat de ce breuvage alors qu'il m'annonce à sa façon qu'il est temps de faire connaissance. Que faisiez vous en ville ? Vous êtes visiblement d'Angleterre sans aucun doute, alors pourquoi venir à Paris ? demandais je dans un premier temps. Nous avions tout le temps de nous connaitre un peu mieux sans aucun doute.

Alair Goodman
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Bloody hell! EmptySam 28 Mai - 3:43
Bloody Hell!!!


Assis confortablement dans ce petit appartement laisser à l’abandon, je savoure ce calme bénie en savourant ce breuvage qui honore mes nobles origines en bénissant cette discussion agréable qui me remplit d’aise avec une si charmante lady. Je hoche la tête, accordant de ce fait même mon approbation au dire de la délicieuse compagnie qui me charme au plus au point. «Je ne peux qu’abonder dans votre sens ma milady. La médecine ne cesse d’évoluer au gré des découvertes autant accidentelles que révolutionnaires. Mais comme chaque élément de la vie elle-même, nous revenons à nos racines et aux paroles sages de nos ancêtres. Donc plus souvent qu’à mon tour je préconise le naturel au chimique. La douceur de la nature et du genre humain sont des éléments plus qu’essentiel pour favoriser la guérison autant spirituelle que physique.» Qui aurait cru qu’en sortant de mon refuge ce matin je pourrais discuter de manière si civilisé et courtoise avec une si adorable personne alors que les rues grouillaient d’une menace pestilentielle? Je lui prodigue un sourire à la fois rassurant, apaisant et romancé par le ton distingué digne d’un présentateur de la BBC que je possède pour ma plus grande joie. À son compliment je porte ma main à mon palpitant qui ne résonne que pour ma patrie et ma digne profession.  Je prend une gorgée de ce nectar digne des dieux et j’en savoure son goût parfumé. La douce sensation de chaleur et de réconfort descend dans ma gorge pour se lover dans mon estomac.  Je lui offre un clin d’œil charmant et courtois, remplit d’une espièglerie et surtout d’une camaraderie des plus amicale. «Je ne peux que retourner le compliment ma chère. Habituellement les gens ne sont guère plus courtois ni fervent de l’étiquette. Sûrement trop concentrer sur leurs images virtuelles. Je n’oublierais jamais ce thé partager avec vous ma chère Nina et ce qu’un Goodman promet, même l’acier le plus solide n’est que piètre ferraille de pacotille en comparaison de notre parole.»  Bientôt les questions commencent ce bal délectable de la sociabilisation et avoir pareil interlocutrice ne me fait que rendre le plaisir du moment encore plus précieux. Avec un sourire digne d’un conspirateur des plus attachants, je sors de la poche de ma veste de cuir d’aviateur le délice chocolaté. Levant un index autoritaire et surtout distingué, comme chaque geste qui me désigne comme étant un fidèle serviteur de Sa Majesté, je tue son objection dans l’œuf. «Il n’y a pas de mais qui tienne ma chère. En acceptant la moitié de ce présent, vous m’honorez à un point dont vous ne pourrez vous doutez.» D’un sourire désarmant, je rajoute avec une attitude digne et pince-sans-rire dont je suis particulièrement friand. « Et l’un des enfants est des plus énergiques. Donc vous allez me sauvegarder d’un horrible mal de tête si le petit n’engloutis une double dose de sucre.  Vous pouvez me faire ce petit plaisir je vous en conjure et je serais votre éternel débiteur.» Classe et sophistication jumeler à un charisme majestueux et d’un calme olympien. La plus pur de la tradition anglaise et j’en suis plus que fière d’être le digne représentant malgré mon savoir-vivre qui doit me donner des air de dinosaure victorien.

