Wow ça c'est trop gros! (Manon) WARNING 18+ Sexual

Bon c’est le temps de faire une petite tournée  d’inspection autour de la baraque qui me sert de refuge pour la nuit. Putain que je me sens pris dans une routine et je commence à virer fou à faire juste les même activités. Sortir m’amuser à taper du zombie, essayer de trouver de la bouffe pour les culs bénis et chanter à tue-tête. Je suis planté au milieu Quartierdemerde dans le sphincter nauséabond d’un Micheal Jackson en rut. Depuis ma peine d’amour avec ma perle d’orient et le mutisme de mon pote, je m’emmerde horriblement. Mais j’aimerais bien déconner avec une personne, pourquoi pas baiser un peu si ça s’adonne. Un trou c’est un trou et une queue n’a pas de yeux. Une de mes meilleures philosophies. Juste à penser à des mouvements lubrique fait relever mon kilt et ce n’est pas le froid qui affecte mon général à moustache qui aime monter sa tente. Mon bouclier au bras, mon bec de corbin à la main et mon reste sur mon dos, j’ai l’air d’un vendeur itinérant.  Mon casque à visière avec deux canettes de bières dessus me donne un panache que j’adore.  Je me fous du comment je suis habiller. Juste pour dire je suis en chaps de cuir et en kilt. Donc j’ai mon crache yaourt à tête violet qui se fait caresser par le vent et ma zone venteuse est libre comme l’air. Je marche en restant plus ou moins alerte en dansant un peu. Je virevolte dans tous les sens comme une toupie. Comme ça je peux zieuter autour de moi en et je suis fabuleux dans mes déhanchements. Je sais que je provoque l’appétit de tous. Mais merde ces derniers temps c’est des zombies qui veulent mon cul. Au moins ça me fait du sport.

Donc me voilà en train de me promener au milieu de ce quartier fantôme. Je rêve de me trouver un bidon d’essence pour Rosie mon scooter rose trop classe. Aussi des munitions ou bien des joujoux de tous les goûts pour me désennuyer. Pour m’empêcher de songer à Setsuka. Ma sexy bad ass me manque encore plus que Porn hub pour tout avouer… En marchant dans ce paysage complètement laisser à l’abandon, je suis étonné de ne pas voir monsieur cannibale qui ne vit plus, ou bien des vrais comme Hannibal, de se promener en farfouillant partout.

Bruce- Bordel les zombies sont invités à une fête! Ils ont oublié de le dire à leur vieux copain Bruce? Je suis tout tristounet! Si je les attrapes je vais leur planter mon marteau dans la tronche pour leur apprendre que ce n’est pas sympa de me laisser tout seul comme un gland dans le sable.

Je fais même « exprès » pour frapper du pied une conserve qui rebondit sur le bitume. Rien du tout. Alors une chanson se projette dans mon écouteur. Je me fous du bruit et je commence à chanter d’une voix de fausset et amusante tout en sifflotant quand c'est le moment.

Bruce-
Here's a little song I wrote
You might want to sing it note for note
Don't worry, be happy
In every life we have some trouble
But when you worry you make it double
Don't worry, be happy
Don't worry, be happy now
don't worry
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy
Ain't got no place to lay your head
Somebody came and took your bed
Don't worry, be happy
The landlord say your rent is late
He may have to litigate
Don't worry, be happy
Oh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don'...


Ça met du pep dans une expédition qui va être trop longue. Mais je suis arrêté alors en plein milieu de ma chanson par un cri d’épouvante. Mon sang se fige et même mon érection quasi-permanente retombe. C’est celui d’une femme car je l’ai entendu plus qu’une fois. Putain de merde je me revoie dernièrement avec une survivante qui était encerclé par des bouffeurs de chairs. J’ai arrivé trop car elle fut mordue. Elle m’a supplié de la tuer et ma santé mentale fragile en a pris pour son rhume. Alors pas cette fois si je peux réussir à intervenir comme Batman. Je m’élance et j’arrive en dérapant dans une sorte de terrain vague clôturé avec des bagnoles abandonnées. Le coin favori des violeurs et des pourritures qui ont un phallus de la taille de mon petit doigt. J’arrive au moment où trois types semblent maintenir un superbe corps sur le capot d’une voiture. L’un la gifle violemment et aussitôt me voilà le méchant Brucie. Le genre de type qui va te marteler les couilles avec son marteau pour te les faire recracher et qu’ensuite il va te les faire ravaler pour recommencer juste à l’infini et plus loin encore. Je suis encore loin et là c’est le sprint de la mort quand celui qui se tient un peu les burnes ramasse le couteau pour menacer la demoiselle hurlante.  Celle-ci s’arrête sous la menace et je me promets de lui faire avaler son couteau par le cul à ce type. J’arrive donc au moment pour capter quelques mots de la pourriture qui essaie de relever la manche du manteau de la femme qui se remit à se débattre avec l’énergie du désespoir. Mais c’est une voix de nana...

Femme- Tenez la bien les filles, j’vais lui faire la marque du gang sur le bras, histoire qu’elle nous oublie pas. Ensuite le châtiment du strappon barbelé!

Les deux autres se mirent à ricaner comme des hyènes dans le Roi Lion. Tiens je pourrais jouer le macaque qui sait? Ils ne m’ont pas entendu arriver malgré le fait que je suis aussi discret qu'un éléphant qui tombe sur le cul. Je me plante derrière et je leur dit avec toute la haine que me provoque cette scène que tout bon père de famille voudrait jamais voir.

Bruce- Vous êtes en train de d'essayer de vous taper une demoiselle à trois vielles tantes musculeuses qui doivent avoir trop fait de culturiste de merde..... C’est moi ou vous ne valez pas un pet de lapin mort dans un sac de merde?

