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Un soupir de soulagement (Jezabelle Rivas)

Alair Goodman
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Un soupir de soulagement (Jezabelle Rivas) EmptyDim 9 Jan - 13:08
Un soupir de soulagement


Bonté divine que c’est passé plus que proche que mon existence finisse entre les ergots décharnés et les mandibules terrifiantes de ces parodies d’humanité ambulante. Note refuge tenait de manière sommaire assez bien le coup, les meubles et autres objets suffisaient à retenir les infectés hors de notre refuge et grâce à quelques cœurs braves, dont moi-même, nous avions assez de ressources pour tenir quelques jours supplémentaires. Nous avions bien entendu quelques nouvelles qui semblaient être d’une morosité et surtout un enregistrement perpétuel. De s’isoler, de signaler notre présence et de tenir bon car les secours étaient en route. Je ne pouvais m’empêcher de me sentir comme l’un des fameux combattants dans le fort isolé d’Alamo et de regarder l’armée mexicaine qui s’apprêtait à nous balayer de la surface de la terre. Pour l’illusion je me devais d’être stoïque, calme et surtout d’une politesse exemplaire qu’exigeait mon passé de fidèle serviteur de Sa Majesté. Je calmais les tensions avec mon humour pince-sans-rire, mon charme typiquement britannique et mon sang-froid qui faisait a renommé de tout britannique qui se respect. Que ce soit devant l’annonce qu’il allait manquer de thé ou bien de l’apparition soudaine d’une tornade, j’aurai le même réflexe. À savoir un haussement d’épaule et disant simplement «Bien» et je continuerai ma routine avec dignité. Malheureusement peu de personnes peuvent se vanter d’avoir ce stoïque si légendaire.

Une femme désespérée a reconnu son époux dans la marée de visage inexpressif qui se massait contre nos fortifications de fortune. L’amour étant plus fort que la raison, la dame fut prise par l’espoir vain que l’homme de sa vie serait épargner. Essayant d’ouvrir le battant pour le sauver, la masse putride à profiter de cette faiblesse tout à fait humaine pour s’infiltrer tel les bactéries par une blessure dans un corps sain. Ce fut littéralement un carnage et je n’ai pu que m’extirper de ce torrent nauséabond et cannibale que grâce aux réflexes d’escrimeurs que j’affine depuis des lustres et bien-entendu le stoïque que mes ancêtres britanniques m’ont transmit avec bienveillance. Dans cette fuite singulière pour la survie, je ne pus que remercier mon éternel côté rationnel d’avoir pris l’habitude d’emmener des provisions, thé et autres nourritures, dans ma sacoche de médecine qui ne me quitte aucunement. Avec quelques personnes, une famille de touristes japonais et Leroy ce costaud américain, j’ai pu leur apprendre la noble expression de filer à l’Anglaise et je n’ai pu m’empêcher de rajouter la célèbre expression «Courage, fuyons» que j’ai emprunter à la culture populaire.

Donc nous avons pu nous replier dans un désordre assez complet et après s’être éloigner de ce nouveau carnage, nous nous sommes réfugier dans une église. Nous ne désirons point prier pour notre salut, mais l’épaisseur des murs et architecture grandiose nous donnait à tous un sentiment de sécurité. Leroy, que j’ai appris qu’il était un ancien marine, prit le commandement du point de vue défensif et fit la vigie dans la clocher. Je prépara du thé pour calmer la famille traumatisé tout en taisant cette frayeur bestiale qui essayait de me saisir mon cœur patriotique et qui ne vibrait que dans la plus pur tradition britannique. Stoïque et élégance, me voilà simplement.

