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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel

Nina Delacourt
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyVen 25 Mar - 21:31
Nous avions réussis à mette un terme aux zombies. Enfin "nous" je n'avais rien fais, je ne savais pas me battre et je réalisais que cela devenait réellement problématique. Non seulement je ne pouvais pas me défendre mais en plus je ne pouvais pas défendre mes proches, ce qui était encore plus grave en mon sens. Samuel était vraiment mal partie et je dis mon maximum pour essayer de le faire revenir à oui mais surtout de le faire quitter l'endroit.
Le médecin partit rapidement avec la militaire et le quatuor fit de même laissant notre duo et le géant derrière eux. Les paroles de ce dernier me briserent le cœur plus encore qu'il ne l'était déjà. Ma main se posa alors sur son bras.- C'est hors de question. Vous venez avec nous ! dis je en lui souriait, entraînant les deux hommes avec moi vers l'endroit où je me sentais le mieux sur terre : mon camion.

Sortant enfin des tunnels il ne fallut pas beaucoup de temps pour rejoindre la maison sur roues. Je pris la clef dans ma poche et sans attendre plus longtemps entra dans ma maison. Je me sentais tout à coups bien mieux.- Montez, attention la tête dis au géant qui devait tout juste faire la bonne taille pour ne pas toucher le ppafont. Il ne restait pas beaucoup de place mais nous étions sains et sauf. Je pris rapidement place au volant pour démarrer, je n'allais pas attendre plus longtemps pour filer vers les arrondissements safes.

- Sam, tu peux prendre mon téléphone ou le tien et regarder les arrondissements safes ? Ils doivent en parler sur les réseaux, c'est là bas qu'on va aller, du moins pour le moment. Il faut qu'on souffle un peu. dis je avec détermination ce qui était malheureusement assez rare chez moi.

J'avais envie de m'effondrer et ça arrivera sûrement plus tard mais pour le moment je devais, je voulais quitter cet endroit de malheur je voulais rejoindre la safe zone et pour cela je comptais rouler sans m'arrêter j'allais d'ailleurs devoir penser à faire un réservoir si je voulais rouler encore longtemps, je n'étais pas en réserve mais l'essence ne serait pas éternel.
Robert Durocher
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyVen 25 Mar - 22:22
L’immonde cauchemar ambulant était prêt à se sacrifier, retarder la prochaine vague de putréfaction pour l’empêcher de se briser sur les récifs de l’humanité et la submergé. Mais le contact céleste et doucerâtre sur la peau sillonné par tant de cicatrices repoussantes. La respiration colérique et digne du mystique minotaure s’arrêta subitement devant ce miracle qui venait de se produire. Un geste si merveilleux que l’être honni de tous s’étaient vu refuser des milliers de fois et qui avait littéralement briser le peu d’estime que sa nièce avait réussi à instaurer au palpitant malmener de la Bête. Docilement il suivit l’être de lumière, de bonté et de gentillesse hors de l’enfer souterrain où les morts revenaient à la charge de la surface. Une moto parti en trombe et le fou au kilt s’éloigna avec un trio de survivants. Avec maintes précautions, le golem de chaire portant des stigmates d’une violence injuste. Il s’assit lourdement et laissa l’ange et l’homme prendre les sièges de l’avant. Bougeant son épaules endolories, l’homme pieu fit une prière pour que le paradis surveille et protège la Belle qui arpentait chaque instant de son esprit horriblement désertique. Un petit jappement le tira de sa mélancolie et l’état lunatique qui semblait être une seconde nature pour le géant au regard océanique si pur qui rappelait l’éclat de la mer sous un doux soleil d’été. Le chiot sorti la tête du sac en bandoulière et lécha la main calleuse si énorme qui pouvait englober le visage d’un homme dans sa paume. Dans un murmure qui rappelait les rocher déboulant un flanc de colline, les mots se succédèrent avec lenteur.

Robert- Euh... Rocky... Euh... Oui pas de méchants mordeurs... Euh... Tu as fait ça comme un grand... Euh...

Voyant les deux sauveurs le regarder avec curiosité, le monstre de foire se fondit dans la pénombre et baissa la tête de honte de leur imposer sa présence dégoûtante.

Robert- Merci... Euh.. Personne ne m’aide... Euh... J’ai l’habitude... Euh... On n’aide pas monstre... Euh.. Si Rocky dérange on peut sortir...

Voyant un panneau où des photos des disparus ornaient la surface. Robert demanda d’une petite voix suppliante.

Robert- Euh... Je peux sortir un moment... Euh... Rocky peut rester?

La suspension remonta de quelques centimètres quand l’immonde montagne de muscle descendit. Rapidement il déposa au pied du poteau un sac à dos d’école qui contenait quelques conserves, un couteau de survie, une bouteilles d’eau et des pansements. Dessus une note écrite d’une main peu sûr et maladroite, à l’orthographe enfantine et désastreuse. Pur Eidait (pour aider). Le colosse balafré de toutes part revient et pour entrer maladroitement dans le véhicule qui lui était si exigu. Retournant dans l’ombre, le Goliath des temps eut un doux sourire en voyant le bouledogue français blanc comme la neige dans les bras de l’être de lumière.

Robert- Euh... Rocky plus intelligent que moi... Euh... Pas de cerveau... Euh... Lui voit gens au bon coeur... Euh... Moi vouloir aider... Euh... Mais gens ont peur du monstre... Euh... Pourquoi vouloir aider monstre?

Il rajouta timidement.

Robert- Moi connaît... Euh... Bonne cachette... Euh... Moi peut montre à Ange et Homme... Euh... Moi doit chercher manger à Rockey et nettoyer allée 5 de poussière... Euh... Moi promis de m’occuper de cachette à monsieur qui m’a donner clef...

Comme à son habitude le géant et naïf laissait libre court à sa gentillesse et sa candeur qui fut maintes de fois abuser...
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyDim 27 Mar - 14:58
Ces tunnels qu’on prenait pour déserts, n’étaient plus que horreur. Samuel cru bien naïvement, qu’il pouvait encaisser les pires atrocités de cette fin du monde avant de perdre pour de bon la raison. Ce ne fut qu’une erreur bien malheureuse. Avant, dans le gymnase, ce n’était qu’une orgie de violence et de panique sans le moindre sens. Aucun, évitant au catalan de comprendre ce qu’il se passait et ne pas songer au massacre. Mais là, il a vu de ses yeux des gens innocents mourir. Les cris de terreurs et de douleurs extrêmes, alors qu’on leur arrachait peau et chaire. Femmes, enfants et hommes courageux mourir ainsi. Samuel ne ressentait plus ses jambes, plus aucune force pour courir. Il était comme perdu, le monde lui tournait autour pour disparaitre.

Il aurait put rester là, paralysé par son malaise, se rendant compte qu’il se ferait dévorer à son tour qu’au dernier moment. Que quand un zombis lui aurait arracher un bras ou la gorge avec ses dents. Mais ce funeste destin, il y échappa grâce à Nina. A son tour elle était venue le retrouver pour l’aider. Hélas, Klein fut si perturber par ce qu’il venait de voir, déconnecter de cette abominable réalité, qu’il n’entendit presque pas son amie lui parlait. Il remarqua la bouteille d’eau qu’on lui tendait. Et d’une main hésitante, l’esprit ailleurs et les forces manquante, il se prit une gorgée faible buvant sans conviction.

Tout l’univers reprit peu à peu place quand la jeune femme posa sa main sur sa joue et que leur regards se croisèrent. Même dans la peur, Nina apparaissait là comme un être céleste providentiel. Comment Jackson a put abandonner quelqu’un d’aussi merveilleux ? Ses esprits reprenant place, la première idée censé qu’il se fit fut "Je déteste Jackson !" Il éprouvait une puissante colère envers son amie d’avoir si lâchement abandonner une femme comme elle. Samuel fut dans l’obligation de ses principes, rester pour veiller sur elle, sur son amie si chère. Et plus d’une fois, il a eut peur de la voir mourir. Pourquoi le géant canadien n’était pas là pour la protéger ? Comment avait-il oser ! Montagne de muscle ou pas, Sam voulait lui exploser la tête pour ce qu’il avait fait à Nina !

La jeune femme vint embrasser sa joue pour le motiver, lui tenant la main et lui rappela cette vieille conversation. Elle n’avait rien oublier. La ferme, le chien. Ceci surprit l’ancien barman qui lui murmurait comme quelqu’un sortant d’un rêve "La ferme... Un chien oui..." Il émergea comme un plongeur et tout revenait assez proche de la normale. Sam suivit Nina et tous deux filèrent dans le camion.


*****

L’instinct de survie l’aida aussi à rester maître de lui-même et à s’échapper du tunnel. Samuel monta dans le camion et prit le côté passager. Dans son état, il valait mieux sans doute éviter qu’il touche le volant. Le véhicule eut une légère secousse. Le catalan pensait que des pneux venaient de crever ou qu’un monstre, un zombis géant ou plusieurs s’étaient hisser derrière. Mais en se retournant, il eut la grande surprise de découvrir bien un géant, mais vivant. C’était le colosse qui leur avait libérer le passage. Nina l’y avait inviter, donc il ne posa pas plus de question que cela.