Je fais un clin d’œil espiègle et remplis de sollicitude à la demoiselle et un grand sourire encourageant.

Bruce- Désolé des mauvais mots… Maintenant ferme les yeux car je vais leur apprendre à comment traiter une femme à ses lesbionnorussianmusculator !

Je commence par She-hulk qui pense être une pirate avec un couteau de l’armée entre les dents. Je balance un coup de mon bec de corbin directement sur la garde de l’arme et le choc est bandant. La nana recule en crachant la lame de combat, quelques dents et du sang en gueulant comme une vache amoureuse. Je rigole et aussitôt je me tourne vers l’autre qui manie une batte de baseball. Elle se croit un cogneur de la ligue la ligue en jupons et me balance son arme vers ma tête. Dommage mon bouclier est là pour bloquer. Ça résonne comme un coup de gong et si je pourrais ressentir de la douleur j’aurai peut-être mal au bras pour peut-être m’empêcher de décharger ma sauce du chef ce soir. Elle se replace en position et je vois une ouverture. Je lève bien haut ma bottine à cap d’acier direct dans la jonction de sa féminité qui doit être bousiller vu le strappon barbelée. La batteuse qui semble avoir des racines de fermière de l’Europe de l’est hurle d’une voix de castra, la puissance de mon coup doit lui avoir émietté le tacos c’est sûr. Comme elle me casse les oreilles, je l’assomme avec le bouclier en acier. KO et je danse un peu comme déconner. Monsieur Lapin attacher à ma ceinture danse avec moi. Mais un choc dans mon dos me fait arrêter. Je ne sens pas que la dernière vient de me planter un couteau à cran d’arrêt direct dans l’omoplate, un peu plus et il perçait mon sac à dos Dora l’Exploratrice. Je me retourne et mon regard d’azur glacier brûle  de haine et de fureur. La punk lève les mains, incrédule que je ne sois pas à terre en train de pleurer ma mère.

Punk- Mec on ne veut pas d’embrouille. Cette salope à foutu la merde…

Je fais mon expression 23 de type en colère et sadique à souhait.

Bruce- Elle devait avoir une foutue bonne raison, je l’appuie… Peace mon frère… En passant dis-moi le nom de ton gang de merde.

L’idiote fait le symbole de la paix avec ses doigts en me le disant. Arnachie. Très peu recherché je trouve. Je le fait aussi avec ma main qui tient mon marteau de guerre. Ensuite je l’envoie chier avec un doigt bien dresser et lui balance un coup au niveau de la tempe pour l’envoyer au sol en convulsion. Celle qui cherche ses dents à le cul bien dressé et j’ai une putain de bonne idée. Je pivote mon bec de corbin dans ma main gantée et je prends un élan. Je fais un arc parfait et le bout pointu pénètre entre les fesses de la pirate édentée au stroppon de rêve. Elle se redresse un instant sur le choc que le pique de métal lui déchire l’élastique brun et tombe dans les pommes en hurlant de souffrance. J’essuie alors mon arme qui semble avoir des résidus de merdes et de sang du cul de ma dernière cible en date. Je l’adore ce marteau de guerre et je dis à voir haute.

Bruce- Rien que de mieux que le Pénétrator pour défoncer les les folles fini…

Je fige en me rappelant de la demoiselle et me retourne en m’excusant comme un gentleman pris en défaut. Une belle femme, en fait une bombe. En plus je ne sais pas qu'il y a encore une salope de vivante et qui s'en vient en douce pour me faire une cravate mexicaine avec son poignard...

@Manon Poe

C’est une de ces journées ou qu’on ferait mieux de ne pas se lever, de rester au chaud dans son lit douillet, le problème c’est que je n’ai pas de lit et donc encore moins de lit douillet. Du coup je dors moins, quand je dors mal, genre "d’un œil" dans un abri provisoire et du coup je tombe dans une embuscade, d’où l’expression du "si j’avais su, j’aurais pas venue". Alors ouais, au début je pensais à une autre expression avec un pieu douillet mais ça exprime bien l’idée aussi.

Donc, les bodybuildées.

Elle font partie du groupe des délinquants reconvertis sauce "Mad Max" de ce monde post apocalyptique, ouais, le croquemitaine, Anarchie et elles me reprochent de ne pas adhérer à leur bande. Mais moi la culture du viol, j’aime pas et je vais pas me maquer régulière avec une des brutes d’Anarchie dans l’espoir de ne pas être tronchée par les autres brutes, ou alors uniquement quand mon proprio a le dos tourné. On voit le genre de la maison. Et mes propres ex potes de mon ancienne bande ont choisi cette voie, fin celles qui ont survécu jusqu’à présent à l’invasion zombie. Mais voilà, ce trio de pétasses n’aime pas les refus, d’où qu’elles me traquaient depuis quelques jours, d’où qu’elles ont même sauvé temporairement mon petit cul pour se venger personnellement. Parce que ouais, avant de me retrouver dans leurs griffes, je suis tombée dans celles des "repeupleurs de l’humanité", rien que ça. Et pour eux, "faire l’amour à une bouche", c’est un préliminaire. Alors il y en a un qui a fini émasculé à ce petit jeu mais c’est une loi de la physique, on ne peut pas mordre quand on a la bouche ouverte au maximum de sa capacité de mâchoire.

Autant dire que j’ai au chaud au bas ventre après avoir avalé un repas des plus amers, ouais.