Après m’avoir assurer que tout le monde était sain et en santé physique acceptable, le côté psychologique sera un long cheminement pour plusieurs d’entre nous, je me décide de faire un tour des lieux histoire d’avoir l’esprit apaiser. Je vérifie chaque issue, chaque porte avec une minutie qui dicte ma dextérité pour mon métier bien-aimé. Le claquement de ma canne résonne en rythme avec ma démarche droite et fière et mon maintient élégant. La porte arrière est malheureusement entrouverte et je me dois de la fermer pour empêcher que les infectés en profite pour nous prendre par en arrière. Désolé je double-sens, mais pour en rajouter une couche je ne désire point être baiser de nouveau et de me trouver les pantalons aux chevilles. J’ouvre alors la porte pour vérifier l’extérieur après avoir écouter avec attention pour décercler un bruit alarmant...
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Un soupir de soulagement (Jezabelle Rivas) EmptyMar 11 Jan - 2:09
Un soupir de soulagement

Jezabelle Rivas & Alair Goodman



Ma dernière sortie n’était pas des plus calmes, mais je n’avais pas eu le choix de m’exposer au dehors pour me remplir un peu en rations. La nourriture manquait à l’appel, je ne pouvais pas attendre de ne plus en avoir du tout avant de bouger et en chercher, j’étais seule depuis un moment, il fallait que je rectifie cette situation. J’avais choisi un petit dépanneur pour me trouver quelques cannages si la chance me souriait. J’y était entrée par derrière, en me demandant les chances que j’avais de pouvoir y dénicher ce que j’était venu chercher. Rien de bien intéressant pour l'heure, je fourra tout de même une poignée de vis et trois câbles trouvé dans mon sac à dos.

Mon séjour fût plutôt bref, des rôdeurs se ramenaient et je dû quitter l’endroit prestement avant de servir moi-même de chair à pâté. Il n’y avait pas grand-chose autour, une mine désaffectée, un cimetière et l’église qui s’harmonisais avec l’endroit et quelques bâtiments déserts. J’optai pour l’église, offrant une architecture solide en grosse pierre, je pourrais y trouver refuge sans doute. J’entamai une course effrénée vers l’arrière du bâtiment, m’arrêtant net en entendant du bruit. La porte arrière était entre-ouverte mais ces nez à nez avec deux bouffeurs de chair que je me retrouvai, sans m’apercevoir que quelqu’un venait de se montrer dans l’embrasure de la porte.

Mon poignard, poing américain serais d’une aide cette fois.
Arme:

Je ne pris pas de temps pour balancer mon poing à la figure de celui qui ouvrait la bouche près de moi, lui assénant plusieurs coups de poing, dans des bruits ahurissant de fracture, je parvins à lui broyer la mâchoire et lui enlever toutes les dents qu’il avait en bouche. Son destin serait bien pénible sans dent pensais-je en venant l’achever avec la lame de mon poignard, du sang giclant sur l’établissement de croyant. Tandis que le second se rapprochait rapidement, je ne me fis pas prier pour en terminer avec lui et c’est sa tête contre une pique de la clôture en fer forgé qu’il termina sa course, figeant sur place la bouche ouverte, les yeux vides d’émotions.

Je me retournai essoufflée vers l’entrée du bâtiment, du sang éclaboussé de la tête au pied et aperçu un vieil homme.

Hey ! Dis-je simplement, en guise de salutation un peu surprise de le voir là. Je reprenait doucement mon souffle portant le revers de ma main dans mon visage pour essayer de nettoyer le liquide rouge qui me décorait pour l’heure, en vain. J'avais plutôt le visage d'une fille qui venait de faire un massacre et qui s'était amuser à ce peinturer le visage pour le plaisir.

Je rapportai mon attention autour cherchant d’autres cadavres ambulants et une possible alternative si le vieux décidait de ne pas me laisser entrer dans son antre. Après tout il était là avant moi.

Je.. Je pourrais demander gentiment l’hospitalité? Le temps de reprendre mon souffle… de boire un peu… Je ne vous dérangerai pas longtemps, je dois reprendre la route rapidement de toute façon. Dis-je en croquant un sourire en coin.


