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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval]

Christophe Reynaud
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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyJeu 14 Juil - 8:40
Si un jour on lui aurait dit que sa vie tournerait ainsi, jamais Chris ne l’aurait cru. Pourtant, il en avait vécu des situations compliquées. Il s’était déjà retrouver deux ou trois fois bloquer en territoire hostile, mais rien ne rivalisait avec cet épisode de sa vie. Pour résumer, le militaire fut parachuter à Paris pour extraire une scientifique du Louvre. Mais, comme cela n’a pas put se faire, l’Etat Major refusait de faire sortir de là Reynaud. L’ancien militaire pensait que c’était à cause de l’échec de sa mission, ce qui le mit en rage. Mais en réalité, il ignorait à quel point la situation était devenue pourrie, même à l’extérieur et que toute tentative visant à le faire sortir de la ville était risquée.

Donc, Chris se retrouva là, coincé au milieu de ces rues infestées de zombis. Comme pour beaucoup d’autres, il vivait de repère en repère, cherchant de quoi survivre. Etant un militaire haut gradés, les quelques soldats qu’ils croisait acceptaient de l’aider en cédant un peu de leurs munitions et des vivres. Il lui fut proposer de rejoindre un camp. Ce serait une bonne idée après tout. Mais Reynaud était inspirer par une autre voie. S’il pouvait s’y rendre quelques fois, il préférait arpenter ces rues infestées pour aider les civils encore coincés. Une famille bloquées par quelques rôdeurs putrides, il les abattait de loin, laissant ainsi sa chance à ces gens de s’enfuir. C’était devenu un peu le justicier des rues de Paris, car il pouvait aussi bien s’en prendre aux vivants qui agressaient, qu’aux morts affamés.

Chris ce jour la, pouvait être aperçu en train de marcher dans ces rues mortes. Beaucoup de véhicules abandonnés. Leurs propriétaires ont sans doute voulu s’échapper avec, mais se voyant bloquer ou prit en étaut par une horde peut-être, laissèrent leur voiture là. La façade des quelques cafés et boutiques furent condamnés ou juste fermer. On entendait plus ni clameur de la foule, ni musique. Juste la danse du vent et les détonations de tirs lointains qui rappelaient qu’il restait encore des âmes en vie à Paris. Et dire qu’il fallait voir ce genre de désolation, pour éprouver l’envie de boire un café en terrasse par exemple ou se promener dans un des nombreux parcs. Chris se disait qu’avec son métier prenant, il n’a jamais pus vraiment profiter de la vie, mais maintenant que le monde s’effondrait, il éprouvait quelques petits regret de n’avoir put respirer tout simplement.

Ces quelques petits souvenirs d’une vie que plus personne ne reverrait avant longtemps, furent momentanément mit de côté quand il aperçu quelques zombis s’amassaient. Ces rôdeurs sans âmes solitaires, formèrent bien vite un petit groupe car tous ont flairer quelque chose. Inquiet, Chris chercha à s’en approcher, restant bien à couvert avec ce qu’il trouvait. Les morts sur pattes étaient tomber sur quelqu’un ou plusieurs personnes, essayant de les encercler. Une fois de plus, le devoir l’appeler.

Armer de son fusil d’assaut, Chris se mit à porter. A travers le viseur, il jugea de la distance et du temps de tir avant d’atteindre sa première cible. Les zombis étaient lent mais imprévisible. Sans doute à cause de leur maladresse, ils pouvaient esquiver des balles en trébuchant ou ayant un coup de boost subit. Chris attendait d’être sûr, respirant un bon coup comme s’il portait un sniper et tira. La détonation raisonna dans toute la rue mais le zombis ciblé fut percuté dans l’épaule puis dans la tête avant de s’écrouler au sol. Reynaud avança, tirant encore sur les autres morts vivants à côté. Ses tirs se voulaient être les plus précis et mortels possible, économisant ainsi le plus de balles possibles. Jusqu’à ce qu’il rejoigne les personnes qu’il venait de secourir.

"Ca va vous n’avez rien ?" S’enquit-il avant d’examiner le croisement où ils se trouvaient, vérifiant qu’aucun danger n’allait leur tomber dessus. "On ferait mieux de bouger avant que d’autres nous tombes dessus go !"
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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptySam 16 Juil - 10:27
Les gardiens des rues

15 mars 2030

Vous savez ce qu’il y a de plus effrayant ? C’est de s’habituer à un monde qui tourne au chaos. Même si j’espère toujours un revirement de situation quand j’ouvre les yeux après avoir eu un peu de repos, je sais très bien qu’un retour à la normale n’est plus qu’une utopie pour nous. Que j’ai les yeux fermés ou non, j’ai tous ces visages qui me hantent. Ces êtres que j’ai perdu, tués ou ceux qui se sont sacrifiés pour la cause. Nous avions signé tous plus ou moins ensemble dans le but de venir en aide à la population quand les choses tourneraient mal. De servir notre pays avec force et honneur. Mais force est de constater que ce à quoi je croyais dur comme fer, n’existe plus désormais. Sauf dans ma mémoire, c’est ce qui me rend encore humaine et qui me différencie de ceux qui piétinent ce monde dans le but de dominer le plus faible ou de simplement tuer. Si les zombies restent le grand danger, il faut croire qu’une autre race de monstres a vu le jour.