Les garces d’Anarchie les ont massacrés en profitant de l’effet de surprise. Sauf qu’après m’avoir capturée à leur tour, ces barbares bodybuildées veulent non seulement me marquer, avec quoi vu qu’elles ont oublié leur matos mais me défoncer avec un gode-ceinture qui s’il n’est pas barbelé, ça aussi heureusement elles l’ont oublié, fait deux fois ce que devrait faire la conviction de Robert, le colosse rencontré récemment. C’est dire si c’est trop gros ! Non, je devrais dire, ça aussi c’est trop gros !

"Déconnez pas !"

A la grimace de la garce, je sens que j’aurais pu la fermer, alors que mon jean et mes bas sont déchirés, puis le reste ouais, que deux garces me tiennent les cuisses écartées et que leur meneuse s’installe entre elles en se doutant qu’elle ne va pas "juste me violer" mais me mutiler. Elle se place et j’anticipe déjà la douleur avec son coup de reins à venir quand il se passe une chose inattendue.

Je suis sauvée !

Je suis sauvée par un gus en kilt armuré, ouais ça se dit, armuré d’une drôle de façon, et au parlé bizarre aussi mais il me sauve le bougre ! Et il se bat bien en plus, réglant leur compte à deux d’entre elles mais il ne voit pas qu’il en reste une qui est sur le point de la lui faire à l’envers, sauf qu’elle ne me voit pas non plus !

"L’a la langue bien pendue elle !"

J’ai récupéré mon arme et je lui enfonce le pic dans la bouche, lui explosant la dentition et arrachant justement la langue.

"Très pendue sa langue !"

Ceci fait, je me tourne vers mon sauveur pendant que la garce se noie dans son sang, et je remets en place ce qu’il reste de mes fringues, ajoutant le blouson d’une des pétasses autour de ma taille, avant de penser à dire merci donc au gus qui a risqué son cul pour sauver le mien, ce qui est le minimum et qui ne suffira pas hein, de dire juste merci, quand mes jambes cèdent sous moi et que je sens que je tombe. L’émotion, tout ça. Puis des zombies rappliquent et surnombre et j’espère que mon sauveur va continuer à me sauver en m’aidant à rejoindre un abri ou du moins à fuir tous ces zombies !

Bordel de merde ce que je m’amuse à combattre ces américain gladiators surdimensionner. Et voir la demoiselle au pantalon déchirer me fout dans une rogne pas possible. Jamais je ne tolère le putain de viol et surtout je suis plus habituer qu’on me saute dessus pour profiter des largesses de mon Brucie Jr. Je crois que toutes les tantes sorties du film Mad Max sont ko et au loin j’entends le chant mortuaire des Micheal Jackson. Ça me déconcentre car je me tourne un peu vers les ombres chancelantes et gueule d’un coup.

Bruce- A la place de ce cri à la con, pourquoi vous n’apprenez pas Thriller de Pedobear Jackson… Je vais vous montrer la chorégraphie ce sera chouette.

Je n’ai pas vu que la dernière hyène se relevait pour essayer de me faire une zolie cravate mexicaine. Mais la bandante demoiselle se releva et parla de langue pendue. Habituellement j’aurai répliqué une savoureuse répartie, à savoir que ma langue est très pendue et musclée de manière à produire des états orgasmiques, mais la voir bondir pour arracher la dites langue me faire taire. Elle est excitante la demoiselle et j’adore ça des femmes fortes qui ne craignent pas de se salir les mains. Connaisseur en matière de mort violente et glorifiante, j’applaudis avec politesse. Je m’apprête à lui proposer de foutre le camp en gambadant, mais j’ai une super idée à la con. Rapidement je pivote la tête vers le strappon formant géant et celle qui à le cul défoncer par mon Penetrator. Rapidement je prends le jouet de torture sexuel, crache sur le bout pour être gentil et le plante avec force dans les profondeurs de celle qui voulait abuser ma sauveuse. Un hurlement de pure souffrance retentit et les Micheal Jackson commence à rappliquer un peu plus vite. Je me retourne tout sourire vers la princesse pas si en danger que ça et je la vois décider de faire sa belle aux poings dormants. Je regarde le ciel en soupirant de frustration.

Bruce- Bordel de merde ce n’est pas maintenant qu’on va gambader main dans la main comme des joyeux lurons.

Je la soulève pour l’emmener dans ma planque sécurisée de reconnaissance des culs bénies non loin tout en laissant un buffet de viandes saignantes à mes potes putrides. Ils ont bien le droit d’avoir un repas chaud et en plus c’était des foutu salopes de merde. Donc pas une perte pour l’humanité. En fait le genre de proie que je m’amusais à traquer pour éliminer lors de ma phase super-héros. J’entends les connasses hurler de douleurs pendant qu’elles se font bouffer. Quoi elles devaient bien aimer se faire bouffer avant non? Je monte les marches et je me rends dans le foutu penthouse. Car oui des fois je me sens comme une poule de luxe. Rendu dans mon petit havre de paix, le gus semblait être un écolo de première car il y a des panneaux donc je peux avoir de l’électricité, je couche la demoiselle dans le lit fait pour une partouze. Je lui mets les couvertures et je fais me chercher un cadavre de bouteille de téquila pour biberonner un peu et lui laisser le temps de se réveiller. Quand elle bouge je lui fait un immense sourire.

Bruce- Bien dormi ma sexy défenderesse de ma gorge profonde? Merci d’avoir buter la salope qui voulait me faire une cravate mexicaine. Moi c’est Bruce. Tu as la dalle ou bien soif, car j’ai un peu de tout pour tes goûts.

L pourquoi que les hyènes lui sont tomber dessus va venir plus tard. La elle doit prendre ses repères et avoir un si sexy male devant elle, ça ne doit pas être évident.