Delacourt démarra et demanda à Klein de trouver un safe zone avec un téléphone. Le barman attrapa le sien. Avec un peu de chance, il y avait encore du réseau. C’est alors qu’il remarqua que le géant n’était pas seul. Une petite tête sortait de son sac. Leur invité semblait intimider, malgré sa taille imposante, peur que l’animal ne soit pas le bienvenu et donc prêt à descendre. Il avait une façon de s’exprimer assez étrange aussi. Mais Samuel mettait cela sur le compte de l’émotion.

"Non non, vous êtes les bienvenus t'en fais pas." Voulu rassurer Samuel.

Laissant donc leurs deux invités prendre place, le catalan se reconcentra sur la tâche qu’il lui fut donner. C’est alors qu’il découvrit qu’il tremblait. Sa crise n’était pas totalement passée et même, ayant des difficultés à pianoter sur son appareil, Klein sentait la colère lui montait. Lui dont il fallait beaucoup pour énerver, le voilà presque à bout. Il tenta d’éviter le pire, mais en jetant son téléphone sur le panneau de contrôle, abandonnant déjà.

"Désolé." Disait-il, plongeant sa tête entre ses mains comme s’il était prit d’une forte fatigue. Il avait besoin d’un moment pour se calmer.

Le géant demanda s’ils pouvaient s’arrêter. Klein laissa Nina décider, ne se sentant même plus capable de réfléchir et donc de répondre. Il fut néanmoins témoin du manège, un sac laisser pas loin d’un mur de disparus. Il interrogea leur passager du regard, sans doute aussi surprit tout autant que la jeune femme de ce qu’il était en train de faire. Une explication fut donner, et Samuel fut surprit de constater le bon cœur et la naïveté de ce géant. Il trouvait cela louable, mais il n’était pas en état de faire le moindre compliment. Cependant, entendre parler d’un endroit, d’une cachette visiblement un supermarché, cela devenait plus intéressant.

"Tu parles d’un centre commercial ? Tu sais s’il est encore fournit ou pas et si tu peux nous y emmener ?"
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyDim 27 Mar - 20:37
Sam semblait se souvenir de notre discussions, de notre projet. Je ne savais pas si j'avais vraiment réussi à le remotiver mais au moins on pu sortir du tunnel afin de rejoindre le camion. Je montais à l'avant pour prendre le volant, Sam à mes côtés et Robert a l'arrière. Quand j'entendis un petit couinement je me tournais surprise en voyant une petite tête de chiot adorable, Robert semblait désolé et intimidé

Ohhh,il était là tout ce temps ? Bien sur qu'il ne déranges pas. Prend un bol et une bouteille d'eau il dois avoir soif le pauvre. Il est adorable. un sourire sincère aux lèvres je démarrait pour quitter l'endroit. Nous étions trois à nouveau même si Jackson n'était plus avec nous depuis quelques jours/semaines maintenant. Il m'arrivait d'en faire des cauchemars mais il me suffisait de regarder vers le canapé où dormait Sam pour me rassurer. Je n'étais pas seule.

Sam regarda le téléphone comme je lui avais demandé mais cela n'allait visiblement pas, il jeta le téléphone sur le tableau de bord me faisant sursauter. Je fis un signe de tête C'est rien. dis je simplement avant que notre géant nous demande de s'arrêter. Je le laissais faire et m'arreta donc un instant. Je me tournais vers Samuel et posa ma main sur la sienne. Je ne dis rien mais montrais ma présence j'étais la pour lui comme il était pour moi. Nous formions une équipe et j'allais lui laisser le temps qu'il lui fallait pour s'en remette. Nous en avions tous besoin.

Robert remonta après avoir laissé un sac. Tu n'as rien d'un monstre Robert. C'est très gentil ce que tu fais. Je te laisse nous guider on va aller voir cet endroit. On pourra peut être s'y reposer un peu. Je crois qu'on a tous besoin de repos. et d'un joins. Et d'alcool. J'avais besoin de me mettre tellement mal que je ne penserais plus à ces plages qui tournaient dans mon esprit. Ce pauvre petit... Je ne me montrais pas mais j'étais terriblement mal.

Robert Durocher
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyLun 28 Mar - 18:49
L’être repoussant au cœur immense et débordant de candeur caressa la minuscule bête tellement mignonne qui s’était réfugier dans ses bras si chaleureux. Empathique à l’excès, tellement que chaque regard méprisant et dégoûter signifiait pour l’être si sensible un coup d’une violence inouïe, le golem de chair portant tellement de stigmates d’une violence injustifié sentait la mélancolie et la tristesse qui se propageait des deux êtres. L’ange de la compassion essayait de donner de sa lueur si merveilleuse à l’Homme qui semblait si désespérer. Malgré qu’elle même souffrait Baissant son regard océanique remplis d’une sollicitude surnaturelle et d’une bonté qui aurait dû être étrangère dans ce corps déformer par la laideur de cette musculation saillante, la Bête affreuse secoua sa tête avec douceur et tristesse. Sa voix lente et incertaine qui ressemblait à un petit éboulis rocailleuse franchit ses lippes exsangues et nullement attirantes.

Robert- Non moi monstre... Euh... Gens me le disent tout le temps... Euh... Mes parents disaient... Euh... Erreur... Euh... Et monstre... Euh.. Pas grave moi... Euh... Veut juste aider... Euh... Vous connaissez mon nom? Euh... Moi pas rappeler de l’avoir dit...

Juste le bon docteur avait prit la peine de s’informer du véritable prénom de l’erreur de la nature. Sans un mot de plus il s’avançant accroupit, prenant garde de rester dans la pénombre salvatrice de l’habitacle arrière. Essayant de camoufler la honte d’exister tout simplement et surtout de ne pas révulser le couple tout près. Rocky leva sa truffe et tout joyeux alla en montant gauchement dans les bras de l’Homme durement éprouver. Le chiot se prélassa sur les cuisses du viril passager et leva des yeux suppliant pour avoir des caresses. Plissant ses papiers sur l’effort surhumain de se rappeler des questions, le simplet leva ses larges épaules qui feront pâlir de jalousie n’importe quel adepte de la fonte.

Robert- Euh... Moi pas intelligent... Euh... Tout vide dedans crâne... Euh... Non pas plusieurs boutiques... Euh.. Juste un gros bâtiment... Euh... Plein de truc dedans...

Rougissant avec violence de timidité et de honte d’être si près d’une divine apparition, il murmura alors quelques mots.

Robert- Oui... Euh... Vous premier me parler depuis gentil monsieur... Euh... à part docteur avec mots bizarre... Euh... Moi veut aider.

Il donna les indications d’une petite voix peu certaine, guère habituer de s’exprimer autant à la foix. Bientôt il passèrent un panneau annonçant l’ouverture d’un Cotsco au mois de décembre. Un magasin entrepôt. Un immense bâtiment morne apparu alors au milieu d’un chantier inachevé, un quartier industriel qui prenait naissance sur les bases d’un grandiose incendie qui avait secouer la population parisienne. La main massive, calleuse et protant moult de cicatrices immondes pointa des portes de garages non loin.

Robert- Euh... Baie mécanique... Euh... Moi aller ouvrir porte... Euh.. Ange peut stationner maison dedans à l’abri... Euh.. Rocky peut rester là? Euh... Il semble aimer Homme...

Soulageant de nouveau les essieux de la camionnette, le géant simplet et repoussant descendit et il sorti une clef suspendu à son cou de taureau. Il ouvrit une porte de service blindée et actionna la chaîne pour ouvrir le battant de garage. Dès que le véhicule entra il referma la lourde porte d’acier. Se cachant encore dans la pénombre, il dit de sa voix rocailleuse.

Robert- Tenez...

Il tendit une clef en tremblant violemment, comme si la présence de l’être céleste de la compassion le mettait mal à l’aise, car dans son imaginaire limité il croyait que les monstres comme lui ne méritait aucun regard des Anges si magnifiques.

Robert- Moi avoir aussi clef... Euh... Encore électricité... Euh... Pas de fenêtres pour empêcher vol... Euh... Et méchants mordeurs pas enter ici... Euh... Moi doit aller faire balai... Euh... Faites comme chez vous... Euh... Gentil monsieur que j’ai aider.... Euh... Il avait mal mordu... Euh... M’a donner clef... Euh... Il voulait ramener son Ange... Euh... Il est parti il y a une semaine... Euh... Moi inquiet...

L’innocente bête n’avait pas compris qu’une morsure, une griffure suffisait pour condamné à la mort et la perversion de la résurrection en abomination. On pouvait voir dans le garage des pneus neufs, des batteries de voitures et de l’équipement mécaniques pour faire l’entretien de base d’un véhicule. Dès qu’on pénétrait dans l’entrepôt, le regard du couple put voir l’abondance de matériels, de nourritures et d’outils qui remplissaient des rayonnages gigantismes. On le nommait et on pouvait le trouver ici. Et docilement le colosse balafré avait prit un balai pour entretenir les lieux alors que le propriétaire n’allait jamais revenir. En tout cas sous sa forme originel.
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyMer 30 Mar - 14:37
Sam était perturber par son esprit en guerre dont le conflit se rependait dans le reste de son corps. S’il arrivait à redevenir maître de lui-même, il sentait qu’à tout instant, ses nouvelles défenses pouvaient se briser. Quelle horrible sensation que fusse. Lui qui voulait être inébranlable, le pilier rassurant pour tous, surtout pour Nina, voila qu’on l’avait affaiblit, le rendre aussi pathétique qu’un enfant qui aurait peur du noir. Sauf que la, ce n’était pas l’obscurité qui le terrorisait, mais des perspectives sinistres imaginaires qui firent bouillir son sang.