Des pillards et des assassins qui ne vient que dans le but de tuer encore et encore. Ils volent pour s’accaparer le bien des autres, faire ce qui leur plaît parce qu’ils ont cette noirceur en eux. Certains l’étaient déjà, mais d’autres le sont devenus au fur et à mesure pensant que ce n’est qu’une continuité logique au comportement de la survie. Voilà ce qu’il advient quand personne ne guide certains. Comme des gamins, ils font ce qu’ils veulent sans penser aux conséquences de leurs actes. De toute manière, leur esprit est perdu.

Si je n’étais plus une femme des plus ouvertes, j’avais encore en mémoire le serment porté lors de mon intégration dans l’armée. Servir et protéger. C’est pour cela que je sortais de la base. Pour amener des survivants en sécurité ou parfois du ravitaillement. Nous étions un petit groupe ou parfois, j’étais seule. Je ne pouvais pas rester à la base sans rien faire. Et ce que je voyais parfois me dégoûtait, je ne compte plus les fois où je tabasse ces soldats qui se croient tout permis et qui ne sont pas mieux que les pillards. Abuser de leur autorité pour asservir les autres, obtenir quelque chose et par moment, c’est à peine imaginable.

Ce jour-là, je n’étais pas seule, tout du moins au début. Mais plus ça avançait et plus le groupe s’amenuisait et se dispersait par la peur ou simplement parce qu’ils se faisaient bouffer par les zombies. Les pires du groupe ont fui à cause d’une femme parce qu’elle avait un bébé qui pleurait. Si ceux qui voulaient la laisser étaient nombreux, mon grade me permettait encore d’avoir le dernier mot et mes menaces étaient loin d’être agréables. Personne ne devait être resté en arrière. J’ai pu mettre le groupe en sécurité dans une maison avant de retourner à l’extérieur chercher ceux qui ont fui. Pourquoi ? J’en sais rien. Sans doute pour leur prouver leur stupidité et peut-être leur faire un peu peur aussi.

Quand je suis les cris, je me rends compte que la horde se trouve être un peu plus nombreuse. Qui c’est le problème maintenant ! Un bébé qui s’est à présent calmé ou bien cette bande con ! Arrivée à destination par un autre chemin, je pointe mon arme et vise un zombie se trouvant derrière un soldat que je n’ai jamais vu. J’ai une bonne mémoire en général alors, lui, je suis sûre de ne jamais l’avoir vu dans le coin encore.

<< Alors bande d’enfoirés ! Toujours en vie ? Je devrais vous laisser crever comme vous avez voulu faire crever la mère et son gosse. >> Je les regarde froidement un à un. << On en reparlera à la base de votre lâcheté. >> Je regarde l’étranger. << Passons par l’arrière, on va les contourner. >> J’ai déjà utilisé une balle et honnêtement ça me fait mal au cul de l’avoir fait. << Ok… Hey les connards, bougez-vous le cul et à la moindre connerie, au moindre truc suspect, c’est moi qui vous tue et sans aucune pitié, c’est clair ! >> Je suis en colère. En plus d’être une militaire, j’ai été mère moi aussi alors, ils ont tiré sur la corde sensible. Je ne pouvais pas pardonner cet acte ignoble qu’ils ont voulu faire, mais pire que tout, ils ont fui et déserté pour faire de cette mère et de son bébé, des appâts. Si je n’étais pas arrivée à temps, ils ne seraient plus de ce monde. << Je passe devant pour ouvrir le chemin et vous surveillez nos arrières. >> Je le regarde. << Un conseil. Gardez un œil sur eux, ils sont capables de jeter leur mère en pâture pour vivre. >> Pas le temps de faire les présentations, on n’a d’autres chats à fouetter pour le moment. J’avance donc, ouvrant la route pour rejoindre cette maison avant que le jour ne décline. Dans le noir, on sera plus en danger encore. << C’est pas très loin. >> Je m’arrête au bout de la ruelle et jette un coup d'œil pour analyser la situation. << C’est droit devant. On court et on ne s’arrête pas. Et n’oubliez pas, je vous ai à l’œil. >> Je regarde le militaire hochant la tête avant d’avancer vers la maison. Plus que quelques mètres et on sera en sécurité.

