Repos ou pas du tout (julia)

Bordel de merde que je me sens foutrement faible. C’est normal deux bastos dans mon corps si sexy et aguichant de licorne flamboyante, mais grâce à mon super pouvoir de négation à la douleur je ne sens foutrement rien. Mais je dois avoir pisser un bon litre de sang avant même de pouvoir panser mes nouveaux percings au plomb donc bonjour les absurdités et les bêtises. Julia ne veut pas se faire enfermer de nouveau et ça me va. Comme le Brucie Jr sauvage qui se cache sous mon kilt, j’aime être libre de mes mouvements et surtout pouvoir me mettre la tête ou je veux! On ne fait pas longtemps avant d’arriver à un bloc appartement qui dois couter la peau du cul littéralement et je me dis que ce sera chouette de pieuter là. Malgré qu’on ressemble à deux ivrognes, je pointe le lieu à ma bandante partenaire de baston.



Bruce- On domine le monde ma belle blonde? On va être tranquille en haut et je suis persuader qu’il y a le penthouse… Oh j’y pense avec ma gueule de porte-bonheur, je ne vais jamais vous enfermer toi et ma perle d’orient… À moins que ce soit vous qui le demander et qu’on s’amuse comme des fous!



Je rigole tout en laissant cet éclair lubrique scintiller dans mes iris d’azur renversant qui fait déborder d’humidité les dentelles. On entre et un charmant type décomposer nous accueille avec un sourire grandiose. Un Micheal Jackson dont la peau du visage fut bouffée et qu’on voit maintenant un sourire flippant mais que j’adore. Il porte des lambeaux de gardien de nuit et festivement je lui balance mon marteau dans la tempe gauche. Oh bonheur de massacre conjoint la batte de ma torride amie fait de même et la tête du zombard explose comme un fruit mur. Je la pointe de mes index et fais une petite danse de la victoire chancelante à cause du sang qui s’est tirer.



Bruce- Ça c’était amazing en synchro! Belle performance de couple pour l’élimination d’affreux et si on continue comme ça on v avoir l’or ou au moins le kill e la semaine!



Je prends le trousseau du type et lui donne avec le respect d’un foutu Jedi qui offre son sabre laser à Dark Vader.



Bruce- Voilà la clef du plaisir. On a accès à toutes les chambres du building! On commence par le penthouse, je crois que c’était un type connu qui l’avait!



J’appuie sur le bouton d’ascenseur et je suis foutrement heureux de voir qu’il fonctionne. J’adore me taper des trucs, mais les escaliers c’est d’un ennuie mortel. On entre et je la regard avec un air semi fatiguer et semi-inquisiteur.



Bruce- Pourquoi ma perle d’orient t’a donné la bénédiction pour que le Brucie Jr te fasse atteindre des sommets inégaler dans la jouissance digne d’un nirvana lubrique? Elle ne veut rien savoir de ma tronche ou quoi? Car tu semble en savoir plus que moi sur ce coup!



Et oui je suis foutrement curieux et surtout je veux savoir si j’ai fait un truc de con avec Setsuka. Genre oublier mon maillot dans la piscine…

J'avais pris cher. Et je ne pouvais pas nier que j'avais envie de partir loin de toute cette merde. Les flics ce n'était pas vraiment mes potes et prendre le risque de retourner dans un hôpital était hors de questions. Surtout pas depuis que j'avais retrouvé mon Directeur, je comptais bien rester avec lui et son groupe de fous violents. Je m'y trouvais à ma place. Malheureusement j'avais quitté le groupe pour aller me balader et voilà que j'étais blessée. Qu'est ce que John allait dire à mon retour ? Pour le coup je repartis avec Bruce qui était devenu un ami, pour preuves je n'avais pas envie de le tuer. Ce n'était pas rien venant de moi.

Je regarde l'immeuble face à nous, c'est chic et ça semble vide. . C'est OK pour moi. Tant que je peux me poser et nous soigner c'est tout ce qui m'importe pour le moment. je grimaçais sous la douleurs surtout celle de mon bras qui bien que remis en place me faisais quand même mal. Pourtant quand le bouffer de chair arriva vers nous je fis abstraction de la douleurs pour lui mettre un coup de batte en pleine tête en même temps que mon ami. c'est vrai qu'on fais une sacré équipe Roméo. Je prend ma clef et m'incline comme une princesse, bon c'est moins classe sans la belle robe mais quand même.

On prend l'ascenseur encore en fonction quand Bruce me pose une question que je n'aurais préféré de pas avoir. Je remets mes couettes en place tenant la batte entre mes cuisses me regardant dans le miroir. Satsu, son truc c'est tuer des gens. Un peu comme moi mais en pire disont... Elle ne ressent pas de kiff physique. Et c'est dommage parceque franchement t'es plutôt le genre à faire mouiller les petites culottes. dis je en sortant se l'ascenseur. Une double porte sombre devant nous. Je prend ma clef et ouvre mais avant d'ouvrir la porte je tape pour m'assurer qu'il n'y a personne.