La conversation avec leur colossale auto-stoppeur, eut le mérite de distraire le catalan et lui faire oublier ses propres peurs qui l’enrageait. Le nouvel arrivant s’était cacher dans la pénombre, enfin on pouvait le voir mais il s’était tourner afin qu’on ne puisse que distinguer les contours de son imposante silhouette. Si au départ Klein prenait les expressions du géant pour le résultat de la peur face aux zombis, il eut rapidement le doute. Il avait une taille et une musculature effrayante, ainsi qu’une voix rock. Et pourtant ses expressions, les mots choisis, pardonnez le mot usé pour décrire, faisaient très benêt. Il y avait de quoi surprendre. On aurait dit un enfant très jeune ayant peu de vocabulaire et souffrant d’une timidité maladif. Samuel se sentait déconcerter sur le moment. Mais arriva à garder un peu de contrôle pour pouvoir y répondre, même si son ton exprimait la surprise.

"Un monstre ? Tu n'en a pas l'air je trouve. Et non, on ne s'est pas encore présenter. Voici Nina, et moi c'est Sam. Et toi ?"

Sam était plutôt choquer d’entendre dire que même ses parents eurent des propos si horribles envers leur enfant. Il aurait aimer y dire quelque chose, mais il était encore si troubler et connaissait si peu ce nouvel arrivant, qu’il préféra aborder ce sujet lors d’une autre occasion. Il doutait là, d’être un excellent compagnon pour la discussion et que ses mots toucheront ou au contraire, vexeront qui que ce soit.

La petite bête surprit le catalan quand elle bondit sur ses genoux. A moitié concentrer, le jeune homme ne s’y attendait pas et eut presque un mouvement de rejet, mais se retint au bon moment, rassurer sur le coup en voyant qu’il s’agissait d’un chien affectueux, et non pas d’un zombis cacher sous le siège.

Il était étonner de voir « Rocky » c’était bien ça ? Venir quémander quelques marques d’affection. L’animal semblait déjà adopter Samuel, jouant au chat qui voulait se lover sur ses genoux, la langue pendante en agitant son petit popotin poilu pour qu’on le gratte. D’abord hésitant, comme s’il avait peur de se faire mal ou bien DE faire mal, Klein s’apprêta au jeu en caressant Rocky.
On disait que les animaux avaient un don thérapeutique et il était vrai que pendant que sa main suivait les poils du canin, Sam ressentait une baisse d’anxiété et ne se concentra sur plus grand-chose à part s’occuper du petit animal.

Mise à part au moment où il demandait plus de détail sur ce lieu où Robert allait se fournir, Klein laissa à Nina le soin de discuter avec lui. Il n’avait plus le cœur à discuter pour le moment et sa violence sur la téléphone tout à l’heure en fut la preuve. Suivant donc les indications du géant, le trio arriva à un Cotsco qui devait ouvrir. Arriver devant un magasin-entrepôt aussi grand avait de quoi impressionner. Le camion fut garer dans un des « garages » enfin plutôt là où les camions de livraisons pouvaient se garer et être charger ou décharger en toute sécurité.

Descendant du camion, Sam fit descendre aussi le petit Rocky qui se dépêchait de le suivre et retrouver son maître se tenant à l’extérieur du véhicule. Une fois de plus, il se cachait dans la pénombre comme s’il ne voulait pas qu’on discerne son visage. Il tendit les clefs, de préférence à Nina, tout en parlant de l’homme qui les lui avait donner avant et d’une histoire assez inquiétante.

"Je suis sûr qu’il va revenir avec son « ange » ou bien qu’ils sont bien là où ils sont." Disait Samuel pour rassurer le géant innocent.

Klein s’approcha du reste du magasin et déjà en passant la première porte, il fut stupéfait de voire tous les premières marchandises devant lui, entasser en montagnes, et des autres se perdant à perte de vue derrière. C’était remplit à rabords, le catalan se mit à siffler.

"On a tout ce qu’il faut ici ! Juste à nous trois on tiendrait des mois voir plus… On peut s’installer ici, du moins le temps que les choses s’améliorent." Si elles s’ améliorent et Samuel en doutait.
Nina Delacourt
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Nous étions vivant, nous au moins l'étions. Robert et son chiot nous accompagnait désormais, c'était aussi ça la survis : l'entraide. IL fut surpris que je prononce son nom et j'eus un petit sourire calme. Les parents n'ont pas toujours raison tu sais. Et oui, ton ami médecin l'a dit à un moment et je l'ai retenu. Les seuls monstres sont dehors de ce camion , et tu es ici, avec nous. Tu n'es pas un monstre ! répétais je alors avec calme, il me faisait penser à un enfant perdu. Comme ce petit garçon qui aurait du être avec nous au moment où je parlais. Une boule monta dans ma gorge et je me concentra sur la route.

Nous furent une pause un peu étrange mais je n'avais pas coeur à parler, je laisser alors les deux hommes échanger entre eux, mon regard était fixe sur la route, on pouvait seulement croire que j'étais prudente mais à vrai dire je roulais en pilote automatique. Le seul moment où je repris un peu mes esprits fus quand je posa ma main sur celle de Samuel pour lui montrer qu'il n'était pas seul, finalement je le faisais aussi peut être un peu pour moi, me rendre compte que je n'étais pas seule. Mais il m'ignora totalement. Je reposais rapidement mes deux mains sur le volant jusqu'à ce qu'on arrive à un grand magasin.

On pourra être un peu plus en sécurité ici. C'est un endroit super, merci ! dis je d'une petite voix calme et triste, un peu absente je garais le camion dans un coin tranquille proche du magasin histoire de pouvoir me retrouver un peu seule si j'en avais besoin mais aussi pouvoir fuir si il le fallait avec le camion tout prêt, s'était mon endroit à moi, mon nid de canari. J'en avais besoin pour me sentir bien, pourtant j'avais été prête à le laisser pour fuir avec Samuel, aujourd'hui j'en avais conscience, je ne laisserais plus ma maison sur roues. J'avais besoin qu'elle soit là, même si je n'y vivais pas, même si on trouvait un jour la maison qu'il nous fallait, ou peut être ce commerce. J'avais tout de même besoin de mon espace, j'avais toute ma vie dedans.

Quand Sam affirma que l'homme que connaissait allait surement revenir, je fermais les yeux un instant. J'avais mal au coeur de l'avouer mais s'était vraiment pas certain, voir pas du tout...il était surement mort, marchant quelque part, peut être même allait on le retrouver dans le magasin ? Je marchais en arrière regardant autours de nous, il y avait vraiment de tout et moi j'était totalement silencieuse. Seule ma respiration était présente. J'allais pas vraiment bien mais je ne m'en rendais pas encore compte. Pour le moment je me disais que ça allait passer mais ce n'était aps le cas, en tout cas les deux hommes étaient heureux ici c'était déjà bien.
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyVen 1 Avr - 19:29
Tout le corps de l’horrible monstre de foire tremblait en tendant la clef de ce paradis terrestre vers l’être céleste et l’Homme qui l’accompagnait. Mais ce qui se passait trop souvent se produisit de nouveau alors que l’ange ignorait le geste d’une folle témérité de l’engeance cauchemardesque et s’avança pour accompagner le bel adonis. Même Rocky les accompagnait, le chiot devait être soulager de quitter le géant si immonde et qui ne valait absolument rien sur cette terre qui lui semblait si inhospitalière. Baissant la tête de honte et laissant crouler les formidables épaules sous le fardeau d’être honni de tous. Même les paroles de l’Homme sonnait étrangement dans l’esprit si simplet et innocent de la montagne de muscle ambulante. Eux 3. C’était lui, l’ange et de Rocky qu’il devait parler. Laissant le couple prendre de l’avance, le géant se maudit d’être si naïf et de croire encore en la bonté des gens. La Bête croyait encore en la magie des contes que lui lisait sa nièce, sa lueur dans la noirceur de son existence. Des mots de l’enfant qui disait avec conviction que son oncle était l’homme le plus beau qu’elle connaissait et qu’un jour sa Belle viendrait à lui. Mais tellement de gens, dont ses propres parents, avaient marteler combien Robert était monstrueux, pathétique et sans intérêt pour tous. Donc le golem de chair aux si nombreuses stigmates sur ses chairs qui racontait la bêtise humaine et le dégoût des hommes envers lui comprit que sa présence cauchemardesque n’était guère la bienvenue. Prenant une plume et un papier, il écrit d’une main maladroite quelques mots à l’orthographe si horrible.