Entre le moment où mes jambes ont commencé à flageolé, genre à ne plus vouloir me porter et le moment où mon sauveur est venu me sauver alors des zombies, j’ai tourné de l’œil. Je me la joue dure à cuire mais je reste humaine et après avoir échapper de peu à deux viols collectifs avant de me retrouver quasiment dans le ventre de zombies, je me retrouve à l’ouest. Donc, entre ces deux moments, entre ces deux chutes en deux temps, plusieurs visions elles entrent dans mes rétines de mes yeux et c’est pendant que je suis entre deux eaux et transportée par mon sauveur qu’elles prennent étonnamment le plus de sens. Puis je reviens pleinement à moi dans l’antre de luxe et sûrement de luxure de l’étalon, mais pourquoi que je ne suis pas étonnée ? Parce que je sais maintenant qui c’est et avant qu’il me dise son prénom.

"Moi c’est Manon."

Je me présente en me frottant les yeux, assise sur le plumard de l’étalon escrimeur, du bandit manchot le plus déjanté au moins du siècle. Et là, les visions me reviennent donc, celle de ce mâle alpha s’amusant en affrontant le danger, avec toujours quelque trait d’humour, se riant de la vie et de la mort. Un gus avec un grain de folie, vainqueur d’un tournoi d’escrime médiévale et je fais un gros effort de composition pour ne pas baver d’envie ou lui demander un autographe parce que ça ne le ferait pas. Ce serait un coup à me faire friendzonée même si un coup d’œil à présent lucide de la situation m’indique que le mâle a plutôt envie de me sauter. Donc, je suis son genre autant qu’il est mon genre.

Enfin une bonne nouvelle !

Je dois dire qu’il est à la hauteur de sa réputation en tout cas, il a même fait mine de se planter un couteau dans le dos alors que c’est évidemment un accessoire de cinéma sinon il serait en train de se tordre de douleur. C’est vrai qu’il a une résistance à la douleur incroyable d’après les exploits dont j’ai entendu parler mais la plus grande résistance à la douleur a ses limites et elle serait dépassée.

"Ce serait sage que je me contente de flotte donc sers-moi un truc bien raide, qui arrache, genre qui servirait à dégraisser les moteurs comme il dit l’autre, dans le premier Matrix. Je vais te laisser préparer ça pendant que je vais faire un truc qui va pas être du luxe."

Dis-je en souriant avec malice à mon sauveur, puis j’ajoute avant de commencer à me désaper.

"Mais avant, tu me dis merci mais comment tu m’as sauvée deux fois et tu m’as carrément vengée de ces garces. Rofl, tout ça parce que je veux pas rejoindre leur gang de violeurs, et de violeuses. L’idéal aurait été de lui enfoncer un gros cactus dans le fondement mais je suis déjà bien vengée, ouais. Merci. Je te le dis même si c’est même pas le minimum syndical mais c’toujours mieux de le dire que de pas le dire en prétextant que c’est pas suffisant de dire merci."

J’avise un paravent et termine de m’y désaper, non par pudeur mais pour aguicher le mâle au kilt, et surtout j’avise des fringues diverses et variées dans le dressing et une idée me vient, une fantaisie qui devrait plaire à mon hôte.

"Je vais te montrer ma gratitude par des actes. Enfile ça, couche-toi dans les draps en chien de fusil et prends un air malade, tu vas comprendre."

Dis-je en lui envoyant un bonnet de nuit et un étui à lunettes contenant de vieilles lunettes rondes sans verre mais ça suffira. J’ai précisé la position pour lui permettre de garder son accessoire de fantaisie sur lui, à savoir le faux couteau. Bah, l’égout et les douleurs ! Pour ma part, je me change et je le trouve en position quand je le rejoins vêtue un peu comme … Le petit chaperon rouge. Sa version sado maso mais ça passe ! Je me présente ainsi devant Bruce qui joue évidemment pour sa part le rôle du grand méchant loup déguisé en mère grand et je fais mine de toquer à la porte avant de lui dire ceci.

"Hey mère grand. C’ta ptite fille, le Ptit Chaperon rouge, qui t’apporte un big mac et des frites d’la part de ma daronne."

C’est une adaptation, on va dire hein. Ceci dit, je lui fais un striptease innocent, et c’pas facile de faire ça innocemment, avant de me glisser dans les draps tout près de "mère grand". Et dire que c’est un conte pour enfants ! Puis, étonnée qu’elle ne ressemble pas vraiment à sa mère grand, le petit chaperon rouge que je suis, que je lui dis ceci.

"Woa mère grand, que tu as de grandes jambes !"

Je compte évidemment ajouter une réplique en terminant par ce qu’il a sous le kilt !

Manon. C’est un beau petit nom facile à me souvenir et surtout me connaissant je risque de lui trouver un surnom sexy et badass. Car oui elle est foutrement bien roulée et en plus elle à la petite  vingtaine donc je suis légale avec mes propres règles. Car les mineures, autant les demoiselles que les gros barbus des mines, c’est un non catégorique. Je rigole en la saluant de la tête avec une petite révérence avec mon kilt. Quand elle me déclare un truc à boire, du genre décapant à peinture buvable, je fais un de ces sourires grandioses et charmeurs à deux balles dont j’ai le secret.

Bruce- Alors tu me plais ma sexy amie! Tu bois solide, tu connais des films cultes et tu sais en foutre sur la gueule comme personne! Tu es une perle car d’habitude je sors des répliques et on me regarde comme si j’ai une tête qui me sort du cul. Je te fais ça!