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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyDim 24 Juil - 9:56
Chris ne savait pas qui, il venait de secourir, mais il ne s’attendait pas à tomber sur ce genre de scène. Il pensait avoir avant tout secouru quelques civils en prise avec un groupe de zombis. Mais en s’approchant, il découvrait des soldats surtout, tremblotant sur leurs jambes. Et à peine s’en rendait-il compte, qu’une femme surgissait pour les sermonnait. Sans doute leur cheffe et de ce qu’il avait comprit, cette petite bande était des déserteurs, des lâches qui ont fuit et ont perdu ce pourquoi on avait rejoint l’armée. Alors oui, chacun avait ses raisons de devenir soldat, mais comme pour un médecin, on avait un serment à respecter. Alors oui, la peur, la situation pouvait vous faire perdre la mémoire, cela arrivait. Reynaud aussi parfois doutait, pouvait oublier un moment la raison pour la quelle il se battait, mais à chaque fois il se ressaisissait et encourageait les autres à en faire autant.

Pas le temps par contre de se présenter et nommer son grade pour savoir qui méritait de commander en cet instant ou pas. La jeune femme était la supérieur de ces hommes, ils la connaissaient et si elle assurait que tous rentraient en sécurité, Chris n’en avait pas besoin. Alors il inclina la tête en signe d’approbation et suivit, fermant la marche juste derrière eux. Ceci-dit, la cheffe le mit en garde concernant ses hommes, comme quoi ils n’étaient pas fiable. Reynaud acquiesça, suivant donc ce conseil en gardant un œil sur les hommes et femmes armées qui suivaient.

Dans l’armée, quand vous étiez en territoire ennemi, il était important que vous puissiez faire confiance en ceux qui vous accompagnaient. Car vous dépendiez des autres pour survivre et rentrer chez vous. Dans le cas contraire, vos chances étaient presque nul. Voila pourquoi dans l’armée, on vous faisait subir des entrainements et des épreuves intenses qui éprouvaient le corps et l’esprit. Si vous ne teniez pas, alors ca ne servait à rien de continuer, sauf si vous vouliez faire tuer tout le monde. Donc savoir que la petite escouade n’était pas fiable n’avait rien de rassurant. Il ne pouvait compter que sur cette responsable et prier qu’aucun des autres ne défaille au mauvais moment.

Chris acquiesça à nouveau et couru avec le groupe jusqu’à la maison indiquer. Avec son fusil d’assaut, il surveillait les environs, s’assurant que personne, vivant ou non, ne les surprennent. La rue semblait calme, un peu trop sans doute. Christophe restait sur ses gardes, sachant que le silence était rarement synonyme de paix. Il surveilla donc les arrières du groupe jusqu’à ce que tout le monde soit à l’abris. S’il semblait calme et maîtriser, en réalité Reynaud stressait un peu. Il a déjà affronter plusieurs de ces choses et quelques humains ayant perdu la tête. Même bien armer, il ne portait de surconfiance en ses capacités, gardant à l’esprit qu’il pouvait bien se faire avoir aussi.

"RAS… On doit être en sécurité pour le moment." Dit-il en franchissant le seuil de la porte.

Même l’intérieur de la maison était d’un calme inquiétant.

"Je peux sécurisé l’entrée, le temps que vous vous m’étiez à l’abris." Proposa t’il car il supposait bien que cette maison, ne soit qu’un abris temporaire. Il avait remarquer toutes les failles non protégées permettant à tout et n’importe quoi de prendre d’assaut la demeure. "Vous êtes combien en tout ? Et quelle est votre destination ?" Il demanda cela en premier, jugeant ces infirmations plus importantes que tout afin de déjà, connaitre la taille réelle du groupe et ainsi savoir qui protéger ou qui peux servir à la protection et s’ils ont besoin d’aide ou non pour rejoindre un lieu en particulier. Il n’avait aucune intention mauvaise et pensa que son uniforme suffirait à mettre en confiance comme celui de la jeune femme.
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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyMer 10 Aoû - 22:31
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15 mars 2030

Ma colère était plus que légitime en ces circonstances. Je ne pouvais pas accepter la désertion. En tant que militaire, nous avions fait serment de protéger la population contre tout ce qui pouvait être un danger. Oui, il y a le droit à la peur, mais pas à se laisser dominer par elle. Ce n’est pas un luxe que nous avions le droit d’avoir à l’époque et ça l’était encore moins aujourd’hui. Si la peur est là, nous ne devons oublier que le courage est juste derrière à lever le poing et nous encourager à aller au-delà de ces limites que le genre humain pose sur leur route. Alors certes, ce n’est pas la meilleure entrée en matière face à cet étranger venu secourir ces salauds qui auraient dû, selon moi, mourir bouffé par ces choses. À croire que leur bonne étoile les protège. Décidément, il y a des moments où je me dis que les pires survivent toujours plus longtemps que les bons.

Après quelques conseils avisés pour le nouveau venu et des mises en garde pour ces connards, j’ouvre la marche pour rejoindre la maison où le groupe s’était réfugié le temps que je revienne. La rue était calme, pour le moment certes, mais nous n’avions pas d’autres choix que de choisir cet endroit avant de rejoindre la base de la 19e.