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Un soupir de soulagement (Jezabelle Rivas) EmptyMer 12 Jan - 2:23
Un soupir de soulagement


Je tiens à vous spécifier que je ne suis guère de ce penchant, à savoir regarder sournoisement par la porte entrebâiller de derrière. Dans ma jeunesse un peu volage, j’ai bien tenté quelques petites expériences coquines, mais ayant l’honneur de représenter les idéaux de civisme ainsi que le savoir-vivre de la noble tradition des gentilshommes britanniques je ne mange plus de ce pain des plus affriolant. Mais en cet instant précis, avec le contexte chaotique et hasardeux qui se profile sur mon humble existence, la prudence est de mise. Donc avec une subtilité guère des plus glorieuse, je n’ai jamais été un bon joueur de chat perché car je préférais passer mes journées à apprendre dans ces bouquins qui ont parsemé ma vie, je passe ma tête dans l’ouverture avant de verrouiller cette ouverture à double tour. Deux parodies d’humanités se redresse alors en me jetant un œil ravi. Une attitude gourmande qui fait subitement songer aux air ravis des Américains qui peuvent manger en abondance dans les buffets. Soupirant avec lassitude, me redressant tel le lion glorieux qui est le symbole de ma famille, je m’apprête à faire un quart de tour pour dévoiler la lame d’acier cacher dans le bois solide de ma canne de marche. Mais une demoiselle arriva alors sur l’entrefaite et telle une furie des temps jadis, elle entre dans une valse mortelle avec mes deux agresseurs. Je reste stoïque, imperturbable comme l’exige la vocation de digne Serviteur de sa Majesté que j’ai embrasser avec ma passion coutumière. En quelques instants les deux cannibales ayant l’effluve de la Faucheuse tombe au sol de manière on ne plus définitive. La guerrière qui semble subitement à avoir travailler dans un abattoir me regarde avec un regard attendrissant. Elle me salut et tout naturellement, comme si nous étions autant dans un bal de charité que dans ce jour des plus singulier, je la répond d’un signe de de tête aussi respectueux que courtois. D’un geste invitant de la main, avec une noblesse digne de mes dignes racines, je l'invite à s'avancer. Bien le bonjour ma chère. Je vous prie de pénétrer rapidement afin que je colmate cette brèche avant que des visiteurs autant cannibales que nauséabonds profitent de mon inattention pour déguster un humble Britannique en visite pour admirer les beautés de la France. Mon ton est apaisant, distinguer et mon français n’est que légèrement briser par mon accent anglais qui donne une saveur exquise selon plusieurs personnes.

Dès que la demoiselle eut entrer avec une célérité digne du célèbre vif-argent, je m’empresse de fermer la porte pour la verrouiller de l’intérieur. Je la regarde alors avec mes iris d’acier bleuté qui respire l’intelligence et surtout la bienveillance. Je m’excuse ma chère. Les circonstances de notre rencontre m’a fait oublier momentanément la plus élémentaire des règles de l’étiquette. Je me nomme Alair Goodman, médecin et serviteur assidu de Sa Majesté à votre service. Je lui fais don sourire apaisant. Je lui prends sa main épargner par le déluge d’hémoglobine morbide. Je ne fais pas le baisemain prescrit et romancer par les films. Je n’effleure que de mon souffle le dos de sa main somme toute gracile, car plus le rapprochement et la connaissance est grande, plus que ce moment est intime. Vu la brièveté du moment et sa combativité, je m’abstiens avec une retenue de bon goût. Si vous désirez, j’ai du thé chaud et des biscuits pour la pause de 17 heures. Malgré cette situation, je m’accroche à mes nobles habitues. Je souris en caressant ma barbe taillée avec un soin jaloux. Je crois qu’il serait préférable de passer à la salle d’aisance pour vous nettoyer un peu.