Finalement je rentre. Le propriétaire devait être ailleurs. Je siffle en regardant le lieu Ben putain c'est pas l'hosto ici. C'est chic wow. dis je en regardant partout avant de me tourner vers Bruce. Hey beau gosse. Penses pas que c'est ta faute OK ? Puis peut être qu'elle changera d'avis une fois qu'elle aura connue le boa que t'as entre les jambes. . dis je avec un clin d'œil avant de me poser sur le canapé en tapotant la place prêt de moi. Mais si tu crèves personnes ne pourra faire du rodéo sur ta queue. Alors viens là et dis moi ce que je peux faire pour aider à ton soin. j'étais prête à aider. C'était pas vraiment dans mon caractère, il pouvait se voir chanceux.

Ce que je ne suis pas verni comme connard fini! Ma perle d’orient, cette beauté bandante et sensuelle qui redonnerait la vue à un aveugle comment elle est chaude bouillante est une meurtrière sadique. J’avoue que culbuter et faire jouir la personne qui viendrait m’achever à de quoi pervers et macabre, mais là savoir que ce sera juste d’un sens ça me coupe ma joie comme une douche froide remplis de piranhas. Il y a tellement de femmes dans ce monde et me voilà avec deux évadées d’un asile. Peut-être que ma belle Zayna sera la seule qui va m’aimer comme je l’aime? Je soulève un peu les épaules en souriant doucement aux paroles de ma patientes favorite du moment.



Bruce- Je sais que je provoque souvent des inondations… Ça pas de problème de tuyauterie de mon côté… Mais pour deux ou trois jours je vais être H.S. à cause de cet enfoiré de Thompson que je vais retrouver pour lui plomber le cul…



Je la laisse découvrir en boitant notre nouveau repaire de gangster. Car oui ça pue le fric et surtout l’argent sale. Comment je le sais? C’est que cette enflure qui habitait ici était sur ma foutue liste de pédobear qui baignait dans le trafic de blanche. Les mots de ma folle favorite me fait sourire un peu et je prends la pose d’une bonne femme effarouchée qui ne veut pas que le métro fait relever sa jupe style Maryline Monroe.



Bruce- Oui c’est foutrement chic, mais tu es ce qui a le plus de valeur ici ma torride amie. On va se soigner et quand tout va bien aller je me lance à la découverte de Setsaku pour la revoir… Même si elle doit être plus dangereuse que ma foutue gueule de mercenaire, je m’inquiète pour elle… Et comment tu sais pour le Boa? Je ne me souviens pas que je t’ai présenté le Brucie Jr?



Je rigole faiblement et je m’assoie près d’elle en sortant de mon sac à dos Dora le nécessaire de suture et les pinces. Par nécessaire je parle de fil de pêche et d’une vieille aiguille avec du gin. Comme dans le putain de Far West! Sans pudeur, car je dois l’avoir perdu quelques jours après le décès de ma famille et avec ma raison, je relève mon kilt pour que ma bandante amie puisse zieuter le monstre et la plaie!



Bruce- Et oui voici Brucie Jr au repos comme le monstre du Loch Ness qui se prélasse sur le rivage de ma cuisse… Tu sais que je me ramasse des bleus sur les genoux et les cuisses quand je cours comme un fou?



Je rigole et lui tend la pince.



Bruce- Tu as déjà jouer à Opération? Tu sais le type au nez qui allume? Là je vais te dire si tu as bien saisit la balle… Ensuite je vais prendre ces plombs pour en faire deux balles et exploser le crane de l’enfoiré qui m’a flinguer… Ça va lui apprendre à vivre…



Je la laisse trifouiller et je suis impassible. Merci mon super pouvoir de merde qui annule la souffrance. Je lui sors des conneries, genre là c’est un nerf ou bien un os et je lui parle de nuits torrides avec des dominatrices qui devaient hurler le mot de sécurité car elles étaient sur les rotules. Quand le plomb et enlever je lui donne la bobine de fil.



Bruce- Maintenant suture. Tu sais coudre un peu? Sinon je te montre et après tu fais la forme que tu veux ça va me faire de belles cicatrices et comme ça je vais t’avoir dans la peau!



Je rigole un peu et j’enlève mon t-shirt pour laisser paraître mon torse qui rend fou de jalousie même Thor! Moi aussi je suis un super héros, vu que j’envoie des décharges d’orgasmes à volonté! Elle peut voir mes tatouages comiques, mes piercings et mes implants corporels qui sont si magnifique sur mon corps de licorne sensuelle. Une partie de mon flanc ressemble littéralement à une cotte de maille vu le nombre d’anneaux implanter. Ça m’a déjà fait dévier un coup de poignard donc j’adore.



Bruce- Alors il se passe quoi de beau pour toi ma toute belle? Tu as quitté l’hôtel et je croyais que toi et ma perle vous étiez parti faire une virée de filles. Et après je te soigne et tu vas me dire ce que je te dois pour les soins ma sexy infirmière!