Pren soin de Roky. Moi pa ma pace ici. Moi dairenge voiu. (Prenez soin de Rocky. Moi pas ma place ici. Moi dérange vous)

Traînant son imposante immonde après avoir laisser les clefs de l’endroit avec la note, le géant alla dans le petit cabanon qui était démonstrateur dans une des allées du jardinage. À l’intérieur il y avait un immense coussin pour le chiot, un tas de couverture à même le sol pour apporter un minimum de confort au rejeté de la société. Ici et là collé avec maladresse des photos des anges du goliath des temps modernes, des dessins fais par la nièce qui était le soleil de la vie de Robert. Prenant un cahier ou était inscrit les deux prénoms du duo si fusionnelle, les grosse mains couvertes de cicatrices fit tourner les pages ou des partitions anglaises de country se découvrir. Des pensées envers sa nièce et sa sœur adorées s’envolèrent vers les cieux, seul lieu de refuge pour deux âmes si merveilleuses selon le mineur. Une prière toute simple fut formulée par l’esprit lent de la lie de l’humanité.

Robert- Sandra, Rosalie, j’aimerais être avec vous… Venez me chercher, car je ne sais plus quoi faire…

Des larmes salées creusèrent alors des rigoles dans la poussière qui parsemait l’horrible faciès du géant. À cet instant précis, la volonté de l’erreur de la nature se fissura. La tristesse et le chagrin tombèrent sur Robert comme la hache d’un bourreau impassible. Des pas avaient résonné sur le parquet du corridor menant à la à la cachette du monstre de foire, mais celui-ci n’entendit rien durant ces instants de détresse impitoyable. Sortant le couteau qu’il portait à la ceinture, Robert regarda sa laideur renvoyer par l’éclat métallique de la lame. Armant son bras pour se porter un coup mortel et mettre fin à sa vie dénuée de sens, une voix céleste se manifesta soudainement. Une paire de bras translucides l’étreignit alors avec force et de stupeur le colosse laissa tomber l’instrument de mort de sa main immense. Sentant une tête fantomatique se poser sur son torse, les narines du monstre frémirent alors. Une senteur familière venait de déclencher un souvenir profond au  subconscient de Robert. Le shampoing à la fraise que Sandra affectionnait particulièrement. Aussitôt les mains de l’homme immonde se déposèrent avec amour dans le dos et sur la tête de l’être translucide. Des ruisseaux salés se transformèrent alors en des rivières au fort débit. Flattant une chevelure que lui seul pouvait toucher, une voix faible s’échappa alors de la gorge nouée d’émotion du mastodonte.

Robert- Sandra, je m’ennuie de toi et de ta maman… Je veux vous rejoindre…

Une voix chantée répondit alors directement à l’âme terrifiée, mais bonne et avenante de la pathétique créature.

Sandra- Nous aussi on s’ennuie de toi oncle Bob, mais ce n’est pas le temps tu le sais… Tu as des gens sur qui veiller et quelques soit les décisions ou l’attitude qu’ils vont prendre, dis-toi que tu es la merveilleuse personne qu’on apprécie toujours même dans l’au-delà et que tu fais le bien comme pas un.

Pendant quelques instants, le sosie de Frankenstein puisa du courage dans l’être fantomatique et les larmes se tarirent tout doucement. L’air changea subtilement, se remplissant d’éclats de rire fugaces et perceptibles seulement par l’ouïe fatiguée du colosse.  Sentant une traction imaginaire vers le bas, les genoux du mastodonte se fléchirent et des lèvres douces et translucides se déposèrent sur la joue mal rasée de Robert. Tous les doutes, les peines et les peurs du géant s’évanouir alors comme des nuages gris devant la pureté des sentiments de la nièce du monstre de foire.  Une dernière parole caressa alors l’âme reconstruite de la bête.

Sandra- Chante-moi la chanson quand j’étais malade je t’en supplie oncle Bob…

Ne pouvant rien refuser à son ange, le mineur commença alors à fredonner. Mais avant que le contact imaginaire soit rompu, le mastodonte parla avec amour et franchise de sa voix rauque.

Robert- Je t'aimerais toujours ma choupinette et aussi tu peux dire à ma sœur que je l’aime aussi?

Sandra- Bien sûr mon gros nounours! Allez essuie toi le visage mon gros bêta…

Souriant grandement de la joie et de l’allégresse tout à coup rendues à son cœur mis en charpie, la beauté intérieure du monstre se manifesta alors de la plus belle manière qui soit. Un chant pur à la sonorité presque parfaite se produisit alors. Le don caché par la montagne de muscles déformés se dévoila au grand jour. Un don si pur qu’on aurait pu jurer que les grands chanteurs d’autrefois s’étaient réincarnés dans ce réceptacle répugnant. Perdu dans des  notes magnifiques rattachées à des souvenirs tristes et heureux à la fois, le colosse tapa du pied en mesure. Les yeux presque fermés, essuyer du passage des larmes sur son horrible faciès par sa main titanesque, lunatique et perdue dans un état de rêve des plus soyeux, le monstre de foire farfouilla dans sa poche pour son délice chocolaté. Tout à ses souvenirs, l’esprit lent du mineur ne vit aucunement la forme gracieuse sur le pas de la porte. La voix chaude, rauque à souhait continuait de faire le prodige qui charmait totalement les oreilles chanceuses d’en percevoir le chant. Il déchira le sceller de l’enveloppe de la barre de chocolat et il vit enfin une ombre. Le chant mourut subitement et la honte apparut sur le grotesque faciès du monstre. Arrêtant de respirer, la bête savait pertinemment l’image que la personne percevait. Un horrible sosie d’humanité de plus de deux mètres, aux muscles déformés et aux cicatrices labourant ses mains et ses bras. Une création d’un savant fou en quelque sorte. Les gens s’arrêtèrent là en général, oubliant de regarder dans le regard océanique du colosse. De la pureté, de la gentillesse et de la compassion parcouraient son regard comme des vaguelettes sur un océan calme. Regardant autour, la pathétique créature trouva une zone d’ombre près du pour lui permettre de  caché l’horrible apparence qu’il transportait comme un fardeau.  Timidement, rassuré quelque peu d’avoir pu dissimuler sa carcasse ignoble, la voix rauque et aux mots à peine mâchés de Bobby se manifesta dans un murmure.

Robert- Je suis désolé d’avoir chanté… Euh… Voix horribles... Euh... Moi partir maintenant...

Robert ne savait aucunement depuis combien de temps la personne l’espionnait…

Chant de Robert:
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyDim 3 Avr - 9:25
Samuel fit quelques pas ici et là pour mieux voir ce que ce magasin renfermait. Jamais en une vie, eux trois ne consommeraient tout ce qui s’y trouve, c’était mieux qu’un paradis. Ils auront sans doute besoin de mains supplémentaire pour rendre l’endroit plus habitable et déjà, Klein cogitait aux premiers travaux à faire. Un travail de Titan qui les attendrait, mais Samuel n’avait pas envie de reculer. Sauf là où il le fit pour rejoindre Nina et lui faire part de son impression.

"C'est incroyable non ? On peut rester coincé ici pendant des mois, on aurait largement de quoi tenir." Avec tout ce qui s’y trouve, les expéditions en ville seraient presque inutiles tellement ils ont tout ici. Samuel se rendait compte de la chance qu’ils ont eut de croiser le géant, et il était de tout cœur que d’autres en profitent aussi. En ce moment, les gens n’étaient pas devenus assez désespérer pour venir piller et s’en prendre à leur prochain. Ils pourraient encore trouver de bonnes âmes cherchant asile. Un peu plus, et Sam voterait pour qu’on renomme leur nouveau chez eux « Sanctuaire » ! Mais pas comme celui de Walking Dead bien entendu.

"On devra je pense faire pas mal d’aménagements quand même. Ne serait-ce que pour définir les zones de vies, chambres, salles de bains… Mais je pense que dans un premier temps, il faudra consolider nos défenses. Barricader certains passages. Pas envie que quelques zombis viennent s’inviter." Samuel ira de suite inspecter les alentours pour s’assurer que leur nouveau fort, ne possédait pas de vilaines brèches. Ou éviter que déjà, un zombis ou deux eut réussit à élire domicile ici.

"Tiens d’ailleurs, où est notre ami ?" Sans doute eut-il entendu cet étrange chant, ou bien est-ce Nina qui le lui fit remarquer (Je laisse le choix) qui apporta la réponse au catalan. C’était une voix agréable, mélodieuse qui se rependait en écho.

Remontant la piste sonore, on tombait sur un cabanon en exposition et en poussant la porte, on avait la grande surprise de retrouver le titan à l’origine de ce fredonnement. Sam était étonner de découvrir que cette puissance de la nature qui ferait trembler rien qu’à la vue les plus gros dur à cuir, puisse posséder une voix aussi douce et merveilleuse. Quand Robert remarqua leur présence, il redevenait comme avant, s’excusant, voyant mal son don et se dénigrant encore. Il a du vivre un véritable enfer avant celui la pour toujours s’auto décrier. Sam, pousser par son naturel, voulu le convaincre du contraire.

"Non ! Non ! C’était très beau au contraire. Rien de mieux qu’une belle chanson pour se faire du bien." On disait qu’une chanson était ce qu’il y avait de mieux pour soulager une âme de ses maux. Samuel n’était pas mélomane, mais il savait apprécier une bonne musique et un beau chant. Et puis, il avait déjà entendu ce qu’il se faisait de pire, comme lors de ces heures très tardives dans son bar quand les ivrognes se donnaient à cœur joie à quelques chants incompréhensibles avec uniquement des fausses notes.