Je pointe vers le haut avec un air digne et sophistiqué tout en m’appuyant avec élégance sur ma canne de marche. Il y a peu l’hôtel où j’étais loger et fortifier fut prise d’assaut par ces cannibales dégénérer. Plusieurs ont péri et j’ai pu emmener en sécurité quelques personnes. Je songe surtout à la famille japonaise et leurs jeunes enfants qui ont vu trop d’horreur. Donc votre présence charismatique et magnifique, quoique assombri par le sang, pourra leurs causer préjudice. Toujours un civisme et une bienséance et surtout une politesse sans ambages, voilà ce que je suis.

Je l’invite à se rendre à la salle de bain avec panache et surtout un regard suppliant. Si vous désirez des nouvelles tenues, j’ai cru remarquer plusieurs vêtements non loin. Bien entendu sur mon honneur je vais rester d'une décence et surtout d'un respect pour que nos rapports restent courtois. Je peux vous aller en chercher ma chère. Flegme et bienséance sont mes cartes de prédilections en toutes circonstances,

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Un soupir de soulagement (Jezabelle Rivas) EmptyMer 19 Jan - 22:05
Un soupir de soulagement

Jezabelle Rivas & Alair Goodman



Je fus surprise par l’apparition de l’homme dans l’embrasure de la porte mais d’avantages lorsqu’il me parla. On aurait dit un gentleman sortit tout droit d’un film de 1800. Je m’étais prestement dépêcher d’entrée dans le bâtiment en question, alors qu’il offrait que j’y fasse mon insertion, permettant à mon souffle de retrouver un semblant de rythme singulier. Je ne me fit pas prier pour prendre repos.

Je vous remercie monsieur.


Il fit c’est présentation dans les normes enfin… dans les bonnes normes de l’aristocratie je suppose, je n’avais jamais rien vécu de tel avant aujourd’hui. Il effleura ma main de son souffle en guise de baise-main et je ne peux m’empêcher de ricaner. Je me force même une petite révérence simpliste et un hochement de tête en guise de bonjour dans un sourire mi-sérieux, mi-amusé.

Je vous dicte également le bonjour mon cher c’est un plaisir de vous rencontrer. Bien que j’aurais espéré faire une entrée un peu moins sanglante. Navré pour tout ça! Ajoutais-je dans un rictus amusé. Je suis Jezabelle Rivàs pour ma part, on pouvait aisément discerné un petit accent espagnol dans son ton de voix, je suis entraîneur pour les forces spéciales militaires.

J’acquiesce lentement à ses mots, comme une enfant qui se fais proposer une baignade chez un ami fût un temps, mes yeux grands s’ouvrent et je souris. Je suis preneuse pour le thé et les biscuits il en va de soi! Alors qu’il me dicte avoir besoin d’un rafraîchissement je me regarde doucement.

Oh oui, en effet ce ne serais pas de refus. Je ne pouvais nier avoir besoin d’un petit nettoyage, je devais empester le sang frais et même séché depuis plusieurs jours. Je suis son regard alors qu’il m’indique où me rendre pour répondre à cette demande.

Et bien soit, je vais me rafraîchir, je ne voudrais pas traumatisés qui que ce soit. Je serais également preneuse pour de nouveaux vêtements je profiterai de l’occasion pour nettoyer les miens. Je vous remercie d’avance Alair, c'est fort aimable à vous. Lui envoyais-je en souriant gracieusement avant de me dirigez vers l’étage où se trouvais la toilette encore en état.

Je mis le bouchon dans le lavabo et utilisai du savon pour me nettoyer, retirant le sang sur mon visage et même dans mes cheveux de jais. J’humai le parfum un moment, appréciant cet instant où je pourrais sentir la rose fraîche matinale. Il y avait un moment que je n’avais pas pris la peine de me rafraîchir de la sorte.

Je pris la peine de nettoyer mes vêtements souillés et de les accrochés sur la balustrade pour les faire sécher après avoir enfiler les vêtements laisser par mon hôte du moment. Je redescendis les escaliers pour retrouver le docteur et les quelques gens présents. Les saluant d’un geste de la main.

Bonsoir tous… Lançais-je tout bonnement.