"RAS… On doit être en sécurité pour le moment."

<< Oui pour l’instant. On ne va pas rester longtemps de toute façon. >> Fis-je en entrant à mon tour non sans donner un coup de pied au cul d’un des déserteurs. << Croyez pas que je vous ai oublié vous. >>

"Vous êtes combien en tout ? Et quelle est votre destination ?"

<< On est une dizaine en tout, on était sur le chemin pour rejoindre la base de la 19e. >>

Tout doucement, le reste des survivants sortent de leur cachette avec un groupe de militaire, qui eux, n’avaient absolument pas déserté les rangs. La mère tenait son bébé, bien plus calme que lorsqu’ils couraient dans les rues d’une des plus grandes villes du monde, il fut une époque. Paris. La ville des lumières, des artistes… Il y a quelques années, j’y étais venue pour la visiter avec mon ex-mari, c’est fou comme un environnement peut changer lorsqu’un cataclysme a lieu. C’est à peine si on arrive à s'y retrouver.

<< Comment va le bébé ? >> Fis-je en me dirigeant vers la mère qui me rassure sur l’état de son enfant. Je caresse la joue de ce dernier et je viens à me rappeler de mon propre fils lorsqu’il venait de naître. Qu’importe ce qu’il se passe, certains ont toujours l’espoir et l’envie de faire des enfants. Est-ce bon pour cette humanité en déclin ? Néanmoins, la nouvelle génération sera habituée à voir des zombies et à se battre pour survivre. Ils n’auront jamais à se rappeler de ce qu’était la vie autrefois. Pas comme nous.

<< Mes hommes ont sécurisé l’endroit ne vous en faites pas. >> Je le prends à part afin de pouvoir parler un peu mieux avec lui. Maintenant, que je vois son uniforme, je peux décerner que son grade est plus haut que le mien. << Capitaine donc… Je suis la lieutenante Ellie Sandoval, commando parachutiste de l’armée de l’air française. >> Qu’importe le temps, je reste respectueuse de ce qu’on m’a appris et je me mets au garde-à-vous. << On cherchait du ravitaillement pour la base avant de tomber sur ce petit groupe de survivants. À la base du 19e, ils seront en sécurité et ils pourront accéder à des soins plus appropriés, surtout pour la mère et son enfant. Et vous ? Qu’est-ce que vous faisiez dans le coin ? Surtout seul ? >>

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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyMar 16 Aoû - 8:57
Celle qui s’était dévoilée comme la cheffe de ce groupe, expliqua que leur mission consistait à rejoindre un camp se trouvant au 19e. Christophe acquiesça. Et dire qu’en temps normal, il ne connaissait pas Paris plus que cela, l’ayant visiter quelques fois seulement. Mais depuis qu’il jouait les sentinelles dans les rues, il apprenait à mieux connaitre ces dernières, savoir où chacune débouchait et ce qu’on pouvait y découvrir. En tout cas, que le chemin soit long ou non, il comptait bien escorter ce petit groupe jusqu’à sa base. Négocier peut-être un peu de nourriture et de munitions avant de reprendre ses activités de vagabonds.

Reynaud découvrit le reste du groupe qui était cacher. Des militaires restaient pour veiller sur les civils qui comptaient une mère et son enfant. Ces derniers semblaient plus attirer l’attention de la responsable. Soucis pour le bien des plus fragiles, il ne pouvait que respecter cela. Chris surveilla pendant ce temps les environs, s’assurant qu’aucun danger ne courrait pour l’instant quand on vint l’interpeller comme quoi, le lieu était déjà sécurisé et qu’on l’invita donc à discuter un peu à l’écart.

Maintenant que la tension était redescendu, on pouvait revenir à certaines civilités. Les deux gradés purent faire connaissance du rang de chacun et se présenter comme il se devait. La militaire se présenta comme lieutenant Sandoval, parachutiste et Chris en fit tout autant.

"Capitaine Christophe Reynaud, infanterie."

Ellie expliqua donc la raison de sa présence ici. Elle parlait de recherche de ravitaillement pour la base, mais sont tomber sur des survivants qu’ils voulaient ramener en sécurité avant d’interroger son supérieur sur le pourquoi il était seul dans les rues. A cette époque, le gouvernement et l’armée n’était pas encore tomber et donc, la mission de Chris devait rester top secrète. Pour répondre à un collègue, le militaire devait bien choisir ses mots pour ne pas trahir. Heureusement, il n’avait pas besoin de mentir. Juste dissimuler quelques détails.

"Notre escouade à était envoyer pour porter secours. Mais cela s’est mal passer et malheureusement, je suis le dernier encore debout. En attente des ordres, je patrouille dans les rues aidant tant que possible."