"On se demandait justement où tu étais passer. Tu nous as trouver un super endroit. On y sera très bien à trois… Enfin, je veux dire quatre." Rectifia Samuel tout sourire en se retournant vers Rocky qui revenait vers eux et couru vers son maître avec ses pattes courtes, montrant qu’il avait oublier depuis le début de compter le chien.
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyDim 3 Avr - 21:55
J'avais le moral dans mon pompes; je n'allais pas bien et cela était compréhensible après ce que nous avions vécus, qui étions nous pour oser penser supporter la vie de la mort; de la pire façon qu'il soit ? Je n'étais qu'une artiste de rue, qu'une jeune femme de la ville : une bobo comme disent certains. Je n'avais pas les épaules et encore moins le coeur pour supporter ce drame. J'errais donc comme une âme en peine suivant les hommes sans même me rendre compte que notre nouvel ami me rendait une clef. J'étais ailleurs, dans ma tête tout simplement.

Je sursautais presque quand Sam' me parla. Je le regardais et lui souris, bien sur ce sourire n'avait rien de réel mais il semblait en tout cas à ce qu'on pouvait voir quand j'étais heureuse. Je fis un signe de tête. Oui, c'est une chance que Robert nous ai emmené ici. Ce n'est pas la ferme dont on parlait mais, c'est un bel endroit. D'ailleurs...où est il passé ? demandais je en fronçant les sourcils. Tout était dangereux aujourd'hui et même si notre ami avait une force que nous n'avions pas, il pouvait tout de même se trouver en danger. J'étais alors inquiète pour lui. Nous avions posé la question au même moment avec Samuel. A croire que nous étions parfois connecté d'une certaine façon.

On marchait alors à la recherche de notre nouveau compagnon de route quand j'entendis une voix, un chant qui me ramenait instinctivement à notre vie avec Jackson et aux concerts qu'on pouvait emmener. Sam ? Tu entends ça ...? dis je en posant mon bras sur le barman pour l'arrêter et l'emmener vers un autre rayon. J'avançais prudemment écoutant ce son qui nous menait à une petite cabane.

Sam ouvrit la porte sur un Robert qui semblait s'excuser des milles et une façons possible. Samuel parla en premier et tout comme moi il était d'accord sur le fait que sa voix était sublime. Je me permise d'entrer en voyant le visage humide de l'homme. Oh, mais tu pleurs..? Ce n'était pas une soirée facile...et je crois qu'on ne va pas si facilement sortir ce drame de notre esprit. je regardais autours de nous. Mais il a raison, cet endroit est vraiment super, on devrait pouvoir vivre correctement et mieux encore aider d'autres personnes, vous ne pensez pas ? dis je avec douceur et calme .

Je sortis de la cabane et tendis la main vers le géant afin qu'il puisse nous rejoindre et sortir de cet endroit Et il a raison, tu chantes divinement bien. Je me suis dis qu'on pourrait peut être faire quelque chose pour cette famille... chanter quelques choses, faire un sorte d'hommage ? ça nous ferait peut être du bien. dis je en haussant les épaules, je ne savais pas trop quoi penser de mon idée mais au moins je donnais une possibilité de faire quelque chose pour essayer de se sentir un peu plus calme. Je ne savais pas comment faire pour me sortir de cette situation, mais je n'avais qu'une idée...essayer de changer le temps pour que cette famille ne perde pas la vie.

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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyLun 4 Avr - 18:30
Le mastodonte n’esquiva pas un geste, ne tenta même pas de faire une respiration durant l’agonie de la terrible attente dans sa cachette. Le géant déformé savait pertinemment ce qui allait se produire dans les prochaines secondes. Le couple dans l’ombre de la porte de la cabane allait changer d’attitude. Leurs visages, porteront les stigmates de la terreur en détaillant l’apparence horrible de la bête de cirque. Le regard doux et angélique de la brunette deviendrait tout à tout rempli d’une dose de dégoût. L’homme allait prendre une posture protectrice contre la bête inhumaine. Après avoir réussi à dire une première phrase des plus boiteuses, le regard déformé de l’ancien mineur plongea vers le sol. L'homme était honteux de la parodie d'humanité qu’il était. Avant que les mots suivants puisent franchir le barrage des ses dents mal alignées, un bruit se fit entendre. Le craquement du battant signala au colosse désillusionné que l’ange tombé du paradis venait certainement de faire un pas précipité vers la sécurité relative du corridor. L’homme s’avança pour frapper le simplet pour prouver sa supériorité. Bientôt le bruit sec et sans équivoque de la porte qui se referme brutalement fendra l'air. Bruit qui va sonner le glas du début d’une autre relation plus d’incertain. Le sifflement sera semblable à celui de la hache du bourreau qui se ficherait dans la bûche après avoir accompli son sanglant office. Un supplice pour le phénomène de foire. Quelques mots jaillissants de peine et de misère d’une gorge serrée par ce déluge d’émotions alimenté par ces visions néfastes. Pathétique défense contre l'inévitable conséquence de la laideur de l'homme. Robert s’excusa d’avoir dérangé le couple.

Homme- Non ! Non ! C’était très beau au contraire. Rien de mieux qu’une belle chanson pour se faire du bien

Un souffle poussé avec lenteur de la part de la magnifique dame et l’affirmation de l’Homme fit naître un petit sourire sur le faciès monstrueux du géant déformé.

Ange- Oh, mais tu pleurs..? Ce n'était pas une soirée facile...et je crois qu'on ne va pas si facilement sortir ce drame de notre esprit. Mais il a raison, cet endroit est vraiment super, on devrait pouvoir vivre correctement et mieux encore aider d'autres personnes, vous ne pensez pas ?

La créature fut submergée par le doute. L’ange, venu certainement du paradis, fit deux pas hésitants vers la cachette grossière du monstre de foire. Cet acte insensé tenter par l’être dont l’aura chatoyant semblant pulser que de bonté et de gentillesse. En réponse de ce mouvement, la crainte fit faire un pas vers l’arrière à l'être monstrueux pour s’enfoncer dans l’obscurité bienfaitrice.

Ange- Et il a raison, tu chantes divinement bien. Je me suis dis qu'on pourrait peut être faire quelque chose pour cette famille... chanter quelques choses, faire un sorte d'hommage ? ça nous ferait peut être du bien.

Alors, un souvenir vint percuter l’esprit si lent du Goliath des temps modernes. Le visage radieux de sa nièce quand le mastodonte pliait à sa demande et entamait un chant juste pour ses oreilles. Les doux encouragements de la part de son ange qui martelait que la voix du monstre de foire devait être connue de tous. Que c’était merveilleux d’entendre une voix si belle! Et aussitôt le mineur réfutait ces faits. Il disait qu’un être si laid et si inférieur à la société n’aurait pas un don si rare et précieux à la fois. Les yeux figés dans cette scène d’un passé si proche et si éloigné à la fois, l’imposant homme des mines recula d’un nouveau pas. Cette fois le mur froid en plastique de son petit refuge lui coupa toute voie de retraite. La gêne et la timidité aidant, les immenses mains de l’homme se mirent à plat sur la surface opaque et froide. Un peu plus et Robert aurait essayé de creuser un trou dans cette matière pour se retrouver à l’extérieur.

Ne voyant aucune façon d’esquiver l’ange qui avait préféré ce monde infernal à son paradis doré, le golem de chair essaya tant bien que mal de relever son regard apeuré.

Se retournant lentement, les pieds bien ancrés sur le parquet poussiéreux, le spectacle pitoyable de la laideur du colosse se dévoila à l’ange. Un rayon de la lune venait d’inonder de manière traîtresse la silhouette de cauchemar de l’homme. Des pantalons noirs à bretelle, une chemise ayant connu des jours meilleurs et les manches roulés au niveau de ses coudes. Le couple pouvait deviner aisément une puissante et solide ossature, des muscles volumineux et même disproportionnés cachés à grand-peine dans l’armure de tissus. Des mains géantes et grosses comme des boulets de canon. Une d’entre elles resta à plat sur le mur, telle une immense araignée de couleur chaire. L’autre main, ayant des doigts de la circonférence de saucisses, était levée dans un signe universel de peur ou bien de supplication. Les pieds, extraordinairement pointés vers l'extérieur et des plus stables, se dandinaient sous l’effet de la gêne et surtout de l’angoisse de ce moment stressant. La cage thoracique bien développée et un cou aussi large que son crâne. Des trapèzes laissant présager une force conséquente dans le haut de ce corps impressionnant. Robert devait dépasser la totalité des hommes d’une bonne trentaine de centimètres et devait peser presque le double. Devant le regard si pur de l’ange, le géant devait être plus associé au monstre des films d’horreur qu’au genre humain. Ce mastodonte peut sembler être sorti droit des rêves fous d'un savant ayant perdu le contact avec la réalité. Une tête en forme d'œuf, une dentition irrégulière, une mâchoire carrée et virile, des lèvres minces et presque exsangues, une fossette entre ses deux sourcils, des oreilles décollées, une barbe et des cheveux châtains rasés d'une main malhabile et des orbites enfoncées. Tout pour qualifier ce visage aux traits atypiques de faciès monstrueux et repoussant. De son angle de vu, l’apparition céleste  et son compagnon pouvait dénombrer la multitude de cicatrices qui lézardaient sur les mains et les avant-bras de la chose difforme en face de lui.