Je sais je suis un grand curieux…

J'entrais dans l'hôtel et s'était sacrément classe, plus encore que dans celui où j'avais retrouvé Bruce et Satsu. Non vraiment c'était wow ! Mais Bruce me posa une question des plus étranges et je ne pouvais pas le nier, elle me mise clairement mal à l'aise. Je répondis sans prendre plus de gans que ça affirmant juste les faits sans me rendre compte, du moins en premier lieu, que cela pouvait faire du mal à Bruce.
Quand il affirme qu'il va être H.S pour quelques jours j'hausse les épaules. T'as toujours dix doigts et une langue et puis merde...soit inventif un peu. dis je en haussant les épaules à mon tour avant de lui demander de venir pour que je l'aide à aller mieux. J'allais pas le laisser se vider de son sang quand même, se serait du gâchis de le voir mourir.

Quand il parle de retrouver Satsu je fronce les sourcils. Elle est en danger ?! demandais je alors en me redressant un peu. C'est mon amie, je vais t'aider à la retrouver. dis je déterminé. Je n'aimais pas beaucoup de monde mais étrangement quand j'avais quelqu'un d'important pour moi j'étais protectrice et fidèle et Satsu en faisait partie. C'était mon amie même si j'avais cru au départ qu'elle était dans ma tête. Une histoire de fou clairement...et c'était même pas drôle. Chéri, tu montres Junior à qui veux le voir, du moins avant que tu trouve des pantalons. dis je en riant un peu.

Il sort des outils en m'expliquant que je devais retrouver la balle. Je pris les outils et le regarda quand il me parla de jeux, un sourire étrangement triste aux lèvres. Je...je connais pas de jeux. On n'en avait pas à l'hôpital, enfin pas pour les gens comme...moi. dis je avant de commencer à enfoncer la pince dans la plaie pour chercher la balle. Donc tu ressent rien, aucune douleurs...c'est génial ton truc ! dis je calmement.

BIMGO dis je en prenant doucement la petite bille de plomb avant de prendre le fil laissant la bille sur le coté. Aller on referme tout ça. J'ai déjà fais de la couture pour réparer les affaires préférées du Directeur. dis je en prenant l'aiguille et le fil de pêche pour commencer à travailler tout en regardant le corps de mon ami. T'es au moins aussi fou que moi pas vrai ? Mais putain de sexy...encore comme moi ! dis je avec un sourire franc et immense.

J'ai baladé, je me suis envoyée en l'air, j'ai tué des zomzoms...et des pas zonzon c'était génial ! Et j'ai retrouvé mon Directeur ! dis je avec un immense sourire d'adolescente idiote et naïve je termine de fermer la plaie quand il me parle de ce qu'il me devait. Je regarde son torse et j'ai une idée. J'veux un de ces trucs...un tatouage on peut pas mais un piercing ouai je veux ça ! Tu peux le faire ? demandais je avec un grand sourire amusé. J'étais fière de ma connerie, après tout j'avais jamais pu en avoir de toute ma vie.

Je rigole franchement aux paroles de ma belles provocatrice qui me fait dresser mon mat de chapiteau dans mon kilt. Je la rejoins et je m’assoie en lui disant avec un air lubrique et surtout parsemer de folie dans mes iris d’azur renversant quelques mots des plus aguichants.

 

Bruce- Tu sais on peut utiliser les solutions de dépannage le temps que mon flux sanguin retrouve ses couleurs. Et tu vas voir que ma langue est foutrement musclée à force de dire des conneries et de procurer du plaisir toute la nuit à celles que j’aime bien! Et les doigts tu vas croire que j’aurai 8 mains quand je masse et je caresse!

 

Je lui dépose une main sur l’épaule pour la calmer et je lui fais un clin d’œil complice.

 

Bruce- Elle va bien j’en suis sur… C’est s’inquiéter d’une personne qu’on aime bien et c’est normal de prendre des nouvelles. Comme toi aussi je te cherchais ma coquine. Tu es ma super copine et mon biodôme pour fracasser des crânes!

 

Je rajoute en ayant le regard perdu dans la vague.

 

Bruce- Ma perle d’orient est foutrement maligne et débrouillarde… J’espère juste qu’elle voudra me revoir.

 

Je secoue la tête et lui dit avec un sourire de tombeur rigolo.

 

Bruce- Ça me fait si bien que ça un pantalon? J’aime bien la liberté pour mon Brucie Jr… Mais comme pour ma perle d’orient, si tu aime mieux ça je pourrais me forcer… Aussi plus tard on pourra farfouiller dans les logements histoire de trouver des truc sympa…

 

Je suis foutrement surpris quand elle me dit qu’elle n’a jamais jouer à des jeux de société! C’est la base de la vie en société bordel de merde. Je lui prends alors la main tout en douceur et je la regarde dans les yeux avec une telle intensité que c’est presque dramatique-comique.

 

Bruce- Julie, tu veux être ma partenaire de jeux et de plaisir? Dans mon sac j’ai une panoplie de jeux amusants et je serais tu seras ma padawan dans l’univers des jeux… Tu vas voir on va rigoler… Et pour moi tu es une femme extraordinaire, superbe et charmante qui doit exprimer ses émotions comme moi… Donc on est dans le même bateau.

 

Pendant qu’elle me trifouille je lui réponds.