Des ordres qui au final, ne viendront jamais. Mais même si Christophe avait un avis négatif sur ses supérieurs, il ne pouvait penser qu’ils viendraient à les abandonner, surtout aussi proche du désespoir de mettre fin à tout ce bazar. En tout cas, en attendant il jouait les bons samaritains, volant au secours des humains face à ces horreurs sans âmes ou contre quelques personnes ayant déjà sombrer dans la folie. Car, si là déjà des militaires se mettaient à déserter en voulant sacrifier la vie de civils, alors pourquoi pas monsieur tout le monde pouvait en faire autant ? Tout cela était de mauvaises augures, mais le capitaine se voulait encore rassurant.

"Si vous le permettez, je vous escorterais jusqu’à votre base avant de repartir. Si déjà la moitié de vos hommes se montrent peu fiable, toute aide vous serrez utile." Et avec un homme qui pouvait gueuler autant qu’un ours, il pourrait aussi aider à remettre quelques sur les bons rails. Un tenterait de fuir ? Il aura à faire dans ce cas à deux gradés qui mordent. Bien entendu, Reynaud ne chercherait pas à saper ou voler l’autorité de Sandoval, ils restaient ses hommes sous l’autorité direct de la jeune femme. Malgré qu’il soit plus gradé, il respectait celui de la lieutenant proposant juste de la seconder. Car Chris ne prenait les directive que s’il sentait le responsable incapable d’assurer ses responsabilité, et là, de ce qu’il avait vu, Ellie assurait.
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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyJeu 1 Sep - 14:59
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15 mars 2030

Le refuge n’était que temporaire. Ellie savait pertinemment qu’ils ne pouvaient pas y rester. Les structures de la maison n’étaient pas fait pour y rester trop longtemps. Les lieux étant plus ou moins exposés et il y avait bien plus de danger à rester. Cependant, il fallait que tout le monde reprenne son souffle et le repos était l’option la plus sage pour le moment. La mère était épuisée autant que le bébé. D’ailleurs, ce dernier était ronchon et pouvait les mettre en danger en poussant sa crise. Il fallait se faire discret. La règle première d’une expédition, c’était d’attirer le moins possible l’attention, d’être silencieux pour ne pas être une cible facile.

En tenant le bébé dans ses bras, la militaire se rendit compte que ce dernier avait besoin de repos. Il fallait donc rester, on ne pouvait pas faire autrement. Cette course, pour fuir les zombies les avait tous épuisés. Si ce n’était pas cette maison, cela aurait été une autre. Après avoir laissé, le bébé à sa mère, Ellie prit à part le militaire croisé dans la rue. Ce dernier semblant avoir plus dans le pantalon que ceux qui ont déserté et qui méritait la pire des sentences selon la jeune femme. En s’engageant dans l’armée, on fait forcément face au danger, fuir est une honte surtout quand on laisse des innocents derrière soi ou qu’on les utilise comme appât.

Les présentations faites, Ellie regarde le capitaine Reynaud, beaucoup plus gradé qu’elle. Il pouvait sans problème prendre les commandes du groupe, mais dans l’état actuel des choses, la jeune femme voulait au moins continuer à mener la troupe jusqu’au point de chute. Après, c’est sans soucis qu’elle lui laissera les commandes. Néanmoins, la question qui lui trotte actuellement dans la tête, c’est ce qu’il faisait ici. D’ailleurs, l’homme semblait réfléchir à ces mots. Ellie remarquait bien la posture, celle qui murmure qu’il se trouve dans une position où tout ne pouvait pas être dit.

"Notre escouade à était envoyer pour porter secours. Mais cela s’est mal passer et malheureusement, je suis le dernier encore debout. En attente des ordres, je patrouille dans les rues aidant tant que possible."

<< J’ai l’impression de connaître cette histoire, à la différence que je n’attends plus d’ordres de personne hors de Paris. >> Choisir entre laisser des survivants et fuir, le groupe d’Ellie avait fait leur choix. Tous se sont sacrifiés et avec honneur. Aujourd’hui, il ne reste plus qu’Ellie. Debout et encore témoin des jours où son équipe et elle rigolaient et se taquinaient alors que l’avion les emmenait vers Paris. Tout ceci ne devait être qu’une mission d’aide, mais au final, c’est devenu un cauchemar duquel on ne pouvait pas sortir.

"Si vous le permettez, je vous escorterais jusqu’à votre base avant de repartir. Si déjà la moitié de vos hommes se montrent peu fiable, toute aide vous serrez utile."