Tel un duel à la Tombstone, le regard des belligérants se fracassa dans onde de choc. Robert ne pouvait aucunement deviner les intentions du duo, mais ceux-ci pouvait lire comme un livre ouvert l’amalgame d’émotions qui pulsait du regard bleuté de la chose. Il pouvait plonger au travers des yeux du simplet et contempler ces fenêtres donnant un libre accès à l'âme de cet imposant individu. Un mélange saisissant de mélancolie, d’angoisse, de prudence se reflétait dans les iris de l’homme déformé. Mais aux fins fonds des yeux, aux reflets dansants faisant penser au bleu si profond d'un océan par temps clair, doux et rempli de compassion. Un mystérieux mélange d’humanité grandiose et de bienveillance des plus déplacés dans ce corps d’être digne de figurer dans le bas échelon de la société humaine. Robert prit une seconde respiration, son ton rauque s’éleva alors dans l’air froid de ce jour d’hiver. Les mots furent mâchés, mastiqués même avec des roulements de pierres dans la bouche. Un ton intimidant si une trace de gentillesse et de bonté n’accompagnait pas la pitoyable envolée de mots.

Robert- Euh... Je pensais partir... Euh... Pour ne pas déranger...Euh... Clef sur comptoir la-bas... Euh... Rocky peut rester avec vous?

Déglutinant avec peine, les traits atypiques de l’homme étaient maintenant un masque d’angoisse et de peur. De la terreur jaillissait de son regard océanique comme si la jeune femme à l’aura si flamboyante pouvait être corrompue dans celle du monstre de foire.

Robert- Vous voulez bien... Euh... Que je reste... Euh...

Reprenant un souffle un peu normal, l’ancien mineur rajouta timidement quelques mots. Il essaya de rejeter quelque peu sa gêne et sa timidité au loin, mais après tant d’années à endurer des sévices des gens, le géant avait accepté sa condition particulière.

Robert- Je chante depuis toujours… Euh… Pour ma sœur, pour ma nièce et Rocky le chien de la mine…  Euh… Je chante toujours seul pour ne pas déranger… Euh… Désolé...

Le survivant de tant d’errance, d’errance solitaire près des rives du Styx. Mais à la mention de sa famille arrachée trop tôt à son cœur meurtrie, les larmes firent un assaut vicieux pour essayer de couler le long de son visage à peine tailler dans le granite de son visage.

Robert- Oui aider... Euh... Mais gens s’enfuient quand j’essaie... Euh... Moi monstre ... Euh... Une fois aider Ange et enfant... Euh... Mais elle s’est enfui de moi... Euh... Mordeurs l’ont attraper elle et garçon... Euh... Moi voulait juste aider... Euh... Ange et Homme pourront plus aider que Monstre... Euh... Moi peut pas vivre ou Ange et Homme sont...
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyLun 4 Avr - 20:39
Il est clair que Samuel ne s’attendrait pas à découvrir un tel talent chez leur nouvel ami. Cela lui rappelait ces faits rapporter, comme quoi les gens d’une taille imposante possédait un organe vocale très particulier, les rendant douer dans l’art de la chanson. Après, Sam n’était pas mélomane, mais il savait apprécier une bonne voix et ne disait pas cela pour rassurer. Le jeune homme était sincère dans ses déclarations, mais se voulait être un maximum encourageant aussi voyant qu’ils avaient en face d’eux une personne assez sensible. Ce géant l’intriguer, on aurait dit un enfant piéger dans le corps d’un géant qu’on a fait découvrir l’enfer. C’était assez déstabilisant, néanmoins le catalan gardait espoir qu’ils trouveront la bonne façon d’agir avec lui.

"Oui tout à fait." Répondit-il avec enthousiasme à Nina. "L’endroit est assez grand et on a une bonne réserve de départ. Cet endroit va pouvoir sauver de nombreuses vies."

Il y aura toujours les travaux à faire rappelons le, mais ce n’était pour Samuel qu’un détail par rapport à tout ce qu’ils auront après. Un meilleur toit, une forteresse, un lieu où vivre pendant des mois, des années. Il ignorait, comme tout le monde sans doute, combien de temps cette situation allait durer et si jamais, ils pourront s’échapper de Paris ou non. Il valait mieux sans doute s’installer ici et envisager que jamais ils ne pourront sortir.

"Très bonne idée ! Il doit bien y avoir un instrument quelque part, je n’ai pas tout regarder encore."

C’est alors que Samuel put mieux voir la silhouette du titan et il ne pouvait être qu’autrement impressionner. En plus de sa taille, ses muscles imposant se dessinaient sous ses vêtements, même le catalan pensait qu’ils allaient éclater sous la masse musculaire. Jamais de sa vie il n’avait vu pareil être en vrai. Il pourrait devenir un champion MMA et écraser si facilement tous ses adversaires. Il comprenait mieux à présent, comment il était parvenu à leur libérer le passage dans le métro. Sans doute, n’était-ce qu’un jeu d’enfant pour lui.

Samuel se sentait tout à coup ridicule pour ses 75 kg. Sa musculature à lui, n’était pas aussi développer, c’était à peine si ses abdos se dessiner. Pourtant il ne manquait pas de force et pouvait soulever de lourdes charge. Mais il avait l’impression de n’être qu’un insecte allant se faire écraser par un éléphant. Il était bien heureux que le géant soit si docile et innocent, dans le cas contraire, il n’aimerait pas se retrouver confronter à lui.

C’est alors que Robert le surprit encore. Samuel pensait avoir fait comprendre qu’ils formaient déjà un groupe. Mais voila que maintenant, le géant revenait sur l’idée de partir, mais voulu tout de même que son chien reste. Il devait avoir bien connus des malheurs pour vouloir fuir comme ça, Samuel ne pensait pas avoir fait quoi que ce soit ayant donner l’envie de s’en aller.

"Pourquoi veux-tu partir ? C’est dangereux dehors ! Tu seras plus en sécurité en restant ici avec nous." Il fallait croire que le nombre de zombis dehors ne faisait qu’augmenter. Pour le moment, Samuel trouvait les rues assez calme, mais prévoyait qu’elles seront des pièges mortels dans peu de temps. Et savoir Robert dehors à risquer sa vie si innocemment, l’inquiétait fortement. "Mais bien sûr que tu peux rester ! De plus, on aura besoin de toutes les mains possibles pour rendre cet endroit vivable. Et ton aide sera précieuse." Surtout que Robert était une force de la nature à ne pas négliger, il sera un bon soutient pour les projets de travaux rien que pour ca et puis, sa personnalité n’était pas désagréable. Il souffrait oui, mais Klein restait convaincu qu’avec le temps, il irait mieux bien entourer et serait une personne plaisante à côtoyer.

C’était vraiment le moment d’émotions. Robert se mit à pleurer de nouveau devant eux. Il eut parler de sa famille et Samuel, comprit qu’elle n’était plus… Enfin il se sentait interdit de dire quoi que ce soit, juste d’exprimer de la compassion par le regard. Le chagrin de leur colossal compagnon, ne s’arrêtait pas qu’à la disparition de ses proches. Il mentionnait aussi les gens fuyant devant sa pseudo laideur. Ceci surprenait aussi Sam car il n’avait remarquer, malgré qu’il soit mal peigner, qu’il était plus moche qu’un autre.

"En ce moment les gens ont peur. On voit des morts venir nous dévorer, il y a de quoi stresser. Ce n’est sans doute pas lié à toi, juste la situation…" Il essayait de trouvait une explication rassurante, même si il ignorait beaucoup de détails. "Enfin, si jamais je tombe sur quelqu’un qui vient dire que tu es un monstre horrible, je lui apprendrais le respect tu peux me croire."

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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptySam 9 Avr - 15:24
On avait enfin retrouvé notre nouvel ami dans un coin de l'immense magasin. Là dans un petit cabanon en exposition il chantait avec la voix d'un ange. Nous étions d'ailleurs bien surpris, plus encore en entrant quand je compris qu'il avait pleurait. Il était d'une douceur sans pareille sous son enveloppe immense où ses cicatrices notaient que sa vie n'avait rien eu de facile, il semblait si docile, emplis de gentillesse. C'était une bonne personne; c'est ce sentiment que j'avais en le voyant. Pourtant une fois entrer dans la cabane je ne pus que remarquer les pas qu'il faisait pour me fuir. Je fronçais les sourcils pour lui demander avec douceur.