 

Bruce- Oui c’est foutrement super… Mais c’est aussi casse couille car je peux me vider de mon sang sans le savoir. Je dois m’inspecter à chaque jour car je peux avoir été couper et ça s’infecte et tout le bazar. Au moins ce qui est drôle c’est quand je suis prisonnier et on essaie de me torturer… Là je me fous de leur gueule.

 

Je lui fais un high five quand elle sort les plombs que j’ai dans le corps. Je promène mon index sur mes différents piercings et je lui fais un clin d’œil complice.

 

Bruce- Tu as le choix ma toute belle et torride copine. Tu veux lequel? Ensuite pour le tatouage on peut se trouver un studio et je vais te faire ce que tu veux… J’ai suivi une formation avec une tatoueuse… Je la payais en nature contre son temps et on à été les deux gagnants! En plus elle pouvait s’amuser à me tatouer des trucs rigolos à des endroits ou les gens pleurent leurs vies.

 

Je lui prends les mains et de nouveau mon regard d’azur envoutant et hypnotique comme dans le temps que j’étais l’ennuyeux père de famille se posa dans ses iris de jade ou serpentait la folie si attirante.

 

Bruce- Tu n’es pas folle d’accord. En tout cas pas pour moi et surement pas pour notre Sutka. Dis-toi qu’on est là pour toi et on t’apprécie ma jolie. Et oui on est trop torride et sexy! Mais là tu es libre et tu dois le rester. Ne te laisse plus marcher dessus d’accord?

 

Je rigole avec elle et hausse mes épaules.

 

Bruce- Buter des saloperies c’est toujours super… Tu as déjà jonglé avec des grenades dégoupiller? C’est trop de la bombe. Aussi lance-flamme je te le recommande. Ton Directeur semble sympa. On pourra aller le voir quand on va aller mieux?

 

Je fais jouer mes percings dans la lumière.

 

Bruce- Lequel tu veux? Aussi je dois t’avertir que c’est douloureux et atroce selon l’endroit…

Bruce était différent des autres, il était plus comme moi et j'aimais ça. Plus je le connaissait et moins j'avais envie de le voir mort, plus encore, j'avais même envie qu'il reste en vie. Je le regarde avec un sourire franc et sadique. Puis quand il me parle de sexe parlant sans langue de bois. J'arque un sourcil. Tu sais parler aux femmes sexy boy. Ta langue ne sera jamais aussi musclé pour me faire monter au rideau mais...tu peux essayer. dis je en tirant la langue. Je me rapprochais de lui de façon féline avant de venir passer ma propre langue sur ses lèvres. On pourra faire un concours comme ça... dis je en le fixant dans les yeux avant de reprendre ma place avec un rire venant tout droit des enfers.

Mais il parle de Satsu et je m'inquiète de plus en plus pour elle. Il essaie de me calmer étant certain qu'elle n'a rien je fais un signe de tête et souris quand il affirme qu'il s'inquiétait pour moi. Oh, faut pas, je suis comme les rats tu sais. Je meurs jamais et pire encore je suis partout. je ris de bon coeur tout en m'occupant de sa blessure, c'était important de le garder en vie. T'sais j'pense qu'il faut laisser le temps à notre petite poupée folle. Un jour elle aimera le sexe autant que la mort. Et sinon et bien vous vivrez un amour platonique et je m'occuperais de temps en temps de Brucie. dis je en embrassant mes doigts avant de les poser sur sa corne de licorne avant de lui faire un clin d'oeil.

T'es beau comme un Dieu comme ça darling ! dis je avec un sourire avant de lui avouer que je n'avais jamais joué à rien. Il me promets un tas de jeux et je souris. Si déjà on peut se remettre en forme on verra après pour les jeux hain ? je continue à la soigner et j'ajoute doucement. T'sais, j'ai vraiment des soucies là haut, j'suis pas seule dedans. dis je en tapant sur ma tête avec mon index. Mais bon, j'suis libre maintenant et j'vais l'rester ! dis je avec un sourire heureuse.

On rigole un peu alors que je termine de faire les points. Je préfère ma battounette, c'est comme un gosse pour moi. Je l'aime de tout mon coeur dis je en la prenant pour la relever en l'air d'un air triomphant. Quand on parle du directeur mon sourire change, je ressemble à une collégienne. Le Directeur est l'homme le plus badass que j'ai croisé, il est sexy, fort et intelligent. Il est tout ce que j'ai toujours aimé...puis avec de la chance, sa femme est morte du coup il aura plus à la trompé avec moi et, ENFIN il pourra être à moi à mille pourcents. dis je en souriant avec tendresse. Si j'avais connu l'amour c'était uniquement avec lui.

Je regarde ses piercings et je cherche, quand je vois un rose fushia LUI ! dis je toute contente. Je lui retire avec douceur - étrangement d'ailleurs - puis je lui tends et je réfléchis puis j'ai un sourire idiot, j'ai une idée. Je sais !!!! dis je avec un grand sourire en retirant mon haut puis un côté de mon soutif pour libérer un de mes seins. Allez, va y ! Fait moi un trou chéri ! dis je en tirant la langue fière de moi.