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Un soupir de soulagement (Jezabelle Rivas) EmptySam 22 Jan - 12:38
Un soupir de soulagement


L’accent espagnole, je ne peux le cacher, me fait vibrer plus que de raison malgré mon attitude stoïque et digne. Voyez-vous j’adore tout ce qui est étranger, les mœurs et les langues surtout, à mes habitudes de serviteur fidèle de sa Majesté. Avec respect et surtout diligence je lui laisse des vêtements et je ne peux m’empêcher d’être charmant au travers du battant. Et pour la cause je me lance dans la langue espagnol qui est rehausser en douceur par mon accent calme et serein de mes nobles origines anglaises. No hay razón para sentirse inquieta mi querida Jezabelle. Estoy dispuesto a apostar una taza de té contigo a que tus entradas, ya sea en el calor del momento o tan informales como en una boutique, llaman la atención.(Il n'y a aucune raison d'éprouver un malaise ma chère Jezabelle. Je suis prêt à parier un thé en votre compagnie que vos entrées, que ce soit dans le feu de l'action ou bien aussi naturelle que dans une boutique, fait tournée toutes les têtes.) Je rajoute en revenant avec panache dans la langue si harmonieuse de Shakespeare. Je vous prie de m’excuser pour avoir usée et massacré votre langue natale, mais pour ma gouverne je suis rouillé tel que peu.

Je retourne voir mes compatriotes d’infortunes et ma démarche est aussi droite et digne que l’exige l’étiquette attribuer aux gentilhomme. Même ma canne semble en symbiose avec mon mouvement plein d’élégance et je rejoint la famille Han qui se repose dans la nef. Watashinotomodachi wa subete anzendesu. Sutekina ocha no gesuto o omukae shimasu. Sugu ni anzen chitai ni hairu to yakusoku shimasu.(Tout est sécuritaire mes amis. Nous aurons une charmante invitée pour le thé. Je vous promet que bientôt nous serons en zone sécurisé.) Vous ai-je déjà mis dans la confidence que je suis polyglotte? En ce moment je suis le plus apte à rassurer cette famille japonaise qui voulait visiter les merveilles de Paris alors que le chaos à écourter nos vacances. Je sors mon nécessaire de thé de ma sacoche de médecine, je ne serais pas un britannique de ce nom si je n’emporterai pas ce qu’il faut pour prendre le breuvage emblématique de ma nation bien-aimée, et bientôt le réconfort liquide est prêt. Quand ma guerrière arrive et se présente, je me redresse avec un sourire accueillant. Oh ma chère Jezzabelle bonsoir. Voici les Han,juste les parents parlent un peu l’anglais et je me défend en japonais. Je présente la demoiselle à la famille qui l’acceuil avec un sourire. Comme le gentilhomme que je suis, je présente mon bras pour l’escorter à un banc de prière.Avec politesse, civisme et diligence je lui donne son thé avec ses préférence en matière de sucre ou de crème. Avec candeur je lui fais dons de quelques biscuits au beurre.

Le colosse américain arrive et Leroy annonce qu’il a inscrit des messages demandant de l’aide et accrocher des rideaux pour attirer l’attention. Il semble dévorer des yeux la demoiselle fort séduisante et je lève mon regard vers les cieux pour chercher la force d’endurer l’impolitesse qui semble devenir chose si commune de nos jours. Mon cher Leroy, je vous prie de cesser de dévorer la magnifique lady Jezzabelle des yeux. Elle semble exténuer d’avoir passer la journée à repousser les tentatives maladroites des cannibales putrides qui ne songeait que te mordre dans sa chair. Donc un peu de savoir-vivre que diable. Leroy fait un sourire d’excuse et s’assit près de ma humble personne pour boire une bière qui sort de son sac de voyage. Je porte mon attention vers la sublime demoiselle et lui demande avec un sourire autant charmant qu’apaisant. Je vous crois sur parole pour votre rôle d’instructrice en combat rapproché pour les unités d’élites. Puis-je vous demander si nous pouvons espérer du secours dans cette zone de la ville? Ou si vous avez besoin de moyen de communication, je crois que les Han ont des cellulaires tout comme moi. Et je pense avoir remarquer une radio à onde courte dans le clocher. Je prend alors une gorgée de thé avec cette dignité et cette classe qui sont habituellement ma carte de visite.