Je détend l’atmosphère avec ma douceur et surtout mon aura des plus apaisant. Je porte mon index à mon nez avec un sourire espiègle comme un gamin ayant fait le coup du siècle. «Aussi futé que magnifique ma chère. Je ne peux que vous donner raison. En fait je suis britannique avec un soupçon américain, texan pour spécifier, de mon géniteur. J’étais en ville car je suis un globe trotter invétérer et un amoureux des arts. Mécène à mes heures et selon mes moyens. Un touriste somme plus banale qui s’est retrouver au mauvais endroit au mauvais moment.» Je rajoute avec panache et élégance. «Mais avoir la joie des plus consommé de vous avoir rencontrer Nina me permet de croire à la bonne fortune et surtout au hasard. Car voilà un certain temps que je n’ai pu discuter avec une si agréable personne dotée d’une politesse des plus rafraîchissante.» Une nouvelle gorgée de thé et je continue. «J’ai exercé la chirurgie et j’ai été urgentologue au réputé London Hospital. Plus de 35 années à servir et soigné avec honneur et compassion. Maintenant à la retraite, mais comme le dit le vieil adage un passionné ne cessera jamais de continuer à paver sa voie. Et pour moi, mon honneur et ma joie et d’aider les gens et de soignés les malades.» Je ne suis que franchise et authenticité malgré mon air stoïque et noble qui n’est que la façade typiquement anglaise que j’ai reçu dans mon éducation de gentilhomme.

Je lui remets un peu de thé en maniant ma théière de manière aussi théâtrale que sophistiqué et je rajoute d’un air doux avec mon ton apaisant. «Vous savez voir une personne déguster son thé nous apprend souvent la personnalité de notre vis-à-vis. Vous avez bon cœur, vous êtes à l’écoute et surtout vous donner sans compter. Hors vu votre maintien je miserais que des fois l’insécurité guide vos actes alors que votre instinct vous souffle toujours la bonne voie à suivre. Vous avez eu une bonne éducation, mais je crois fortement que vous en avez eu marre vu vos paroles concernant votre camion, je dirais que vous avez choisi la voie des nomades pour vivre votre vie sans les carcans d’une autorité familiale.» Je croque dans un biscuit et je rajoute avec un sourire. « Si je suis dans le vrai, je ne peux qu’affirmer que vous êtes un être unique et que j’admire. Qui me fait penser à votre humble serviteur alors que j’étais dans les médecins sans frontière dans l’espoir de changer le monde. Et je peux vous assurer que vous m’avez donné foi en l’humanité si cher à mon cœur. Avec votre compassion et votre gentillesse.» Avec affection je lui tapote la main dans un geste de franche amitié et de camaraderie. «Je peux être votre médecin si le besoin s’en fait sentir ou bien une oreille attentive.» Je me redresse tout sourire. «Voilà désolé j’adore discuter, mais place à votre parole ma chère. Pouvez-vous me parler un peu de vous ma chère Nina?» Je me penche légèrement pour l’écouter, dévoilant par mon langage non verbale que je m’intéresse à ce qu’elle peut me dire et surtout que je serais un auditoire des plus attentif. Civisme et écoute voilà ce que je suis à cet instant.

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Bloody hell! EmptyDim 29 Mai - 21:37
Les choses étaient évidemment bien étrange depuis la fin du monde que nous connaissions mais ce moment ci était comme hors du temps. Je me retrouvais face à un homme semblant tout droit sortie d'un roman pour jeune fille en fleurs entrain de boire un thé délicieux alors qu'au dehors les morts étaient en marche. Je me sentais à l'instant T étrangement en sécurité dans ce petit appartement agréable et calme.
Je plante mon regard sur cet homme à la fois étrange et intéressant alors qu'il me parle de la médecine, sans aucun doute son métier était une passion pour lui. Je lui souris quand il affirme préférait la médecine naturelle au chimique. J'ai toujours préféré ce type de médecine et ce n'est clairement pas aujourd'hui que je vais changer mon idée, bien au contraire.

Il parlait alors des gens et de leurs images virtuelles. C'est un drame je pense. Les gens sont plus attachés à ce qu'il vont gagner, qu'à ceux qui les entourent. Avec les réseaux sociaux c'est encore pire, nous ne parlong plus à nos proches mais nous connaissons par coeur la vie des autres. C'est malheureux. avouais je alors. Je n'avais jamais été très réseaux sociaux, j'avais bien eu une petite boutique en ligne mais je ne faisais pas plus de publicité que ça, juste un peu histoire de dire " coucou me voilà " mais je passais le plus clair de mon temps avec des gens bien réels.

Dans ce cas...ci c'est pour vous aider. dis je avec un petit sourire délicieux en reprenant le chocolat. Je l'entrouvrais alors pour en couper en morceau que je glissais entre mes lèvres pour le laisser fondre sur ma langue. Je tendis alors le paquet à mon camarade du jour afin qu'il puisse en prendre si il le souhaitait. Le gout sucré sur ma langue me faisait un bien fou, le chocolat avait ce côté réconfortant un peu comme un ours en peluche.