Je fais mine de me lever mais elle me devance en se levant en roulant des hanches comme une féline. Je reste surpris, de manière agréable. Je sens que mon petit copain moustachu et au cou de boa à un œil va avoir de l’action ou sinon je le soulage en faisant du Dieu seul me voit. Elle est une malice et une sensualité qui m’allume. Elle commence à se dévêtir et là je zieute avec aucune gêne et surtout une leur de connaisseur  dans mes yeux d’azur renversant qui déclenche des inondations dans les dentelles. Je lève un index en rigolant pour rectifier le tir.

Bruce- Tu as la même mentalité que moi ma belle. Consentant pour la lutte sexy et les connards de violeurs au bêcher. Celle qui voulait te faire le coup du strap-on barbelé, ben elle l’a eu dans le cul et je l’ai entrer très profond à coup de Penetrator. Tu as eu plus de vengeance et si tu veux on les traque ces salopards je suis partant.

Je m’arrête alors de parler pour voir ses mouvements agonisants et les jeux d’ombres tellement érotique que mon kilt ressemble à un chapiteau du vice. Je me demande alors si elle va voir les accessoires de fétiche et olé-olé que les anciens occupants avaient sous la main. J’ai déjà fantasmer ma perle d’orient dans quelques tenues. Alors je reçois un sac près de moi et je trépigne d’excitation aux mots de ma nouvelle copine. J’ouvre le foutue sac et je rigole comme un fou en voyant la perruque et les lunettes antiques. Je sens que je vais devenir le grand méchant loup. Ça tombe bien j’ai envie de croquer le fruit défendu car maintenant je sais que mon chien est mort avec ma perle d’orient, Brucie jr est libre comme Dobby qui vient d’avoir sa chaussette. Je me place dans une position de grand malade, sur le flanc et recroquevillé comme sa demande. Quand elle apparaît en petite chapron rouge cochonne et dominatrice, je pourrais ressembler à mon idole Jim Carrey dans le Mask si je me retenait pas un instant. Je rentre dans mon foutue personnage en ayant l’air malade et surtout je ne parle pas que l’excroissance immense qui vient de naître encore plus.

Bruce- Pénètre mon enfant. Tu pourrais me relever de ma tombe et me rajeunir juste avec ces mets exquis que tu m’emmène. Tire la chevillette et l’orgasme hurlera.

Elle m’allume comme personne ne l’a fait avec sa petite séance de strip-tease, laissant le mystère et l’excitation à son comble en ne gardant qu’une lingerie provocante. Elle vient me rejoindre dans le lit qui va devenir un théâtre de luxure et de gémissements. Je rigole doucement comme une vieille dame et je pousse le jeu en ayant l’air de pas avoir de dents.

Bruce- Tu vas voir mon enfant que j’ai des jambes assez longues et même une qui augmente encore plus...

J’avance une main tremblante.

Bruce- Tu sais à mon age j’ai le parkinson. Donc je peux faire trop de vibration... Je peux te toucher mon enfant pour savoir si tu n’es pas un rêve?

Je commence à caresser de mes mains expertes les courbes dangereusement sensuelles de ma partenaire qui ne sait pas qu’il vient de libérer le Kraken sexuel, la bête à orgasmes si multiples que demain elle sera clouer au lit complètement en nage. Mon toucher est tendre et excitant, sexy et explorateur pour déclencher les zones érogènes si sensibles.

Bruce- Je peux goûter un peu mon enfant ou bien tu veux me dire autre choses?

Je dois continuer le jeu pour notre plus grand plaisir!

Je lui plais, il me plaît puis ouais, je confirme, plus tard la gnôle. Je suis avec un beau gosse qu’a un grain de folie, de la fantaisie à revendre et qui s’il vit une journée d’extase n’aura pas peur de ne pas assurer pour un deuxième tour, puis un troisième et plus si affinités et je sens qu’on en a un max, des affinités ! Puis dans mon personnage, je fais mine de ne pas voir tout de suite le mat central de son chapiteau formé par le kilt et ce qui est assurément "sa troisième jambe" et ce n’est pas facile ! Bon, qu’est-ce que je suis censée dire ensuite … Pas facile de me souvenir du conte avec la toucher de Bruce qui commence à me mettre dans une situation de "dégâts des eaux" niveau entrejambes mais aussi à me durcir les zones érogènes niveau poitrine. Et évidemment j’adore ça ! Et oui, je me souviens, même si j'essaie de ne pas me marrer parce que Bruce adapte lui aussi son rôle et que c'est désopilant !

"Oh mère grand, comment que tu as de grandes oreilles."

C’est pour mieux me capter ouais. Ce disant, je m’assois à califourchon sur le mâle et donc sur sa virilité fièrement dressée. Je sens que je vais la sentir passer !

"Oh mère grand, comment que tu as de grands yeux."

Ouais, c’pour mieux me mater. Je dis ça en levant le kilt et en sentant ainsi directement la grande et grosse conviction "du grand méchant loup" avec mon intimité vu que je ne porte rien sous ma jupette de coquine chaperon rouge. Et c’est pile ce qu’il me fallait, avec bien sur les sens embrasés ! Mais avec lui, ça n’est pas dur de mouiller, comme on dirait dans la marine.

"Oh mère grand, comme tu as … Comme tu as ..."

Et là, plongeant mon regard empli de désir dans le sien, je me saisis de sa conviction, je la place et lentement, très lentement, nous ne faisons plus qu’un, et je me cambre en poussant un gémissement de pur plaisir parce que je la sens passer en effet "sa troisième jambe". Et ça, ce n’est que le prélude, l’amorce du commencement !

Oulà là c’est du sexy et du sérieux au mètre carré. Manon semble plus que répondre à mes expertes et je sens le déluge déjà commencer. Sa poitrine se durcit au point tel que je crois pouvoir couper du verre avec ses sucettes charnelles. Déjà elle commence à être en nage et je veux continuer à jouer la scène juste à la dégustation suprême. Elle me balance alors la réplique des grandes oreilles. Je lui fais un sourire salace et gourmand à souhait avec de mettre une intonation sexy et provocante dans ma voix.