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Le Gentleman faisait tout en son pouvoir pour me faire sentir le plus à l’aise possible, jusqu’à faire l’usage de ma langue maternelle qui avait pour résultat d’étirer un large sourire amusé à mes lèvres. Le fait de parler espagnol me ramena quelques souvenirs de mon enfance, j'était heureuse de l'entendre une nouvelle fois, même si l'accent anglais état perceptible, cela me fit comme une vague de chaleur et de réconfort.

Je vous remercie, je ne pense pas faire autant de chavirement mais je suis bien preneuse pour un thé ou n’importe quoi de plus fort peu m’importe. La route fut longue, avouais-je en inclinant doucement la tête. Quoiqu’il en soit vous ne l’avez pas du tout massacré, l’effort était présent et de bien bonne intention. Je vous remercie. Finalisais-je en retournant doucement à mes occupations. Soit tâcher de reprendre des couleurs normales et sentir un peu plus la rose dans la salle de bain.

Je revins en bas serviette en main poursuivant de faire sécher ma chevelure, saluant les gens présents d’un signe de main bien discret et un d’un bonsoir qui se voulais rassurant. Alair me présente auprès des asiatiques présent que je salue d’un hochement de tête polie en ajoutant un fin sourire à mes lèvres. Il m’invite doucement bras dessus dessous à prendre place sur un banc de prière pour y déguster le thé qu’il m’offre et les biscuits que je prends volontiers en le remerciant plusieurs fois.

Lorsque Alair lève la voix pour réprimander son acolyte, je suis surprise par les paroles et je lève finalement les yeux sur l’homme en question en arquant un sourcil, remarquant finalement son regard sur ma personne. Je laisse échapper un rire alors que nos regards se croisent puis rapporte mon attention sur Alair à mes côtés finalement ne faisant pas cas de cela, un brin amusé d'ailleurs.

Oh je ne crois pas que des secours son en chemin pour ici, cependant je pourrais vous escortez à la base la plus proche. On peut toujours tenter une communication et demander du renfort à mi-chemin. Croyez vous que votre équipe pourrais tenir jusque là ? Vous savez combattre? Demandais-je une pointe d’interrogation dans la voix en scrutant les gens présents. Pour Alair et LeRoy, je n’en doutais point cependant les asiatiques eux, ne semblait guère prendre part à quelconque marque de violence que ce soit.

Je lève doucement la tasse de thé à mes lèvres à mon tour, soufflant quelques peu dessus avant d’y prendre une fine gorgée. Croquant un biscuit pour la peine.

Vous souhaitez vous rendre à quel endroit exactement ? Demandais-je en posant mes yeux sombre couleurs noisettes sur l’homme à mes côtés.



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Sacré Yankee à la noix! Nous sommes dans une situation des plus catastrophique et potentiellement mortelle. La famille Japonaise est des plus traumatisés par la prise brutale de notre refuge par les morts-vivants et je ne peux que bénir le noble sang qui véhicule dans mes veines pour ce stoïques et ce flegme qui rend si particulière l’héritage britannique. Alors que Leroy, malgré son expérience en zone de déploiement en terrain hostile, reluque ouvertement la magnifique militaire. Je suis vieux jeu dans ce domaine. Le civisme, la courtoisie et faire une cour appropriée sont la base de mon éducation de serviteur de Sa Majesté. À l’inverse la jeunesse dorée ne songe qu’au sexe et de replonger par la suite dans l’océan pour dénicher une autre sirène. Levant un sourcil perplexe et mi-amusé, je déploie mon charme et mon charisme de gentleman pour imposer une sanction croustillante pour celui qui vient de l’Amérique. Mon cher ami, j’ai une petite idée qui saura renouveler votre grâce et votre sophistication à mon regard désapprobateur. J’ai cru remarquer une bouteille ambré qui vient de votre contrée, vous savez fermenter avec passion par votre cousin Jack Daniel? Je ne peux accéder à la demande de notre invitée scintillante car je n’ai que des flasques d’alcool pour désinfecter les plaies. Mais vous mon cher vous saurez ravivez son sourire exquis avec une larme de bourbon dans ce noble breuvage. Et si le cœur vous en dit pour pourrez pousser la bienveillance à faire tourner littéralement la bouteille car tous semble avoir besoin d’un remontant corsé. LeRoy hoche la tête, pourquoi ai-je la présomption qu’il n’a pas tout saisit de mon plaidoyer d’éloquence si britannique, et sort la bouteille pour en offrir aux gens présent. Je le remercie avec un sourire bienveillant.