J'avais vu juste il était donc anglais et en touriste à Paris, pas de bol comme on dis mais il n'était certainement pas le seul. Je l'écoutais parler avec un petit sourire amusé quand il me décrivis en ce trompant lourdement. Je suis désolé de vous dire mon cher ami que vous n'avez pas totalement juste. A vrai dire c'est ma nounou qui m'a éduquée. Je m'appelle Nina Delacourt, fille de Maria Delacourt , l'actrice mondialement connue. Ma mère était plus souvent en voyage ou en tournage qu'avec moi et mon père étant un homme d'affaire il était ...et bien en affaire. Pour tout vous dire je ne les ai pas beaucoup vu et j'apprenais leur vie plus souvent dans les journaux ou a la télé que d'eux même. J'ai décidé de fuir et, croyez le ou non mais ils ne se sont préoccupés de mon absence que des jours, que dis je, des semaines plus tard. dis je en souriant même si la tristesse du manqua familial ce voyait sur mon visage.

Oh mais vous disiez aimer l'art ? Attendez ... dis je en me penchant pour récupérer mon sac posé au pied de la chaise, j'en sortie un cahier où était accroché un crayon de dessinateur. Je lui montrais alors quelques dessins de visage et de paysage réalistes que j'avais pu faire. Je suis devenue dessinatrice et je fais aussi des bijoux. J'ai vécu de ça depuis mon départ et de petit boulot bien sur ! Vous aimez ? demandais je avec un sourire emplis de douceur. Je pourrais vous dessiner afin de vous garder avec moi ? Vous seriez d'accord ? demandais je poliment.
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Bloody hell! EmptyMar 31 Mai - 1:09
Bloody Hell!!!


Je profite sans arrière-pensée de ce petit intermède de clame en compagnie d’une jeune femme que j’apprécie de plus en plus à chaque mot échanger. Pour l’humble serviteur de sa Majesté que je suis, elle possède toutes les qualités pour naviguer dans les eaux troubles et sans merci des fêtes mondaines et pouvoir tenir tête dans les discussions sur de vastes domaines. Ce qui me fait littéralement du vu que dans mon groupe, je n’ai guère d’interlocuteurs qui me prêtent vraiment une oreille attentive. À ces mots qui me porter avec un vent de fraicheur et surtout une douce sonorité, je ne peux qu’approuver avec énergie sa déclaration sur le mode de technologie qui zombifier leurs fervents utilisateurs. « Pour ma part je ne suis qu’esclave de mon cellulaire que pour les œuvres de charités et les communications avec des patients que je continue de suivre leurs états de santé malgré ma retraite. Comme le vieil adage le dicte si bien, nous ne pouvons jamais accrocher le sarrau malgré les détours du hasard. Mais au ranch que je possède dans les Highlands d’Écosse, ma bibliothèque est plus que garnie et je passe des heures à dévorer des bouquins ou simplement plonger dans l’univers des artistes qui ont déployer leurs talents pour faire des tableaux presque aussi exquis que vous.» La flatterie et le civisme m’habitent et je suis simplement du genre à dire ce que je pense de manière aussi fleurie qu’exact son ma perception. Je lui prodigue un sourire apaisant et d’un charme indéniable qui fera la fierté de mes nobles ancêtres. Mon sourire s’accentue de manière exponentielle quand je vis le bonheur s’inscrire sur ce visage qui semblait littéralement être un appel à la muse des plus grands artistes de notre époque. Poliment je fais un signe de négation de la tête en levant une main. « Non merci ma chère. Je n’ai guère la dent sucrée, sauf naturellement pour les fruits. Alors là vous gagnerez des points à mon cœur défendant si vous m’offrez un jour une pomme fraichement cueillie. »  Complice et espiègle comme l’écolier perturbateur que j’ai été autrefois dans ma jeunesse dorée, je lui fais don d’un clin d’œil.
 