Bruce- C’est pour mieux t’entendre gémir de plaisir mon enfant…

Elle s’installe alors à califourchon sur mes cuisses et automatiquement je me redresse pour enlever mon sac à dos. Je lui fais un clin d’œil à la limite du pervers alors que je dépose mes paumes sur ses haches pour la maintenir en place. Mais je vois alors le manche du cran d’arrêt qui dépasse de mon dos. Il a été arrêter partiellement par mon super sac à dos Dora et c’est mineur car d’un geste vif je l’arrête. Je passe mes doigts et pas de sang. Déjà colmater. Super pas besoin de soin tout de suite et je n’ai pas la tête à ça. Ma tête va allez sous peu se blottir contre la poitrine du petit chaperon rouge et ma bouche va devenir grande à un point qu’elle ne se doute pas. D’une détente puissante j’envoie la lame se ficher dans le mur. Elle à vu ou non, je m’en tape. Car déjà la réplique des yeux se fait entendre. Je réponds alors de ma voix plus si vacillante que ça.

Bruce- C’est pour mieux te mater alors que tu vas trembler d’orgasme mon enfant!

Car oui elle va connaître le supplice du Brucie Jr et de mon endurance de cinglé pour baiser toute la nuit. La vicieuse remonte mon kilt et découvre mon général moustachu qui est au garde-à-vous. Volontaire pour allez prendre sa tranchée gorgée de plaisir et l’emmener à la reddition orgasmique. Coquin j’ondule du bassin pour lui taper le nombril avec mon membre. Alors nos regards se croisent et dans mes iris d’azur renversant elle peut lire que cette soirée sera sous le signe du désir, de la passion, du torride et de envoûtement. On a besoin les deux de s’évader de cette foutue horreur et de ce chaos, même si j’en suis des fois la cause avec mon excentricité de licorne flamboyante. Elle saisit alors Brucie Jr avec une main de maître et elle le guide vers sa caverne des luxures gorgée par les flots de desiderata. Elle se cambre et je la rejoint pour lui dévorer sa poitrine et embrasser son cou de cygne.

Bruce- Oui j’ai un grand appétit et on va se bouffer tout crue mon enfant. Tu vas connaître une nuit infernale et je suis persuader que tu vas en redemander.

Mes mains l’incendient, brûlent ses courbes sexuelles à souhait alors que mes lippes trouvent sa bouche pour échanger un de ces baisers longs et langoureux dont j’ai le secret. J’ai des années d’expériences derrière Brucie Jr et habituellement j’étais des plus demander, aucune difficulté à me trouver une partenaire de baise intense et extravagance. De quoi lui annoncer les couleurs de notre nuit de débauche. Quand le manque d’air nous fait éloigner, je la regarde avec malice.

Bruce- Bon on commence par le cowboy, ensuite le doggy style et la brouette thaïlandaise? Si tu as envie d’un truc salace, je suis ton homme ma torride amie!

Je lui dévore la poitrine, titille ses mamelons avec des coups de langues aphrodisiaque. Mes mains sont sur ses hanches, caressant en rythmes ses mouvements de bassin tout en étirant les mouvements de mes paumes pour allumer le frisson d’orgasmes en massant sa postière et ses cuisses. Tout ça va me faire perdre mes lunettes et mon bonnet mais je m'en fous!

Bruce joue bien le rôle du grand méchant loup déguisé en mère grand, surtout parce qu’il l’adapte tout comme moi j’ai adapté mon rôle de petit chaperon rouge. Il me fait marrer et pas dans le sens moquerie, pas dans le sens "qu’il est con" mais dans le sens qu’il est marrant, qu’il a ce petit grain de folie et sans doute plus encore et qu’il a autant envie que moi d’avoir la confirmation qu’il est toujours en vie et quoi de mieux que de s’envoyer en l’air pour avoir la confirmation qu’on est toujours en vie ? Pas chercher, mieux y a pas. Alors je ne rectifie pas "nuit infernale" en "nuit d’enfer" parce que c’était certainement l’idée de mon amant parce que je suis ni prof ni coiffeuse, pour le coté "couper les tifs en quatre". Je ne confirme pas non plus que je vais en redemander parce que c’est le cas tout comme je ne dirai pas que je n’ai pas l’habitude de sauter comme ça sur la première queue parce que je n’ai pas à me justifier et même si c’est la deuxième mais j’élude cette pensée qui n’est pas propice à de la baise torride.

On baise.

Première baise, l’équitation donc. Bruce a ses deux bras mais c'est comme s’il en avait au moins une dizaine, un peu comme au combat même si là on est dans un autre genre de corps à corps. On se retrouve à poil et on s’en fout, le temps de le faire revenir en moi, d’accélérer la cadence de mes coups de reins, alternant avec une exquise lenteur puis c’est le galop final et je viens de toute évidence au moins une dizaine de seconde avant lui avant de me retirer et d’avoir sa viande en bouche, me disant qu’il préfère sûrement que j’avale sa descendance potentielle plutôt que de prendre le risque de me féconder. Puis on va peut-être boire un peu le fameux cocktail d’alcool avant qu’il se répande en moi par la suite, probablement avec une nouvelle position et des costumes dont j’en ai repéré deux de costumes qui devraient lui plaire à lui aussi !