-  Est ce que tu as peur de moi, j'ai fais quelque chose qui ne fallait pas ?   Je regardais une seconde Samuel avant de regarder à nouveau notre géant penchant un peu la tête sur le côté. Comment pouvais je imaginer une seule seconde qu'il souffre à ce point ? Quand il arriva vers nous je pus enfin le détailler un peu plus, effectivement ce que j'avais crus voir ce montrer réel il avait de nombreuses cicatrice, cet homme avait du vivre des choses affreuses pour avoir ainsi peur qu'on le rejette. Samuel affirma qu'il pouvait et même rester avec nous et je fis un signe de tête affirmatif avant d'ajouter d'une voix douce et calme en posant ma main sur l'avant bras immense de Robert, j'étais si petite et même chétive à ses côtés. - Je ne sais pas ce que les gens t'on fait subir Robert, mais ici tu es en sécurité avec nous. Tu fais partis de notre groupe et nous ne t'obligerons jamais à partir.   je lui souriais alors avec bienveillance.

Finalement il se mis à pleurer à nouveau et cela me brisa le coeur. Non seulement il avait perdu sa famille mais les gens semblaient avoir également peur de lui. D'accord il était immense mais quand même de là à avoir peur de lui, pour tout dire je ne le trouvais pas même repoussant, il me faisait penser à ces stars adeptes de la salle de musculation. J'étais même certaine que ci il gagnait en assurance les filles lui tomberaient dans les bras avec facilité ! J'écoutais Samuel et lui sourit avec tendresse, il avait raison. - Bien sur que tu peux vivre avec nous ! Tu vas même le faire et si certains ne t'acceptent pas et bien ils n'auront cas aller voir ailleurs et s'est tout ! Allez viens, on va trouver notre nouveau dortoir.   dis je en tendant une main amicale vers lui afin de l'aider à sortir d'ici mais surtout de le soutenir psychologiquement.
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyDim 10 Avr - 13:32
Secouant tristement la tête en forme d’œuf suite aux paroles encourageantes de l’homme à la beauté si apprécier de la gente féminine, la voix rocailleuse de l’être cauchemardesque se leva avec hésitation.

Robert- Hommes et Anges... Euh... Toujours eut peur de moi... Euh... Maintenant avec méchants mordeurs... Euh... Gens me hait et veulent me tuer... euh... Encore plus aujourd'hui...

D’instinct il porta sa main immense et calleuse à son flanc où reposait encore la cicatrice fraîche d’une lame dentelée qui avait labourer les chaires immondes du monstre de foire. Il eut un mince sourire de gratitude en comprenant le sens des mots de l’homme dotée d’une virilité confiante.

Robert- Merci monsieur Sam... Euh... Mais veut pas que haine que j’ai sur moi... Euh... que méchants portent sur toi... Euh.. Il y a Rose gentille ange aussi... Euh... Elle acceptait de me parler... Euh... Moi je devais fouiller pour trouver bonne nourriture et vin et tuer méchants mordeurs... Euh... Elle importante et moi pas...

On pouvait aisément découvrir un lien de domination tordu, une manipulation grotesque du simplet de la part de la dame. Baissant les yeux de honte, le mastodonte répondit à l’interrogation de l’être céleste dans un souffle.

Robert- On m’a dit... Euh... souvent de ne pas m’approcher des Anges... Euh... Mauvais pour eux qu’un monstre... Euh... Soit vu avec eux... Euh... Moi veut pas de problèmes...

Timidement, comme un animal si souvent battu par les hommes et ne sachant pas si il devait ou non croire à une possible amitié, le géant portant de si nombreuses stigmates repoussantes.

Robert- Moi dort ici avec Rocky... Euh... On dérange personne et c’est notre petite maison dans grosse maison... Euh merci pas chasser monstre... Euh... Moi atypique... Euh... Non Angélique... Euh... Moi mot qui dit ressentir émotions des gens...

Le mot empathique et un sourire reconnaissant se posa sur les traits immondes à peine taillé de l’être de cauchemar.

Robert- Oui c’est ça... Euh... Vous deux... Euh... Mal en dedans aussi... Euh... Moi sent... Euh... Rocky aussi... Euh... Moi peut chanter pour vous... Euh... Aider... à sentir mieux... Euh... Et doit aider anges et hommes... Euh... Si moi de trop... Euh... Venir dans petite maison c’est tout...

De la candeur et de la gentillesse presque surnaturelle débordaient des yeux océaniques si pur de la Bête. Le géant à l’estime de soi inexistante et à la confiance fragmenter par tant de rejet serra avec une grande délicatesse la paume gracile de l’être de lumière.

Robert- Tu es gentille comme ma...

Le dernier mot refusa à cet instant de franchirent l’espace des lèvres qui venaient de se souder hermétiquement. De l’horreur pure venait d’éteindre la pureté des yeux du mineur et une tristesse affligeante tomba subitement sur ses larges épaules. Le regard dans la vague, Robert fut le seul qui put voir de nouveau la scène horrible qui fut le théâtre mortel de ses anges. Les yeux grands ouverts de sa sœur, figés dans la mort et accusateur. Les plaies horribles qui parcouraient le corps des deux femmes qui étaient tout pour le mineur et tout ce sang qui recouvrait une partie de la pièce et du mobilier. Frissonnant d’impuissance, un bruit mat vient alors à la rescousse de l’âme en perdition du colosse. Ramener brutalement dans ce présent sans pitié, ce moment qu’il sut qu’il ne pourrait plus entendre les doux rires de Sandra à part dans son imaginaire, le géant secoua sa tête en forme d’œuf. Sentant poindre des larmes à l’embrasure de ses yeux, le mastodonte les écrasa sans pitié de sa main immense et rugueuse. Voyant une échappatoire vers l’avant de l’entrepot magasin, le sosie de Frankenstein tourna la tête. Fatalement l’erreur de la nature étant près de la douce dame et Robert fit son possible pour esquiver sa laideur à son regard si pur. Quand une certaine contenance fut regagnée par l’homme au corps impie, Robert put enfin retourner son horrible faciès vers le visage si magnifique de l’être céleste. Des piètres mots d’excuse ricochèrent alors dans la bouche immonde de la bête déformée.

Robert- Désolé pour tout à l’heure… Euh… Souvent je me perds dans ma tête. Euh… Tout le monde dit que c’est vide dedans dans mon cas…

Le simplet monstrueux pointa son crane en forme d’œuf. Essayant de sourire de ce trait ironique fait à sa propre personne, le mastodonte continua avec une douceur et une sollicitude des plus touchantes.

Robert- Mes anges sont partis au Paradis… Euh… Ma nièce et ma sœur étaient les seuls qui n’avaient pas honte de se faire voir avec moi.

Souriant bêtement, respectant une certaine distance entre lui et les deux êtres si différents des humains, l’homme massif soupira. Il ne voulait en aucun cas corrompre l’aura de gentillesse qui se dégageait de l’ange ni de son compagnon. L’homme cauchemardesque n’osait pas s’approcher de la perfection en quelque sorte. Mécaniquement, la voix de l’homme brisé continua. Mais une grande détresse se peignit alors sur le faciès monstrueux du mineur. Le regard océanique de la chose se voila quelque peu, revoyant une scène effroyable. Les mots continuèrent alors de franchirent la barricade des lèvres exsangues de la bête de foire. Comme si un autre être, un conteur en quelque sorte, avaient pris possession du corps difforme.

Robert- J’étais en camping pour ramasser des ingrédients pour le Moonshine… Euh… J’ai reçu un appel de mon ange… Elle disait que les voisins voulaient entrer chez elle et faire du mal à elle et ma sœur… J’aurai dû rester avec eux… Euh… Quand je suis arrivée, c’était trop tard… Tout ce sang et ce qui s’était passé… Euh…

Le regard de la chose s’humecta alors de rigoles salées. Aussitôt Robert pêcha son mouchoir dans sa poche de chemise. Sans le savoir, la double photo plastifiée s’échappa du compartiment de tissu. Flottant allègrement dans l’air, le destin voulut que les portraits de souvenirs heureux chutassent près de l’ange. La créature brisée assécha alors la soudaine montée d’eau et se concentra alors sur le visage au trait divin de la femme. La voix faible, à peine un murmure, parvient alors à se faire entendre.

Robert- Je m’excuse mes anges… J’aurais dû être avec vous…

Secouant la tête, le géant dit en soupirant.

Robert- Euh... Désolé... Euh... Moi pas habituer de parler tant... Euh... Moi dit juste conneries... Euh... Moi veut aider Ange et Homme à aller mieux... Euh... Moi peut aller chercher chocolat... Euh... Congélateur glaces chocolat ou vanille...
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyMar 12 Avr - 11:17
Il est clair que les mots même les plus réconfortant, ne pourront guérir par magie les plais sur une âme. A en juger par les expression et le ton employer par le géant, Samuel en déduisit que Robert vécu dans se dégout de soit depuis son enfance. Ses hésitation, son vocabulaire simplet était proche d’un gosse. Quel âge avait-il en vrai ? Trente ou quarante ans ? Au moins une trentaine d’années où il fut conditionner dans cette image de « monstre ».

Samuel n’avait pas peur d’affronter ce genre de cas, de parler aux gens qui avaient une mauvaise opinion de eux même. N’oublions pas qu’il était barman, et que presque tous les soirs, il devait écouter voir conseiller, quelques clients venus noyer leur détresse dans un verre. Mais contrairement à l’image du barman qui faisait fit d’écouter, se moquant des problèmes des autres faisant ça juste pour l’argent, Klein était plus attentionner. Le jeune homme était sincère dans son écoute et cherchait à vraiment aider à résoudre les soucis des autres. Il pouvait être vu comme un psychologue de comptoir, mais il voulait donner à chaque âme en peine qui rentrait chez lui, la force de continuer et de se battre contre son épreuve.