Alors elle m’annonce avec simplicité et un tact qui rendrait fou mes anciens précepteurs par sa douceur que je m’étais vouvoyer sur une bonne partie de mon analyse de sa personnalité. En guise d’excuse troublé, je porte ma main à plat sur mon palpitant qui bat la mesure par mon amour pour ma patrie et ma profession. Côté élancement amoureux, avec la fuite de mon unique amour disons simplement que c’est d’une sécheresse aride qui n’a plus la force réelle de trouver cette rafraichissante pluie qui saura faire germer la passion et l’amour de nouveau. « Je m’excuse pour mon erreur ma chère amie. Votre nounou vous à donner des valeurs que je juge essentiels et surtout bienvenue par les temps qui court. Malgré le célébrissime de vos parents, si je peux me permettre j’ai pu rencontrer votre mère quelques fois lors de gala de charité, je suis totalement enchanté par Nina. J’aurai tellement voulu être père, mais dans votre regard je décèle un amour pour les vôtres malgré la souffrance encourue… Mais vous êtes Nina Delacourt? » Je plisse alors des paupières et je porte ma main à ma barbe taillée avec un soin jaloux. Malgré l’époque trouble que nous vivons, je me dois par mon éducation et mon flegme ancestrale de présenter une apparence irréprochable.
 
Avec attention je regarde les traits exquis de ses œuvres et je lui fais un doux sourire digne d’un mécène qui reconnaît le talent extraordinaire d’une artiste qui a simplement un don. « Si j’aime? Je tombe en amour avec votre art à chaque nouvelle page qui se dévoile à mon regard. Je reconnais l’inspiration des grands dans vos œuvres. Mais vous avez su vous démarquer en rajoutant votre passion et votre talent. C’est magistral et quand tout sera fini, j’aimerais bien vous proposer de peindre ma défunte mère. Voilà des années que je recherche un talent tel que vous. » Je me dois de procurer espoir et faire rêver, car c’est la base de mon esprit chevaleresque. Alors quand elle parle de bijoux je claque des doigts en déposant ma tasse sur la table de cuisine.  « Donc c’est bien vous l’artiste de talent, que dis-je la créatrice d’exception de ce site internet de fabrication de bijoux? » J’ouvre la fermeture éclair de mon manteau d’aviateur de cuir doublé en moutons et sur mon palpitant qui bat pour sa patrie et sa famille elle peut discerner une de ses œuvres. Une commande spéciale que j’ai passé après avoir vu la délicatesse de ses œuvres originales. « Voilà quelques temps j’ai recherché une personne pouvant redonner du lustre aux vieilles armoiries de ma noble lignée. Et c’est vous qui aviez fait ce chef-d’œuvre qui repose sur mon palpitant quelques soit les moments ou les circonstances. » Je lui démontre la vivacité de mes paroles en laissant à ma chère amie de contempler le bouclier argenté ornée qu’une pierre qui rappelle le bleuté du regard des gens de ma famille. La tête de lion rugissante qui orne le pommeau de ma canne-épée ainsi que la couronne qu’on sert et protège avec ce flegme et cette ferveur qui caractérise si bien le nom des Goodman.
 
Souriant doucement je lui donne pour qu’elle puisse y lire sa griffe apposer dessus et surtout la qualité de son œuvre. « Je crois que dans les derniers temps vous devez avoir eu un regain de commandes. Bon nombre de gens me demandent où j’ai pu dénicher pareille merveille. » Je lui prodigue un sourire à la fois doux et apaisant comme le sied mon éducation de ma jeunesse qui me suit à chaque instant. Je prends avec sophistication et surtout d’un geste étudier une nouvelle gorgée de ce breuvage divin. « Je serais heureux, que dis-je honorer d’être votre inspiration du moment ma chère. Et d’être avec vous sur papier comme vous l’êtes avec moi grâce à votre chef-d’œuvre sera une récompense digne d’un roi. » Je sors alors ma seconde montre à gousset, celle qui appartenait à un brave homme qui était mon grand-père. Il m’avait fait jurer de la léguer à mon tour. Je lui tends avec un sourire bienveillant. « Cette montre suit les miens depuis des lustres. Vous devriez la remontrer à chaque jour. Désuète technologie, mais comme votre fidèle serviteur, toujours en état de marche. Je vous prie de l’accepter ma chère amie. Comme pour permettre de figer cette rencontre inespérée dans le temps et l’espace. Vous pourrez regarder l’heure et savoir que votre fidèle serviteur à une pensée pour la femme et l’artiste d’exception que vous êtes. » Le carcan de bronze et d’acier représente l’armoirie des miens et la devise en latin qui est de toujours protéger et soigner. « Je suis le dernier de ma lignée Nina. Je veux la remettre à une personne qui saura en prendre soin. » Je lui place dans sa paume et je lui refermée les doigts pour signifier avec panache que le sujet est clos. « Alors comment je dois me placer pour que votre fusain et crayon puisse être un minimum inspiré par le noble homme d’âge mur que je suis? » Mon regard est rieur et espiègle malgré mon air distingué et stoïque. Tout pour détendre milady et lui offrir le mieux de la situation.