J’écoute avec attention la sulfureuse de demoiselle, je cache mon jeu avec mon masque placide et stoïque que doit posséder dans son arsenal social chaque gentleman de ce nom, et je hoche du bonnet à la mention de pourfende les ennemis dégénérer qui hante la métropole. Déposant ma tasse métallique sur le banc, c’est un service de thé de camping qui réside dans ma sacoche de cuir et non ma plus belle porcelaine, je pivote la tête rugissante du lion d’argent qui orne le pommeau de ma canne. Je mets au clair quelques centimètre de la lame d’acier qui se cache dans ce complément stylisé de mon apparence soignée. Capitaine de l’équipe d’escrime d’Oxford ma chère. Je ne divulguerais point l’année de promotion pour ne point trahir mon âge somme toute vénérable. Mais sachez que je me défend admirablement et que je m’entraine de manière journalière. Un esprit curieux et sain dans un corps vieillissant mais sain tel est ma devise. Dis-je en souriant de manière douceâtre et apaisante tout en cachant ma lame dans son étui d’acajou des plus solide. LeRoy dit avec enthousiasme que le vieil homme que je suis sait manier la lame comme il n’avait vu que dans les films. Il désigne ensuite sa hache d’incendie et son pistolet trouver sur un gendarme qui avait rejoint malheureusement la horde putride. Pour les parents Hans, ils avaient trouver des pattes de chaises pour défendre leurs marmailles. Pour parfaire ma réponse à cette demoiselle qui est devenue la digne image de Jeanne D’Arc pour nous libérer de notre fâcheuse situation, je dois me surveiller car cette dernière n’aimait guère mes nobles descendants, je dis avec douceur. Je crois que nous devrions laisser tomber la poussière et nous reposer au moins quelques heures. Les enfants sont fatiguer et les Hans ont besoin de se reposer. Nous pourrions appeler des renfort pour signaler notre emplacement et vu que vous êtes une auxiliaire de l’armée française, vous pourriez connaître des fréquences que votre bataillon utilisent. Je plonge mon regard d’acier bleuté si paisible et déterminé dans les noisettes tentatrices de la beauté mexicaine. Pour être honnête ma chère, j’aimerais mieux être dans les Highland à m’occuper de ma fermette et d’avoir le privilège de vous offrir le thé en ce lieu paisible. Mais je prendrais la parole pour le groupe en disant simplement de se rendre là où la nuée putride ne sera point présente. Et si c’est une zone d’évacuation, je pourrais offrir mon aide dans mes domaines de prédilections. À savoir la chirurgie d’urgence et la médecine. Je saisis ma tasse pour boire une petite gorgée de ce breuvage ma foi divin. Je pourrais vous montrer la salle de radio découverte par LeRoy après le thé si le coeur vous en dit ma chère Jezabelle? Mais de grâce, puis-je combler ma curiosité intellectuelle et sociale en ayant le courage de vous demandez de me parler un peu de vous? Je ne suis que courtoisie, tact et diligence comme le fidèle serviteur de Sa Majesté que je suis.

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