Et comme un bon psychologue de comptoir, Samuel évitait de couper le géant ou de contre dire chaque chose qu’il dirait. Il restait là, bras croisé sur sa virile poitrine à l’écouter. Pendant la « première partie », Robert disait à quel point il était monstrueux, qu’il ne devait pas s’afficher avec les anges. Vu comment il regardait Nina, Samuel comprit qu’il mentionnait surtout les femmes qu’il devait idéalisé, sacralisé. Il se faisait bien du mal.

"Ne t'inquiète pas. Je préfère me battre contre des méchants qui te veulent du mal, que de te repousser." Sans doute était-ce le côté naïf du géant qui avait un effet, mais Samuel se surprenait à l’apprécier de plus en plus. Robert, qui pouvait bien faire peur de par sa taille, apparaissait comme un gros ours timide qu’on avait envie de protéger et non battre car il était mal peigner. "Qui est donc Rose ? Est-elle… Pas mordue et venir ici ?" Comme il parlait d’elle en positif, Samuel se disait que si elle était encore en vie, cela réconforterait le géant qu’elle soit ici afin de le rassurer sans doute.

"Y’a pas de soucis, tu peux dormir où tu veux tu es chez toi ici aussi. Et si tu veux on aménagera ta cabane pour la rendre plus confortable." La décoré, proposer un meilleur lit, bref faire que cette « chambre » devienne plus agréable à vivre pour que Robert reçoive tout le respect et la dignité qu’il méritait et semblait cruellement priver depuis longtemps.

Le colosse était une boule d’émotion. On le voyait toujours frôler les pleurs. Mais allait-on reprocher à quelqu’un de se laisser aller, surtout quand le monde s’effondrait et que les morts dévoraient les vivants ? En tout cas Sam ne condamnerait pas quelqu’un qui avait des sentiments. Surtout que lui, devait connaitre un enfer qui durait bien avant cette crise. Le catalan se rendait bien compte de la chance qu’il avait, d’avoir un emploi régulier et plaisant et une vie stable et bien entourer. Tout le monde n’avait pas la même chance que lui.

"T’inquiètes. On dit aussi que je ne suis pas quelqu’un de très intelligent non plus." Rassura Samuel en tapotant sa tempe avec son doigt, tout avec un sourire amical et amusé. (Je rappel qu’il a zéro point d’intelligence lol)

Sans doute mût par ses propres émotions qui lui firent oublier toutes retenues ou craintes, Robert semblait raconter un peu de sa vie. Pas tout, mais ce qui le chagrinait le plus, à savoir la mort de sa sœur et de sa nièce. Victimes elles aussi de cette épidémie maléfiques. Beaucoup vécurent une pareille expérience, ou en était au courant. Mais Samuel ressentit un frisson qui lui hérissait les poils de ses bras. Car quand Robert parlait de sa famille massacré par ces damnés, Klein revoyait cette famille dévorait vivante dans le métro et c’était comme s’il ressentait toute l’effroi du moment.

Le jeune homme revint à lui quand il entendit Robert proposer d’aller chercher quelques douceurs pour se faire du bien. Klein avait sentit de peu une remonter en lui, une colère contre l’horreur qui le hantait, mais se retenait au bon moment pour éviter la crise. Il arriva à rester fidèle à lui-même.

"Oui… Oui très bonne idée. Je propose qu’on se repose un peu, manger boire… je ferais après le tour pour vérifier que tout est ok ici. Après comme il se fait tard, on devrait dormir un peu et dès demain matin… Commencer à nous installer ici."
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyJeu 5 Mai - 20:50
Robert était étrange mais pas méchant. Il semblait être un enfant dans le corps d'un géant. Il me faisait de la peine, à vrai dire, j'avais l'impression d'être face à un bon grand géant. Il n'était pas moche, bien que couverts de cicatrices, il était même agréable à regarder mais, je crois que ce qui était assez étrange s'était l'immense différence entre son caractère enfantin et la grandeur supérieur à un homme. Il était clair que je n'aurais pas aimé me prendre une gifle de cet homme. Plus je l'écoutais et plus j'avais de la peine pour lui. Il semblait avoir perdue ses proches, comme beaucoup d'entre nous certes mais, c'était plus important pour lui car il pensait être un monstre. Pauvre enfant dans le corps du géant.

Quand j'entendais l'homme parler d'ange, en parlant des femmes. J'eus un petit sourire avant de dire un peu amusé.. - Oh tu sais, toutes les femmes ne sont pas des anges. Je te l'assure. Pour ma part je n'étais pas ou n'avait pas été un ange, et je n'étais pas la seule. Il parlait d'une femme : Rose. Je ne la connaissais pas mais j'avais étrangement peur pour notre ami, j'étais surement trop protectrice mais s'était plus fort que moi. Je regardais Samuel qui lui proposait de la ramener. - Oui, c'est une idée, on pourrait l'emmener ici si elle le souhaite, au moins vous pourrez être ensemble. dis je en souriant avec douceur.

Je laissais les hommes parlaient, regardant, observant les émotions d'un et de l'autres, je me montrais rassurante mais les mots sur sa famille me faisait mal au coeur, vraiment. Je ravalais difficilement ma salive, j'avais tellement mal au coeur. C'était horrible. Pour ma part je n'avais perdu personne si ce n'est Jack qui a fuit. Pour ma famille je n'étais au courant de rien mais je n'avais jamais eu réellement de proche. Je pris une grande respiration quand Samuel parla de la suite. - Oui, mangeons et puis nous irons nous reposer après tout ça on en a bien besoin. Demain il fera jour et tout ira mieux. dis je avec un sourire triste. - Je peux faire quelque chose de simple : des pates et une sauce tomate ? On peut aussi mettre du thon ou autre chose ? Cela vous irez ? Histoire de manger un peu quand même ? demandais je en les regardant l'un puis l'autre. Je leur souris, ils étaient ma nouvelle famille.
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Jamais 2 sans 3 | Robert et Samuel  EmptyDim 29 Mai - 13:41
La souffrance du rejet, l’empathie de ressentir les coups psychologiques alors que des regards de dégoûts et de haines était poser sur l’horrible apparence du monstre de foire avait complètement anéanti l’estime de soi et la confiance du golem de chair à peine sculpter. Il s’attendait à chaque moment que le viril et séduisant homme l’expulse de ce refuge paradisiaque pour combler l’ange de la compassion. Car malgré que Robert ne soit qu’un novice en la matière de séduction et d’amour, son empathie des plus développé et surtout les regards de Nina envers Sam parlait d’eux-même. Donc il serait encore celui de trop, la cinquième roue inutile d’un carrosse. Hors il sursauta quand le blondinet d’une virilité absolue annonça qu’il voulait le défendre. Relevant la te^te de sa honte d’être un fardeau inutile, le géant simplet et hébété par tant de candeur dit dans un murmure qui rappelait sans peine le bruit désagréable des rochers qui s’entrechoquaient lors d’une avalanche à flanc de montagne.

Robert- Pas mettre en danger pour monstre... Euh... Tu dois être là pour ange ok? Vous deux besoin l’un de l’autre... Rose bien à l’abri... Euh... Dans appartement de luxe... Euh... Moi sortir pour éviter qu’ange ne se blesse ou souffre... Euh... Moi pas grave...

Encore ce sentiment du sacrifice, de la négation de sa propre vie et valeur dans le monde. Le colosse balafré par tant de préjugés eut un faible sourire.

Robert- Toi avoir été à l’école non? Euh... Moi beaucoup de difficulté à lire une page de livre... Euh... Pas besoin de lit... Euh... Jamais eu ça... Euh... Moi dès que ange et homme et Rocky sont bien ça me va...

Alors l’ange de la compassion parla et doucement le monstre de foire se laissa guider par sa lueur divine.

Robert- Rose... Euh... Gentille et tout... Euh... Mais elle aime mieux rester chez elle... Euh... Moi et Rocky on va lui apporter des truc pour qu’elle soit en sécurité.

Simplement le géant immonde affrontait les dangers et la mort à chaque jour pour emmener du réconfort à des gens qui l’auraient maltraité d’habitude. À la mention de manger, le golem de chair cauchemardesque pointa la section restaurant.

Robert- Hots dogs là... Euh... On a tous pour cuisiner... Euh... Moi pouvoir monter lits en haut... Euh... Bureau direction... Euh... Pièce séparer et toilettes... Euh... Peut demander un truc?

La main immense et saturer de cicatrices se posa dans le cou de taureau de l’ams de muscles disproportionné. Rougissant fortement, il demanda dans un murmure.

Robert- Moi peut appeler ange et homme petite sœur et petit frère... Euh... Moi je m’ennuie d’appeler petite sœur et jamais eu de frère... Euh... Moi pas appeler vous comme ça devant gens... Euh... Pas vous mettre mal à l’aise...

Il n’y avait aucune malice dans le palpitant si durement mis en lambeaux de la Bête, juste un besoin d’appartenance et surtout une acceptation que nul ne voudrait lui concéder...
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