Alors la ma torride amie ne sait pas dans quel pétrin orgasmique qu’elle vient de se fourrer! Quand elle me dit que ma langue ne sera pas assez musclé pour l’emmener au septième ciel et même au-delà de la voûte. Elle essaie de s’avancer vers moi comme une prédatrice, une dominatrice qui veut apposer sa griffe sur moi comme pour noter son putain de territoire. Je rigole tout doucement car nombre de femmes qui se sont essayer avant elle et ma sexy Julia me passe sa langue de manière sensuelle et même voraces sur mes lippes. Alors là elle cherche la guerre d’usure et malheureusement pour elle mon général moustachu est un spécialiste de la prise de tranchée et d’inondée toutes les parois d’humidité de désir profond! À mon tour je serpente de ma langue semi-salée et totalement perverse de la base de son cou de cygne pour remonter vers ses lèvres aussi aguicheuses que sensuelles. Un torride passage qui donne un petit exemple de mon expertise avec le tortillement de mon muscle buccale et surtout que malgré que je ne tourne plus la langue sept fois avant de parler, que j’embrasse comme un foutue dieu de la déchéance.

Bruce- J’adore les putains de défis. Mais je crois que ni l’un ni l’autre ne va être victorieux de cette lutte sexy, on va juste faire des longs rounds, des marches de baiseball ou les coups de circuits seront que légions et l’extase à son comble... Seras-tu la seconde qui pourra tenir ma cadence infernale?

Je l’écoute me parler de Satsu, ma perle d’orient qui va me voir comme un foutu patin qui l’amuse et qu’on moment ou elle va s’emmerde elle va essayer de me transpercer le cœur avec son couteau de cuisine. Elle commence à me soigner et à s’amuser à me farfouiller à l’intérieur de moi avec la pince. Mais son regard de connaisseuse s’attarde sur mon boa à un œil qui est sûrement dans le top 5 des plus grosse virilités qu’elle a vue. Je déposa ma main inquisitrice sur sa cuisse que je masse avec une lenteur torride.

Bruce- Je ne dirais pas comme un rat... je dirais plus comme tu es comme le vent. Un vent chaud et sexy qui nous caresse la couenne ou bien le tourbillon mortelle et l’ouragan qui déracine même les plus gros arbres... Un rat on peut le buter et peu de gens sont attirer par ces bestioles, toi tu es tout le contraire... Je suis foutrement sur que les types que tu butes doivent mourir le sourire aux lèvres d’avoir pu d’effleurer son corps torride et parfait!

Je soulève mes épaules de résignation alors qu’elle caresse mon porte-avion. Mon canon répond à l’instant et déjà une ogive de terrassement orgasmique et de tremblement de désir est chambré. Un vrai soldat de l’amour est toujours opérationnelle malgré ses blessures.

Bruce- Je veux juste être là autant pour toi que pour ma perle tu sais. J’espère juste lui plaire un peu et partager sa folie comme elle pourra partager la mienne... De se compléter mutuellement comme on le fait en rigolant et détruisant des trucs.

Je plonge mon regard d’azur renversant et si salace autant que charmeur dans ses iris de jades alors qu’elle m’avoue qu’elle est plusieurs dans sa tête.

Bruce- Toi aussi tu es aussi sexy qu’une déesse de la mort et de la jouissance absolue. On va se soigner mutuellement et ensuite on va aller faire une ménage festive dans Paris en éliminant ce qui nous répugne... Mais...

Je lui embrasse le front comme pour souligner que je me fous de sa folie qui semble être si dangereuse pour les autres.

Bruce- J’adore chacune de tes personnalités mon amie et on va tout faire que tu reste libre et heureuse d’accord.

On tombe alors sur le sujet du Directeur et là elle se transforme en une mauvaise parodie d’un film d’ado des années 90. Je pose sa main sur la joue car je comprend que ce salaud a complètement ma torride amie sous sa coupe. Car elle l’aime et lui profite de la situation. Le connard à une femme à la maison et doit prendre son pied avec Julia. Le meilleur des deux mondes et surtout si c’est le gus en charge de l’asile, il doit savoir quoi dire pour convaincre les gens. Je lui souris et dis avec douceur.

Bruce- Je te souhaite que sa femme est morte et que vous filer le parfait bonheur... Mais un type qui t’aimerait comme tu l’aime ben il aura tout fait pour être avec toi non? Perso c’est ce que je pense et regarde avant j’étais avec ma femme et je n’étais que pour elle... Mais là je suis seul et libre de faire ce qu’il me plaît. Donc je te souhaite le mieux pour toi ma sexy et torride amie. Ton plaisir et ton bonheur compte plus que tout pour ma gueule de porte-bonheur!

Elle choisit son piercing et me déballe son petit sein tout mignon. On est doux l’un avec l’autre, comme si une puissante alchimie guidait nos gestes et augmenteait notre envie commune de tester le corps de l’autre. En plus Setsuka m’a «prêter» à sa meilleure amie et tant qu’à être comme une carte rare de pokemon, autant en profiter pour jouer avec ses pokeball et la capturer pour la faire évoluer sous les assauts extases d’un combat charnelle bien corsé? Je l’imagine sous la forme évoluer de BadassJulia, une démone de la couchette et du maniement de tout les genre de battes. En plus son Directeur était un homme marié donc il ne cherchait que son plaisir alors que moi celui de mes partenaires est plus important que le mien.