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Bloody hell! EmptyMer 1 Juin - 21:41
Qui aurait cru boire un thé au milieu de l'apocalypse. Cette ville qui était un rêve pour la plupart du monde sur terre est devenue un cauchemar. Si seulement j'étais restée dans le sud ou n'importe où d'autres. Je serais toujours avec Jack, nous serions toujours dans notre camion et l'on regarderait ce drame à la télé en cherchant à être le plus loin possible de la crise, s'y préparant au mieux. Vraiment c'était l'horreur et je ne pouvais pas nier que j'avais plus peur que jamais. On en vint à parler de nos téléphones et du fait que les gens en sont totalement accroc, je l'ai été moi aussi comme tout le monde mais moins sans aucun doute. «  Plus les gens sont riches, plus ils sont prisonniers des réseaux. C'est assez marrant d'ailleurs. La vie des gens sans le sous est bien plus riches.   ! » Alair veut quand même que je prenne le chocolat ce que je fis en lui proposant la moitié mais il refusa affirmant qu'il préférait les fruits. « J'ai quelques fruits secs dans mon camion , des figues, des dattes, et bien d'autres choses.    ! » dis je en lui souriant «  Je pourrais vous en donner si vous le souhaitez. Et vous présenter mon ami Samuel par la même occasion vous allez l'adorer.   ! » dis je en pensant à mon ami, c'est vrai que sans être venu à Paris je n'aurais pas rencontré le barman.

IL essaye de deviner ma vie mais je suis obligée de lui dire qu'il a tord, son geste me fit sourire, il semble vraiment sortie d'un roman que je gardais dans mon coin chambre. « Oh vraiment ? Vous avez connu ma mère ? Je ne sais pas si elle est en vie aujourd'hui mais j'ai espoir qu'elle soit en amérique. Et oui je suis bien Nina Delacourt !    ! » dis je avec un sourire amusé. «  Ma nounou était la femme la plus merveilleuse que j'ai pu rencontrer. Mais je devais partir.   ! »

Je lui montre finalement mes dessins avec une certaine fierté, je lui souris avec sincérité et douceur quand il parla de sa mère. « Je serais honoré de la dessiner, il me faudrait uniquement une photo.    ! » Quand il sort le bijou que je prend en main pour l'observer j'ai un sourire amusé. « Le monde est petit n'est ce pas, c'est bien moi qui l'ai fait.    ! » dis je sincèrement. Je le regardais avec un sourire doux caressant le bijoux du bout du doigts. « J'espère pouvoir reprendre mon travail un jour. J'espère qu'on pourra tous reprendre une vie normale.    ! » mais je n'y croyais pas vraiment.

Le moment est délicieux et quand il prend ma main dans la sienne pour y déposer la montre je le fixe l'air surprise. « Je suis vraiment honoré, mais vous êtes certain ? Nous nous connaissons à peine et c'est une montre importante pour vous.    ! » dis je tendrement. Mais quand il referma ma main sur l'objet je lui souris et je la pris vers moi la regardant et la caressant du bout des doigts. Je la mise alors dans mon sac avec attention, je ne voulais pas l'abimer. Je pris ma trousse de crayons et autres fusain ainsi que mon cahier de dessins pour avoir une page vide. « Continuais à parler comme ci je n'étais pas là ne vous en faite pas.    ! » dis je en le fixant un moment avant de commencer les premiers traits regardant parfois mon dessin, parfois l'homme.

« J'aime dessiner les gens que je croise, plus encore depuis l'apocalypse, j'ai envie de laisser quelques choses de chaque personnes, un peu comme une photo. Et puis ainsi je ne perds pas mon art.    ! » dis je en souriant. Je le regarde et lui dis doucement. «  Je ne sais pas si on aura une vie comme avant, en faite j'en doute mais... je suis sur qu'on sera un jour à l'abris et qu'il faudra refaire un monde à notre image.   ! » Je parlais calmement tout en dessinant avec une facilité effrayante.
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Bloody hell! EmptyMar 7 Juin - 23:41
Bloody Hell!!!