<< Une aide en plus serait la bienvenue. Mais le plus sûr est de se reposer ici ce soir. Les survivants ne sont pas en état surtout la mère et son bébé. >> Elle laisse son regard se poser sur celle-ci tenant et rassurant son enfant. << Mieux vaut se reposer et nous partirons demain à la première heure. >> Elle regarde autour d’elle. << Je vais poster des hommes pour sécuriser le bâtiment et on se relaiera. >> Pour le moment, Ellie n’avait pas d’autres plans que celui-ci. Aller dehors alors que la nuit tombait, était parfaitement suicidaire. Alors le mieux est de rester, de surveiller, se reposer et dès demain, la course jusqu’à la base du 19e recommencera. << Quand on sera de retour, vous pourrez prendre quelques vivres si vous souhaitez vraiment repartir, mais essayez au moins de vous y reposer un peu. >> Automatiquement, son regard se tourne vers la mère berçant son enfant. Il y a longtemps, Ellie se trouvait à cette même place, tenant son fils dans ses bras, chantonnant une berceuse alors qu’il s’était éveillé à la vie. Aujourd’hui, il n’est plus, mais c’était peut-être mieux ainsi. Si Ellie en voulait au monde pour la mort de son fils, en particuliers à son ex-mari, aujourd’hui sa pensée était toute autre. Le fait qu’Esteban n’ait pas à subir ce cauchemar la soulageait. << Je suis mitigée… Donner la vie, c’est quelque chose de merveilleux tout autant que de tenir un enfant dans ces bras… Mais est-ce vraiment une bonne idée de donner la vie dans un monde comme le nôtre ? La vie doit continuer oui, mais à quel prix. >>


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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyMer 7 Sep - 9:22
Chris savait qu’il n’était pas le seul dans ce cas. Beaucoup de militaires envoyés à Paris sont tombés et ceux ayant vu mourir leurs hommes, leurs camarades et même amis n’étaient pas singulier. C’étaient les risques du métier comme on dit, mais Reynaud n’était pas un homme si pragmatique que ça. Il ne sacrifiait pas ses hommes pour remplir une mission. Malgré son vécu, il restait quelqu’un de très humain soucieux de ceux qui l’entourait et donc, voir quelqu’un mourir restait marquant. Il sentait que c’était un peu la même chose chez le lieutenant Sandoval. Elle aussi sans doute en avait vue supportée des choses depuis son arrivée sur Paris. Malheureusement, ni l’un ni l’autre n’avait le temps de s’apitoyer et encore moins pleurer sur leurs disparus. S’ils devaient le faire, ce sera en sécurité dans un camp lorsqu’on aura pas à craindre que quelques cannibales sans cervelles ne viennent les déranger.

Reynaud se proposa alors de les aider. Surtout en voyant l’escouade qui l’accompagnait, et comprenant que la plus part n’était pas fiable, il se disait que son soutient serait avantageux pour survivre. Soutient qu’Ellie accepta volontiers. Néanmoins la jeune femme ne voulue pas partir de suite, elle préférait que tout le monde se repose avant de reprendre la route. Reynaud acquiesça, comprenant et adhérant à l’idée. Encore lui, il pouvait tenir des heures et kilomètres en plus, mais les civils eux, devaient être exténuer surtout cette mère avec son enfant. Déjà en temps calme on se souciait du bien être de son nouveau né, mais il n’osait imaginait ce qu’une mère devait ressentir quand le danger était d’un coup indénombrable et rampait tout autour de vous pour juste vous tuer vous et votre enfant de la pire des manières. Ellie exposa ses intentions en postant quelques hommes pour la sécurité, ce que Chris acquiesça.

"Je me positionnerais ici." Dit-il en montrant du doigt une fenêtre un peu à l’écart des autres. "J’aurais moins besoin d’être relever, rassurez-vous j’assures vos arrières."

A nouveau toute l’attention se porta sur cette mère et son enfant. Il fallait dire, que quand on vivait dans un monde chaotique où ne régnait plus que la peur, la mort et la folie, voir un enfant paraissait exotique, intriguant et éveillait une forme d’espoir. Reynaud avait l’impression que cela faisait un moment qu’il n’avait plus vu de bébé et voir celui-ci paraissait si étrange.

"Chaque nouvelle vie est une victoire sur ce fléau. Un espoir que nous pouvons renaitre. Et puis… Ca vous tombe dessus sans prévenir aussi."

Chris n’avait pas d’enfant et ne savait pas si un jour il en aura. Même s’il se mariait, lui et Celeste n’étaient-ils pas trop âgés pour ? De toute manière, le capitaine se disait qu’il ne serait pas un bon père. Pas qu’il serait monstrueux envers sa progéniture, mais parce qu’il serait un père cruellement absent. Il était même plus absent que son père à lui qui fut militaire également. Difficile d’avoir une vie privée et familiale. N’importe quelle femme n’aurait pas supporter si elle voulait fondée une famille stable. Heureusement, il était tomber sur Celeste. Elle avait déjà fondée la sienne et pouvait le comprendre car elle aussi était très prise par son travail. Les deux s’étaient bien trouvés. Mais cela aiderait a vraiment créer un bon foyer ? Plusieurs personnes lui on fait remarquer que ce n’était pas particulièrement sain, et Chris ne pouvait pas le leur reprocher. La preuve étant que leur mariage était à chaque fois repoussé. Et qu’aujourd’hui pour se retrouver, voilà qui était compliqué. Pour ne pas dire impossible…