Bruce- Avant de percer, on doit relaxer la zone et surtout préparer le tout... Attend un instant...

Je dépose ma main experte sur sa poitrine dénuder pour la masser, la rendre torride et surtout frissonnante de désir. J’adore masser et je suis un peu expert en la matière pour emmener la femme vers une zone de confort et de chatterie plafonnée au maximum. Après quelques torrides instant je sors mon instrument de percings et rapide comme l’éclair je place le bijou dans la chair sans vraiment causé de souffrance. Je prend un air coupable et dis avec un sourire touchant et un peu fou de charmeur comique.

Bruce- Tu aimes ça un peu douloureux ou bien comme ça? Avec ce percong ta zone de plaisir sera décuplé... Regarde...

Hypnotiquement et langoureusement je passe ma langue pour la titiller et surtout augmenter son désir. Le bijou fait des va et vient sournois et excitant. Ensuite je désinfecte le tout avec sensualité et surtout une douceur qu’elle semble apprécier.

Bruce- Voilà on désinfecte pendant une semaine et tu vas avoir du plaisir avec ce petit bijou. Alors tu aimes ?

Je me regarde et je m’esclaffe.

Bruce- Coquine! Je t’ai dans la peau! Tu m’a suturer un J comme ton prénom petite démone. Tu sais quoi? J’adore ça!

Faussement pudique je cache alors mon monstre du Loch Ness et on peut voir l’immense chapiteau dans mon kilt qui lui indique qu’elle est VIP quand elle veut.

Bruce- Bon tu as faim ou soif? Le bar semble garni et les armoires pleines... Je paris même qu’il y a un poteau de danse lascive et quand on va mieux je vais te montrer ce que je sais faire ma sexy et précieuse amie!

J'étais joueuse comme toujours et à vrai dire j'avais envie de me taper ce fou de Bruce depuis que je l'avais vu mais par un sorte de respect étrange pour Satsu je n'avais rien fait. Quand elle m'avait donné son feu vert là encore je n'avais rien fait pour leur donner une chance de concrétisé mais on venait de manquer de mourir et franchement il était sexy à souhait. En plus il m'avait aidé et j'avais trouvé ça...attachant. J'avais même pas envie de le tuer c'est pour dire !

Forcément ça part un peu en sucette alors qu'e je viens passer ma langue sur ses lèvres, il viens lécher mon cou à me donner des envies encore plus torride puis viens sur mes lèvres, je sens me ventre me chauffer alors qu'il m'embrasse, baiser que je rends bien entendu avec habileté et sensualité. Une fois le baiser fini je claque des mâchoires à quelques centimètres de ses lèvres avec un "grrr" qui en dis long sur mon envie de le dévorer.

Oh je peux bien tenir toutes les cadences que tu veux Roméo. On sera peut être tout deux gagnants alors. dis je avec un sourire grandissant malgré la douleur puis je regarde Brucie Junior. Mais avant de jouer les cow boys, va falloir te soigner, si tu crèves on pourra rien faire. Les Bouffeurs de chairs sont pas vraiment ma tasse de thé. dis je avec une mine de dégout.

Je commence alors à le soigner ou du moins à chercher la balle pendant qu'on discute comme ci ne rien était, si j'ai bien compris il ne sent pas la douleur ce qui est plutôt arrangeant à ce moment précis. Je me compare à un rat mais il dit que je suis, à ses yeux, plutôt comme le vent. Je souris. Je n'ai pas envie d'entrer dans le débat car je n'ai pas envie de repenser à l'hôpital. On parle de Satsu et quand il affirme vouloir lui plaire simplement je lui offre un grand sourire. Oh tu lui plait, c'est même sur. Sinon tu serais déjà mort tu sais ? La petite asiatique est bien plus dangereuse que moi, et pourtant je suis pas vraiment la plus sympa mais je prend pas autant de plaisir à tuer qu'elle, disons que pour ma part je sais varier les plaisirs et je tues surtout par colère. Elle ne tue que pour...tuer.

Quand il me fait comprendre que le Directeur ne m'aime pas comme il devrait ou ne m'aime pas tout court mon regard change pour se faire dangereux. Il m'aime...à sa façon. J'ai toujours été la seule à savoir qui il était vraiment même sa pétasse n'a jamais su apprécié son comportement, sa violence, son charisme...Monsieur Faure est parfait et grâce à lui l'hôpital était bien moins désagréable, on regardait même des films parfois tu sais..? Je...il m'aime je le sais. dis je alors avec un côté dérangé plus qu'à l'habitude.

Puis comme si j'avais simplement appuyé sur un bouton je change de visage pour un grand sourire presque clownesque. Je prend un de ses piercing et je dévoile mon sein pour qu'il fasse le boulot. Au lieu de percer directement il joue avec ma poitrine et je dois avouer que c'est plutôt agréable. Il finit par percer la chair et une goutte de sang en sort. Je serre les dents simplement je n'ai pas eu trop mal donc tout est parfait. Oh j'aime plein de chose tu sais... dis je simplement avec un petit sourire. Il passe sa langue et je me mord la lèvre, quand il me demande si j'aime ça je réponds d'un air coquin. J'adore ! Va savoir de quoi je parle, le bijou ou sa langue ? Finalement il voit mon travail, un J comme julia ou comme John, je ne sais pas vraiment en faite je m'en suis même pas rendu compte mais ça a l'air de lui plaire alors je souris.