Ce sont les petits moments de cet acabit qui me font savourer la plénitude d’être encore de ce monde. De parler d’art, de partager des instants de douceur et d’émerveillement avec une dame qui me semble hors du commun. Elle est hors de ce stéréotype des plus communs de la ravissante femme concentrer sur son nombrilisme et son portable. Cette simple rencontre me pousse inexorablement à renouveler cette immense foi en l’humanité qui fait de moi l’être distinguer et illustre que je suis. L’amoureux de la médecine, le gentleman qui voue un culte au civisme et la courtoisie envers chaque être pensant. Avec sophistication et humilité, comme l’exige le protocole de la bienséance pour prendre le thé, le fidèle serviteur de Sa Majesté que je suis bois une petite gorgée avec élégance et ayant bien entendu le petit doigt pointé vers le ciel. Prenant un ait songeur, réfléchi tout en posant ma tasse métallique sur la table de bois patiné par l’usure du temps, je passai ma main aux doigts doté d’une si grande dextérité pour autant manier le bistouri que pour l’écriture dans ma barbe taillée avec un soin jaloux. « L’existence de l’humanité est selon moi qu’un cycle perpétuel autant dans l’espace que le temps. Quand nous sommes au sommet de l’ère, par exemple le féodale, la nature nous envoie une épreuve pour qu’on retrouve notre humilité. La peste noire à permis à l’humanité, après cette terrible épreuve, de se relever victorieusement avec de nouveaux savoir. » Perdu dans mes pensées, je continue sur ma lancée des plus philosophale et inspiré. « Il y a une décennie, le covid arriva et ce fut une épreuve pour la solidarité collective. Il y a des événements charnières dans l’histoire qui permet aux êtres humains de partir dans une nouvelle direction, laisser place à l’art et à l’amitié que l’isolement dû à la technologie. J’espère simplement quand nous allons relever de cette tragédie, que des leçons soient tirer et que les gens vont se tourner vers ce qui est vrai et surtout se racheter pour avoir fait souffert autant l’humanité par la stupidité d’une minorité et d’avoir saignée presque à blanc la terre pour le simple profit individuel. »



Je lui prodigue un sourire apaisant et surtout des plus bienveillant. « J’espère simplement avoir l’opportunité de pouvoir apporter ma modeste pierre à ce monde nouveau, transmettre mes connaissances et la civilité la plus élémentaires pour faire profiter tout chacun d’un savoir-vivre des plus apprécier. » J’hausse mes épaules et je me dois de faire craquer un peu ma nuque vu mon âge ne me laisse hélas aucun répit. « Mais je ne sais combien de temps il m’est impartie, car j’ai cette faiblesse héréditaire qui a su emmener tant d'illustres membres de ma noble lignée vers la tombe. Mon cœur à une imperfection. Je parais des plus vigoureux, mais au moment que seul le sait Dieu, mon muscle cardiovasculaire va s’emballer une dernière fois pour me plonger vers les rives du Styx. » Je fini mon thé avec mon stoïque et mon flegme qui me caractérise si bien. « J’ose espérer que je pourrais former le plus grand nombre de cœur volontaire pour la médecine et laisser un héritage qui pourra être salvateur pour les gens qui resteront après moi. » Je prends un petit biscuit au beurre sec pour le savourer. « Vous êtes mon coup de cœur depuis des lustres ma chère amie. Je vais prier la destinée que si la situation dérape complètement, que nos chemins vont se recroiser pour un autre thé et qui sait, si vous voulez acquérir des connaissances en soins pour parfaire votre savoir de la médecine douce, je me ferais un plaisir et un honneur de vous partager mon expertise en la matière. Sinon si tout rentre dans l’ordre, je vais exiger d’avoir un rendez-vous mensuel pour notre thé et qu’on grandir ensemble en tant que amis. » Des mots pleins d’espoir et de confiance. Le rôle d’un chevalier servant n’est0il point de prodiguer courage, bienveillance et civisme autour de lui?
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Bloody hell! EmptyMer 29 Juin - 15:16
Cet homme était étrange sous bien des égards. Comme dis plus haut il semblait sortir d'un roman ancien. Moi qui suis la simplicité même je me sentais un peu " à part " de lui mais la rencontre n'en était pas moins agréable. Il avait foie en l'humanité et en la vie et s'était vraiment malheureusement je n'étais pas de cet avis. Tout en continuant de dessiner, buvant un peu de thé par moment je lui répondais calmement pourtant il n'y avait rien d'agréable dans mes paroles, je n'étais malheureusement pas aussi positive que lui sur la suite du monde. J'aimerais que tout se passe comme vous venez de le dire mais malheureusement je n'ai pas autant foi en l'humain que vous. De nature l'humain est mauvais. Très mauvais et je pense qu'au contraire, il va se révéler pire encore. Il n'y a plus de loi et les pires personnages vont arriver il faut être prudents. dis je calmement.