"Vous semblez crever vous aussi. Vous devriez allez vous reposer également. Ne vous en faite pas, je prend le premier tour de garde et vous préviens au moindre soucis, vous avez bien mériter de vous reposer un peu."
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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyMer 19 Oct - 23:03
Les gardiens des rues

15 mars 2030

Tout était épuisant. Mais ce qui l’est plus encore, c’est de ne pas pouvoir compter sur certains membres de son équipe. Quand on sait que certains peuvent fuir à la moindre difficulté, ne pouvait pas donner envie à Ellie de dormir. Le repos est une notion de luxe aujourd’hui. Quand elle ferme les yeux, ce n’est que pour voir les horreurs qui se sont déroulés jusqu’à présent. Depuis que le monde a sombré, elle a du faire des choix et des actions moins humaines et plus radicales pour une question de survie. Si autrefois, elle n’aurait pas porté la main sur un enfant, la chose en est plus compliquée aujourd’hui. Le groupe des pillards se servant de ces derniers pour piéger les quelques survivants passant par là pour les voler. Des enfants devenus aussi ignobles que les adultes. Ce sont des visages qui hantent la militaire, et même si elle se dit qu’elle a dû en abattre un pour sauver la mère et son enfant, Ellie ne pouvait s’empêcher de se haïr. Si un enfant est un espoir, mal guidé, il pouvait devenir un monstre de plus qui erre dans les rues de Paris.

C’est dur à penser, mais c’est l’horrible vérité d’un monde en déclin. Ce n’était que des informations dans les pays en guerre, mais aujourd’hui même dans une ville plus que civilisée, on pouvait retrouver des enfants soldats capables du meilleur comme du pire. En regardant ce bébé dans les bras de sa mère, Ellie se demande quel genre de personne, il deviendra plus tard. Tout en se posant cette question, elle observe son équipe, ceux encore fiables et les déserteurs. Ce bébé appartiendra certainement à l’un de ces groupes, s’il parvient à survivre au chaos ou bien encore à la maladie. Tout ce qui pouvait être guérir autrefois, ne peut plus vraiment l’être à présent. Si un gosse attrape une mauvaise grippe, cela peut se compliquer. Le temps du Moyen-âge semble de retour face à certaines choses.

"Je me positionnerais ici."

Le regard d’Ellie se pose sur le capitaine qui accepte d’être sous les ordres de la militaire. De toute manière, peu sûre qu’Ellie aurait accepté de laisser son groupe à un autre qui vient de débarquer.

"J’aurais moins besoin d’être relever, rassurez-vous j’assures vos arrières."

<< Vu le nombre de personnes fiables ici, je n’arriverais pas à fermer l’œil. >> Fit-elle simplement alors que deux de ces meilleurs hommes gardent à l'œil les deux déserteurs prêt à en égorger un à la moindre incartade. Si Ellie n’avait pas l’autorité nécessaire, elle reste persuadée que leur sort aurait déjà été réglé. Mais en attendant, Ellie devait les ramener et la base décidera de ce qu’il se passera pour eux.

"Chaque nouvelle vie est une victoire sur ce fléau. Un espoir que nous pouvons renaitre. Et puis… Ca vous tombe dessus sans prévenir aussi."

<< Sans doute… En espérant qu’il pourra survivre au reste. >> Elle regarde le capitaine droit dans les yeux, d’un air détachant, mais pas dénué de cette humanité que la femme tente de préserver même après tout ça. Ces paroles pouvaient être dures, mais elles sont vraies, logiques, percutantes… Pouvait-on penser autrement dorénavant ? Le Destin tire aux dés pour savoir qui vivra et qui mourra.

"Vous semblez crever vous aussi. Vous devriez allez vous reposer également. Ne vous en faite pas, je prend le premier tour de garde et vous préviens au moindre soucis, vous avez bien mériter de vous reposer un peu."

Ellie sourit un peu en le regardant. << Le mot est faible. >> Finit-elle par dire. Il était si loin de la vérité. Ce manque de sommeil ne date pas de maintenant, mais depuis la mort de son fils, Ellie ne parvenait pas à trouver un sommeil digne de ce nom. C’est un luxe qui ne lui appartenait plus. Elle dormait juste ce qu’il fallait avant de retourner à sa routine. Si celle-ci a changé depuis que cette chose faisait revenir les morts à la vie, elle n’en était pas moins importante pour la militaire. S’occuper l’esprit était la chose qui l’empêchait dans cette dépression qui l’avait dévoré après la mort de son fils unique. << Et puis même si je le voudrais, je n’y arriverais pas… >> Elle pose son regard sur Christophe tentant de voir si elle peut réellement compter sur lui, même si dans le cœur de l’action plus tôt, elle lui a donné cette confiance le temps de traverser la rue et de rejoindre cette maison. << Avec la connerie de ces deux déserteurs, ils savent qu’on est pas loin… La route de demain risque d’être difficile. >> Il faudra prévoir une solution de secours et la militaire avait déjà son idée sur la question. Il faudrait attirer les zombies vers la direction opposée vers un territoire qu’elle n’aimait pas emprunter, celui des pillards. Mais comme ces derniers aiment tuer les zombies, cela pourrait aider Ellie dans son plan. << Vous connaissez Paris ? Vous savez où se trouve la base de la 19e ? >> Elle attend la réponse tout en l’observant. << L’objectif de demain est simple. Se rendre à la base coûte que coûte. S’il m’arrive quelque chose où que je doive me séparer du groupe, vous les guiderez jusque là-bas. >>