J'ai super faim et j'ai toujours soif. dis je en riant un peu. Je ne peux toujours pas bouger mon bras mais je me dis que ça va aller c'est pas si pire alors je me lève et je fouille dans les placards. Des pates avec une sauce ça te dis ? dis je en regardant dans les placards avant d'attraper un biscuit pour mordre dedans. J'attrape aussi un saucisson sec et un couteau pour en faire des morceaux et le mettre dans une assiette. On a de la chance sans aucun doute. Je garde mon sein à l'air afin qu'il ne touche pas de tissus pour ne pas avoir trop mal.

Syndrome de Stockholm bonjour! Juste à voir ma super copine défendre son « Directeur », je sens que ce connard de merde la manipule à la puissance 1000. Je reconnais sans peine les soumis et malgré ce qu’elle pense, Juli est un véritable petit chien de poche. ¨ca me fait chier oui, bouillir le sang, mais je dois laisser la clown de service se faire écraser son adorable nez par la réalité et là je veux être là pour voir cet abruti de mon cul se faire casser la gueule à coup de batte. On s’amuse avec le piercing et elle veut me faire à manger. Pour ma part je farfouille dans le meuble près du divan en me disant simplement que la grosse pointure qui habitait ici devait avoir son biberon à porter de main. Un immense sourire satisfait apparait sur mes traits virils quand je découvre plusieurs bouteilles et même de la drogue. Je sais je suis contre la drogue et j’en ai flingué des putains de criminels, mais pour Julia je peux bien faire une exception.

Bruce- Ce sera le paradis avec les flammes de l’enfer ma toute belle!  Disons que c’était toujours resto ou bien truc fastoche que je bouffais après que ma Zayna m’a quitté dans une putain d’explosion…

Ça me fait encore mal de parler d’elle, de mes deux anges. Mais je souris et lui dis en rigolant avant de me lever.

Bruce- Tes désirs sont des ordres ma charmante et destructrice amie. Il y a quelques bouteilles pour étancher ta soif… C’est quoi ton poison favori?

Je me place derrière elle pour mettre la bouteille sur la table et gourmand comme tout je pique un morceau de saucisson. Je lui chuchote alors avec une voix raque et comique à souhaite.

Bruce- Tu sais que c’était le lieu de vie d’un foutu trafiquant de mon cul? Je suis persuadé que tu as tout pour t’amuser et j’ai même vu un poteau de pole dancing dans la chambre. Si tu es sympa, je pourrais te faire une danse sexy quand je serais guéri!

Je rajoute l’immense sac de drogue diverses sur le comptoir et je rigole tout bas.

Bruce- On pourrait fouiller Les lieux tout à l’heure ou bien faire une chasse au trésor pour la came. Mais je crois qu’on va dormir pour récupérer après… à moins que tu veille que j’utilise mes doigts et ma langue…

Salace et coquin juste au bout! Car Brucie Jr est un peu crever ce soir…

Mon Directeur, il ne faut pas en parler en mal. Au contraire, en faite je crois qu'il vaut mieux ne pas en parler du tout ! On va donc manger des pates en sauce, c'est pas fou mais ça ira très bien. J'allume le feu qui heureusement est avec une bouteille de gaz pour faire chauffer de l'eau en bouteille. Je fou les pâtes dedans, je crois qu'on fait comme ça. En faite je sais pas du tout cuisiner mais bon faire des spaghettis c'est pas non plus si difficile non ?
Il parle de poison et je me retourne vers lui. L'absinthe ! avouais je alors sans mal. Je lui souris de façon clownesque comme je le fais toujours avant de remuer un peu la nourriture. Je revins sur le canapé avec le saucisson et en prend un bout avant de tendre le tout à mon ami. Ami ? J'en sais trop rien, mais je l'aime bien, je crois...

J'ai l'impression que j'ai tout les droits ce soir. Quand il pose le sac de drogue je suis comme un malinois à l'affut. Je me raidis et attrape un gros paquet de poudre. Joyeux Noël ! dis je en riant avant de prendre trois lignes. Je secoue la tête, mes yeux se font ronds et un sourire immense se pose sur mon visage, j'ai plus mal nul part et je me sens indestructible. Pourtant quand je le sens dans mon dos je frémis. C'est pas un truc habituel chez moi. Je tourne le visage vers lui, le nez encore un peu blanc de poudre qui fait rire. Je regarde ses yeux, puis ses lèvres avant de poser les miennes dessus. J'pense qu'on peut se poser ce soir. Tu reprends des forces et on jouera demain ça te vas ? demandais je alors. On allait passer du temps ici donc fallait pas être trop pressé non plus.