Je continue mon dessin, je fais les cheveux avec une attention particulière, c'est toujours un peu difficile, délicat et j'aime énormément que tout soit parfait ou presque. Quand il parle de m'apprendre la médecine et à tout ceux qui le voudrait je souris. Oui, cela me plairait vraiment. Je ne suis pas très bonne au combat même si je sais que je vais m'améliorer mais soigner les gens. Oui c'est une bonne idée je crois. Je pourrais apporter un plus et surtout éviter des morts inutiles. dis je tout en réfléchissant laissant un instant le dessin pour regarder l'homme dans les yeux. Je lui souris à nouveau avant de reprendre mon art où je l'avais laissé.

Je ne suis pas certaine qu'un jour tout entrera dans l'ordre mais il y aura toujours une humanité. Enfin je dis ça mais pour le moment c'est encore calme je dirais. Il faut prendre soin de nos proches et ne pas faire confiance facilement. Oui voilà...je crois que c'est ça, ne pas faire confiance mise à part à nos proches. dis je en reprenant un peu de thé et un petit biscuit que je fis craquer entre mes dents. Puis je lui dis à nouveau. Et vous faites maintenant partie de mes proches. dis je avec un sourire sincère.

Je continuais les finitions avec une facilité déconcertante. Puis doucement je remonter mon sourire vers lui un peu gênée. Pardon, je ne voudrait pas vous faire perdre votre motivation. C'est juste que...j'ai vu trop de monde, et pas toujours des bonnes personnes. Aujourd'hui je suis plus méfiante. dis je simplement avec un petit haussement d'épaule. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. dis je simplement avec douceur.
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Bloody hell! EmptyMer 17 Aoû - 14:05
Bloody Hell!!!


Je ne peux m’empêcher de ressentir tristesse et désarroi suite aux sages paroles de la demoiselle qui laisse libre court à son art. Stoïquement comme l’exige la plus élémentaire des étiquettes de civisme et de galanterie qui me sont si cher à mon palpitant vieillissant, je ne suis qu’une oreille attentive et je bois mon divin breuvage avec cette élégance britannique qui est toute mienne. Quand elle fini de se vider le cœur, je lui fais don de ce sourire si apaisant et surtout douceâtre que j’ai pu perfectionner par tant d’années à réconforter malades et mourants lors de mes interventions autant professionnelles que sociales. «Bonté divine ma chère vous n’avez point à vous excuser de démontrer une si rafraîchissante sagesse dans votre étude de ce nouveau monde.» Je ne suis que compréhension et je ne peux m’empêcher de tapoter la main en signe de support inflexible. «Je comprend votre point de vue et j’y adhère pleinement. Je ne suis qu’un vieil homme qui croit encore à l’humanité et aux bons sentiments. Donc malheureusement je serais une proie des plus faciles lors des prochains événements.» Je lui offre un biscuits au beurre qui accompagne si magistralement bien le thé. «Je crains sincèrement que mise à part mes connaissances en soins et en escrime, je serais un hypothétique fardeau pour les gens qui voudront bien du vieil homme que je suis. Voyez-vous la tare des Goodman est une malformation cardiaque congénitale.» Je dépose ma tasse d’acier polie sur la table et machinalement je caresse du pouce la petite bosse qui symbolise une nuit de bagatelle endiablé avec ma chère Céleste. Je ne peux m’empêcher de ressentir une certaine frayeur envers le destin de mon amie. Car n’était-elle point au plein centre de l’épicentre de cette terrible tragédie.