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Christophe Reynaud
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Les gardiens des rues [Ellie Sandoval] EmptyLun 24 Oct - 9:34
Chris se proposa donc de monter la garde en premier et en choisissant un endroit assez stratégique pour surveiller l’extérieur. Il fallait avoir un bon champ de vision pour éviter d’être surprit par des cadavres ambulants perdus ou quelques âmes bien vivantes désespérés et parfois même, pousser par la folie. Mais le lieutenant Ellie semblait plus inquiète pour un autre danger. Reynaud tourna donc le regard vers ceux qu’elle désignait. Oui, les déserteurs pouvaient être plus problématique. Si on pouvait comprendre l’instinct de survie, cela n’empêche que ces gens sont peu fiable. Ils pouvaient soient s’enfuir à nouveau, vous abandonnant à un triste sort, ou pire… Vous trahir afin d’assurer leur propre survie en vous vendant. Chris se rendit compte qu’il faudra bien surveiller leurs avants autant que leurs arrières. Cela ne l’enchantait pas du tout.

La vision du nourrisson semblait rapporter un peu d’espoir dans cette fin du monde. Chaque naissance était comme une victoire sur la mort qui s’était matérialisée sur Terre. Cela rappelait à Chris pourquoi il devait encore se battre, pour chaque vie restante et à venir. C’était un militaire de la vieille, poursuivant des valeurs qu’on dit dépassées. En ce moment, les petits jeunes qui rejoignent l’armée furent souvent des carriéristes, des gosses à qui on a promit un bon salaire, un poste à autorité très rapidement. Combien de ces gamins il a dû recadrer car pensant plus à leurs carrière, ils trahissaient tout serment. S’ils étaient là, eux aussi auraient sacrifiés la mère et son enfant, surtout en voyant qu’ils n’auront plus la promesse d’un bon poste à la fin.

"Ca... C'est justement notre boulot. Notre rôle d'assurer sa sécurité jusqu'à bon port et en sécurité." Sur que son aide armée, la mère et son bambin ne survivront pas longtemps et tant qu’il y avait des gens comme Ellie et Chris, ils n’auront pas de soucis à se faire. Car justement, les deux militaires étaient porter de protégés les plus faibles sinon ils ne seraient pas la non ?

Le capitaine proposa donc au lieutenant d’aller dormir un peu, maintenant qu’il était là pour veiller sur le groupe les premières heures. Après la journée qu’ils ont vécu, il n’était pas étonnant de voir Sandoval porter le masque de la fatigue extrême. Un bon soldat qui ne se reposait pas comme il fallait risquait de ne servir à rien et même poser problème. Toutefois, le lieutenant confia que la tâche sera difficile. Reynaud pouvait comprendre, qui pouvait passer une bonne nuit de sommeil dans le monde dans le quel ils vivaient ? Chaque vivant était hanter par des visions de cauchemar peuplés de créatures putrides qui déchiraient les vivants comme de vulgaire tranches de jambons. Christophe mentirait s’il disait ne pas être hanter par de telles visions la nuit. "Raisons de plus pour se reposer un peu avant. Il vaut mieux être un minimum prêt et remit pour ce qui nous attends." Surtout si Christophe restait pour surveiller au début. Après il pouvait comprendre qu’on ne lui fasse pas de suite confiance, malheureusement il n’avait que sa bonne foie à proposer comme preuve et rien d’autre.

La belle métis semblait tout à coup avoir un plan en tête. Décidément, son cerveau semblait encore carburer malgré la fatigue et le stresse, cela impressionnait le capitaine qui l’écouta, sourcil lever se demandant bien ce que la jeune femme avait en tête. "Oui… Assez bien et je voie de quoi vous parlez." Depuis qu’il avait fuit Meconium, Chris avait errer dans les rues depuis des semaines, apprenant à mieux connaitre Paris et ses nombreux recoins. Se retrouvait était devenu facile pour lui. C’est la qu’Ellie lui demanda donc de guider le groupe jusqu’à la base mentionné si elle ne pouvait plus. Elle devait bien être désespérée pour accorder une telle confiance à un parfait étranger d’un coup la responsabilité de son groupe. "Très bien, je le ferais. Mais ne vous inquiétez pas, nous y arriverons. Le mieux serait d’établir un plan avant d’y aller sans préparation."
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