La chevauchée est au début toute douce, comme pour s’apprendre à se connaître et surtout s’apprivoiser. Car c’est foutrement important que les deux ont prennent notre pied. Et être un putain de unijambiste c’est la base selon moi. Je sais j’ai une main dans un pansement, une fichu boite de conserve à réussi à me blesser alors que les Michael Jackson n’ont même pas effleuré de me mordiller tendrement le gras presque inexistant de mon cul ferme et sexy à souhait. Donc je suis un peu handicapé de la paume pour mes caresses ardentes, mais je me débrouille et on n’a pas droit de porter le T-Shirt de donneurs d’orgasmes certifier si on n’est même pas capable de faire jouir les demoiselles et inonder leurs dentelles de leurs strings. Donc Manon fait des mouvements de plus en plus merveilleux sur ma virilité dressé comme un piquet pour empaler de plaisir les femmes. Je lui dévore la poitrine, augmentant notre désir commun en jouant de manière aussi lubrique qu’habile de ma langue. Tout durcir aussi bien chez elle que chez moi et c’est le nirvana sexuel. Le galop devient alors une chevauchée endiabler et on maintient la cadence avec fougue et surtout la flamboyance de la licorne qui me colle au train. En fait on jouit presque en symbiose, elle quelques instants avant moi et je me dis que je devrais sortir mon coquin de son tiroir histoire de ne pas y mettre un polichinelle. Mais ma gourmande favorite du moment semble vouloir profiter de mes vitamines B et décide d’enfourner dans sa bouche mon copain qui doit être au parais. Je ne peux pas rater une si belle invitation et je décharge ma sauce secrète qu’elle semble vouloir juste à la dernière goutte. Quand elle se redresse je rigole et lui caressant la joue avec douceur et surtout de manière explicite.

Bruce- Round un fini! On prendre un peu d’alcool et à mon tour de te dévorer!

Je me redresse toujours aussi bander, Brucie n’a besoin qu’un instant de repos pour retourner en mode pervers absolue, pour aller chercher le plateau d’alcool. Comme un foutue serveur de rosbif qui se croit dans la monarchie britannique, je lui fais le service et pour ma part je bois une rasade avant de replonger dessus de manière gourmande. Tout en lui titillant le cou et la poitrine tout en causant histoire de la connaître.

Bruce- Voilà un bout que je n’ai pas jouer de cette manière… Tu m’as fais revivre… Et toi tu as un désir en ce moment? Tu peux y songer alors que je te montre que j’ai la langue musclée et elle n’est pas en bois!

Et oui je me dirige vers sa féminité pour embraser ses lèvres et les exister follement. Mon appendice buccal est presque aussi adroit que mon Brucie Jr qui doit trépigner d’impatience. À genoux devant elle, je la titille et mets le feu aux poudres pour le second round. Comme une promesse silencieuse, je l’emmène vers un second orgasme qui n’est qu’une marche de plus vers le nirvana orgasmique que j’ai construit avec toutes mes performances…

En équitation, on commence au trot puis on passe au galop. Et moi j’ajoute concernant Bruce qu’on alterne les deux et si je me souviens qu’en effet il a une prothèse à la place d’une jambe, ben ça n’en diminue pas l’intensité de notre baise et ce n’est clairement que le premier round. Ou comment passer de l’équitation à la boxe genre corps à corps endiablé ! Il me sert alors de l’alcool et j’ai la confirmation qu’il a doublement bon goût. D’abord en matière d’alcool, et puis sa chair a bon goût, vu que je bois aussi ma dose sur sa chair.

"Ouais, plein de rounds, tout pleins de rounds, mais avant que tu me dévores, je te bois."

Lui dis-je avec un clin d’œil. Alors je lui dirais bien que c’est pas mon genre de sauter comme ça sur un gus mais d’abord je sens et je le ressens comme ça qu’il ne me juge pas. Avec son grain de folie il est ravi de m’avoir rencontrée et avec le mien aussi de grain de folie je suis ravie de l’avoir rencontré et du coup avec notre grain de folie on est tous les deux ravis de cette rencontre. Du coup on est raviolis. Ravis au lit. C’est mieux que je la garde pour moi celle là !

"Tu as bon goût."

Ben c’est toujours mieux que "raviolis, ravis au lit". Je le bois donc quand il me dit que je l’ai fait revivre, ce qui me fait plaisir et pas qu’un peu et puis j’aime la façon dont il m’embrasse le cou, les seins.

"Pareil mon grand loup, mon étalon, mon super héros."

Non, je n’ai pas spoilé, j’ai juste donné un aperçu de notre prochain déguisement et ça n’est pas pareil. Ca n’est pas pareil du tout ! Puis il me demande quel est mon désir en ce moment donc surement maintenant et puis le voilà qui se la joue Castor de "Volte-face" avec sa passion des abricots mais en certainement beaucoup plus doué, c’est dire !

"Des désirs, tu m’en as donné plein, tout plein de désirs et … Houla, ça c’est de la transmission de pensée !"

Le "houla" marque le moment où il me fait comprendre clairement qu’il est en effet particulièrement doué en cunnilingus parce que ce désir était monté en tête de mes désirs éveillés par ses soins. Puis je ne dis plus rien, plus rien d’articulé en tout cas ! Je me cambre de plus en plus en caressant sa chevelure sous ses assauts intimes et effectivement il n’a pas la langue de bois et c’est tant mieux sinon il me filerait des copeaux. Ouais, celle là aussi, je la garde pour moi. En tout cas, je prends mon pieds et je ne tarde pas à jouir mais pas trop promptement non plus ouais et puis ce genre d’orgasme là, c’est un prélude à un orgasme beaucoup plus intense et avec le mâle cette fois ! Je me demande quelle position il fait le plus envie pour notre deuxième round, ou mêmes quelles positions lui feraient envie et donc dans quel ordre ces positions mais à la façon dont on se dévore du regard, j'envisage qu’on serait d'accord et même raccords pour une missionnaire des plus intenses avant d'enchaîner d'autres positions !