Je me redresse noble et sophistiquer comme l’exige mon éducation de gentilhomme et je passe ma main dans ma barbe taillé dans un soin jaloux. «Nous expirons sans crier gare en fait. Le cœur tombe littéralement en panne en quelque sorte. Et je m’approche à chaque instant de ce moment charnière que peu de membres de ma lignée à pu franchir, les terrible 65 ans.» Je ne peux que rester de marbre et surtout d’une élégance exemplaire malgré la terrifiante nouvelle. «J’ai eu une vie des plus remplis. Mon seul regret est que celle j’ai aimer plus que raison s’est enfui lors de la grande demande. Je n’ai point pu entreprendre ce rêve que je chéris tant, à savoir être père.» Je me redresse pour prendre les tasses et la théière pour les laver dans la cuisine. «Vous êtes une observatrice et vous posséder un esprit analytique qui sera plus que bienvenue dans ce nouveau monde ma chère. Je crois que je suis trop empathique de par ma profession pour chercher à aider tous et chacun. Je suis fidèle à mes serments et celui de Hippocrate est le plus valeureux.» Je lui fais don d’un sourire apaisant et surtout des plus bienveillant. «J’ai cru entendre qu’un lieu sécuriser fut mis sur pied un peu plus loin par des militaires. Je songe y aller avec les quelques personnes qui semblent m’avoir catapulter au titre de chef. Je pourrais prodiguer soin et réconfort à des gens. Pensez-vous vouloir nous y accompagner?» Je la contemple et mon regard bleuté si intelligent cherche à déceler sa prochaine réaction. «Je pourrais vous enseigner la médecine et l’escrime qui sait. Un peu comme un mentor le ferait envers son apprentie.

Hors-jeu. Je m’excuse platement de mon manque de vigilance. La vie quotidienne me laisse guère de répit.

   
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Bloody hell! EmptyVen 2 Sep - 9:55
J'ai cassé l'ambiance et j'en suis bien consciente mais au fond de moi je sais parfaitement que quand la loi n'est plus l'humain peut se montrer la créature la plus cruelle de l'existence. Je l'ai vu au dehors quand je trainais dans les squats où la loi n'est pas vraiment importante pour les habitants. Viols, vols, et même meurtres. J'en ai vu et entendu des tas. Non l'humain n'est pas bon et j'en ai eu la preuve. Néanmoins j'ai également conscience que, parfois, l'humain peut se révéler de confiance tout comme cet homme. J'espère ne pas me tromper à son sujet. Il tapote ma main et je souris avant de prendre le biscuit qu'il me tends. C'est un peu comme ci nous étions dans une bulle protégée de ce qu'il se passait dehors mais à peine sortie la réalité se montrera sur son jour le plus sombre.

- Il vous faut vous protéger et rester dans votre groupe afin que les autres puissent aussi veiller sur vous. Je pense que c'est primordial. dis je avec un petit sourire alors que mes mains sont occupées à dessiner les traits britanniques de l'homme. L'art m'avait manqué, elle me fait du bien un peu comme un join à vrai dire, mais qui ne fais pas tourner la tête. - Vous pourriez venir avec moi. On serait ravie de vous avoir avec nous. dis je avec un sourire sincère. Il n'était pas un fardeau à mes yeux, pas le moins du monde.

Il se lève et j'écoute ce qu'il me dit sur sa maladie, mon regard se fait attristé de savoir qu'il ne vivra pas encore de belles années, pourtant je le souhaite en secret, c'est une belle personne. Il parle de paternité. Je reste muette par respect et l'écoute simplement. Puis je termine son dessin que je signe rapidement " Avec toute mon amitié. Nina.D " , je regarde le résultat et souris tendrement. J'essaie de garder chaque détail de son visage en mémoire pour le dessiner à nouveau dans mon carnet afin de garder un souvenir comme je le fais avec tout ceux que je croise et qui me touche sincèrement.

Puis il parle d'un endroit et je lève les yeux vers lui. - Des militaires ? Non merci. Je n'aime pas vraiment les forces de l'ordre et toutes ces personnes. Je préfère ma liberté comme j'ai toujours fais. Je compte m'installer quelques part avec mon ami et monter un camps de bonnes personnes. dis je avec un sourire sincère avant de me lever et de ranger ma chaise. S'était peut être utopique mais je m'en moquais. Je remets mon sac sur mon dos en souriant. Je me rapproche de l'homme et lui tends le dessin - Ce n'est pas grand chose mais au moins vous ne m'oublierez pas. dis je avec tendresse avant de poser mes lèvres sur sa joue m'apprêtant à partir. Je me dirige vers la porte et le regarde un moment en remontant mon sac sur mon épaule. - J'espère de tout mon coeur vous revoir Alair. Vous êtes une bonne personne. Prenez soin de vous et de votre coeur. Je lui offre un sourire sincère et un clin d'oeil avant de sortir ... et de disparaitre.

[ Fin pour moi, merci pour ce doux rp <3 ]

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