J'attrape la bouteille et en bois une bonne gorgée. Je sens que je vais finir dans un sale état cette nuit mais j'en ai rien à faire. En faite j'en ai rien à faire de tout pour le moment. Je pose mon dos et ma tête contre lui et ferme les yeux l'espace d'un instant. Je me sens juste bien. Super bien en faite. Je soupire d'aise et lui dis doucement. Tu sais ? Si j'avais pas mon Directeur, j'pourrais presque rester avec toi, mais je dois le retrouver tu sais ? C'est pas possible qu'il soit mort, rien ne peut le tuer ! J'suis sur qu'il me cherche quelques part. ma voix se perd un peu, se faisant moins forte, un sourire sur les lèvres rouges je profite juste du moment. Sans m'en rendre compte je laisse ma main faire des vas et viens sur Brucie Jr, rien de sexuel en faite ,juste des " papouilles"

Je rigole doucement quand elle me confie son poison favoris. Pauvre petite demoiselle qui à passer trop de temps à satisfaire un connard dans un lieu enfermer. Bonjour syndrome de Stockholm. Mais c’est pas mon problème car je me doute comme tout que si le «Directeur» lui fait du mal, ma sexy et bouillante cinglée va lui faire ravaler les dents à coup de batte. Et si elle ne peut pas, je lui fout un de ces coups de pieds direct dans sa petite virilité pour l’appeler ensuite «Directrice». On ne déconne pas avec les gens que j’apprécie. Aussi simple que ça bordel de merde! On bouffe un peu et là après sa dose de vitamine C elle se couche un peu sur moi en mode panthère repue. Gentleman pervers oblige je l’acceuile et lui sourit alors qu’elle taponne gentiment le Brucie Jr. Mais mon petit pote est légèrement en berne avec le sang en moins et tout. Je laisse courir mes doigts sur sa cuisse dans un mouvement apaisant et sensuelle juste pour apprécier le moment.

Bruce- Quand on sera mieux on retourne à l’hôtel pour voir si ma perle d’orient est ok avec les autres. Ensuite je vais d’aider à le retrouver ton Directeur. On est amis et on doit s’aider... Et si en plus ça te rend heureuse, ben ça va me rendre heureux...

Je rajoute en la regarda avec mes tiris d’azur renversant et attachant,

Bruce- Je te chercherais aussi partout si je t’aurais perdu... Tu es une véritable perle et une fille sensass... Là je te propose un truc. On va se coucher dans ce foutue grand lit et on dort juste à midi demain...

Je l’enserre avec douceur.

Bruce- Ou on dort ici... On est bien quand même.

Je la sens somnolente et je prend mes dernières force pour l’emmener dans mes bras comme Whitney Houston dans le garde du corps. Je la couche dans le lit et je la rejoint pour l’enlacer et on se couvre pour ne pas avoir froid. Je lui fait un bisou dans le front et je lui dis d’un ton joyeux.

Bruce- Bon dodo ma torride amie. Demain ça ira mieux et on pourra déconner...

Bruce, Bruce, Bruce ... j'aime bien ce mec, je peux pas le nier. Il ne me juge pas - à part sur mon amour éternel pour monsieur J - mais ça c'est différent et je ne peux pas lui en vouloir...jalousie tout ça tout ça. Je me love presque contre lui et je me dis que dans une autre vie on aurait fait un couple assez fou et frapadingue. Puis putain on aurait pu passer des nuits torrides à souhait. Je crois bien que je pourrais protéger ce type, est ce que c'est un ami ? Oui peut être bien. En faite je ne peux pas le nier il me plait...mais moins que J. Il propose de venir chercher le Directeur avec moi et je souris.

- Hum, oui pourquoi pas..? Je suis certaine que ta "perle" va bien, elle a du tuer tout à un tas de monde mais elle va bien. dis je avec un petit sourire rassurant. Ouai Satsu était assez unique mais je la voyais mal mourir de la main d'une autre personne, elle se suiciderait ou un truc du genre et encore...elle aime trop tuer pour se tuer. Vous voyez ce que je veux dire ?

Finalement il propose de dormir. Après avoir manger mon super repas cinq étoiles je lui fais un signe de tête, je baille et finalement c'est lui qui prend ses dernières forces pour m'emmener dans le grand lit. Ce qui me fait un bien fou on ne vas pas se mentir. Je soupire d'aise avant de me blottir contre lui, je l'aime bien il est fou et pourtant super sympa.
- Bonne nuit Bruce. Ouai on verra demain il fera jour. dis je en baillant une dernière fois avant de sombrer totalement. Je rêve alors de la mort, de l'éclate, des bombes qui éclatent, enfin des sortes de grenades puis au milieu de la fumée mon monsieur J qui arrive. Je souris et vole presque jusqu'à lui. Mon dieu qu'il est beau ! Il me prend contre lui et affirme qu'il m'a cherché partout, qu'il ne va plus me laisser. Alors comme un chaton je me blottis contre lui et le reste...vous vous en doutez.

Je ne pense pas rester longtemps à l'hôtel. Je n'aime pas rester trop longtemps avec les autres personnes mais je reviendrais, parfois, faire un coucou à Bruce et Satsu. Je suis solitaire, j'y peux rien.