Jackpot. À la voir se cambrer et passer ses doigts dans ma tignasse du roi de l’orgasme illimitée, je crois que je viens de lui toucher une corde sensible des plus aphrodisiaque. Ma langue est vicieuse, inquisitrice et performante comme pas une et je caresse de mes mains ardentes les cuisses de ma sexy compagne pour la propulser dans les astres de la perversion. Je m’amuse comme un cinglé et c’est ce q’il me fallait. Nous fallait en fais car Manon semble vouloir se prouver qu’elle est vivante et elle à la même énergie. La même alchimie lubrique et fabuleuse. Bordel ça doit faire des années que je n’ai pas rencontrer mon égal au plumard. Habituellement mes conquêtes baissent pavillon à la première ou au second round. Ma trop canon et sensuelle amie semble vouloir essayer de m’épuiser. Je vais sortir tout mon arsenal pour nous épuiser et que demain on démarre un autre combat lubrique à souhait. Une petite arrivée des eaux chaudes et salés accompagner par des gémissements d’un travail bien accompli me fait relever la tête avec un sourire de gagnant de la cagnotte du plus grand casino. Je lui fais un clin d’oeil complice en lui disant d’une voix troublant et raque foutrement sexy.

Bruce- J’adore le goût de ta peau ma torride amie. Tu es une excellente cuvée je te le dis. Te voilà un peu en nage... Je reviens dans un instant histoire de fouiller dans mon sac à dos pour une foutue dose de sucre... Car je crois qu’on est parti pour la nuit.

En me relevant je fais un chemin langoureux de baisers sensuelles et de morsures aguichantes. J’attaque son nombril, sa poitrine et son cou sans relâche. Je fini par un de ces baisers torrides et fougues qui nous allume comme du petit bois. En fait je n’ai pas embrasser des femmes comme ça à part ma Zayna. Passion ardente. Comme de raison mon pote Brucie Jr à la tête bien lever et souhaite reprendre sa place de choix bien au chaud.

Bruce- Prend un peu de force je reviens dans une minute...

Je lui mets une couverture dessus pour garder sa chaleur et je farfouille dans mon sac` dos trop classe de Dora l’Exploratrice. Je sors des kinders surprises et des ferrero rocher.

Bruce- Tu veux mes boules dorés ou bien la surprise?

Je lui balance ce qu’elle veut et lui redonne une rasade d’alcool.

Bruce- Ça fait foutrement longtemps que je gambade dans le coin, tuant ces Michael Jackson et des connards qui pensent pouvoir se tremper le biscuits dans des sources qui ne veulent pas. Mais j’adore ta fougue et ton arme. C’est tellement bien penser. Les gens manquent d’imagination et vont tous dans les foutues katana... Une lame va casser mille fois avant nos armes trop mortelles.

Je m’approche alors de ma démarche déjanter de grand méchant loup sexy et vorace.

Bruce- Prête pour le troisième round? J’ai envie de la base de la baise, le missionnaire pour qu’on se regarde et s’embrasse... Ensuite on passe à un de tes désirs...

Je ne savais pas qu’on était connecter sur le point de vue du désir . J’avais garder mon chocolat dans mes mains et j’en passe un peu sur mon torse et sur sa poitrine pour se faire un petit gueuleton sympa et érotique à souhait alors que je m’étend sur Manon pour accomplir le troisième acte.

Alors ouais, le moins que je puisse dire c’est qu’on ignore ce que l’avenir il nous réserve, si même qu’on a un avenir alors autant profiter du moment présent, c’est clair et c’est même net, c’est clair et net. Puis j’aime la planque de Bruce, c’est l’un des rares endroits ou je me sens totalement "secure" depuis le début de la fin pour ainsi dire, pas la fin du début ce qui n’aurait aucun sens. Je rigole quand mon amant vante le bon goût de ma peau et que je suis en nage.

"Toi aussi tu as bon goût et je crois bien qu’on va encore plus se donner dans pas longtemps."

A la façon dont on se roule des pelles, ça se voit qu’on est excités comme des zombies à une convention vegan. Les vegans, ces "humains bio" que je pourrais bouffer s’il ne restait que ça à bouffer ! Puis Bruce il me conseille de reprendre des forces moi aussi et il a pas tort, du coup il a raison et je dois avoir les yeux qui brillent quand je vois ce qu’il déballe.

"Les deux mon commandant ! On partage ouais, toi aussi tu ferais mieux de reprendre des forces limites la potion magique ça le ferait."

Ouais, j’ai la culture télé, tout ça. Puis je rigole en entendant Bruce parler des "Michael Jackson".

"Ouais, n’est des armes fatales toi et moi même si on a plus d’affinités avec les lames, puis ça me fait marrer la façon dont tu les désignes."

Je parle évidemment de "Michael Jackson" en sachant pourquoi il y fait allusion et pour lui signifier que j’ai capté l’allusion culturelle, j’improvise quelques mouvements zombiques utilisés par le chanteur dans son clip "thriller", intemporel et indémodable, c'est des ébauches pour ne pas risquer de lui mettre un coup de coude dans le pif et par conséquent il n'y a pas d'incident en ce sens !

"'Cause this is thriller, thriller night
'Cause I can thrill you more than any ghoul would ever dare try
Thriller (ooh-ooh), thriller night
So let me hold you tight and share a
Killer, thriller, killer, thriller here tonight."

Et je conclus cette improvisation en faisant ZE french kiss au beau gosse et en ondulant du bassin sur son bas ventre pour l’exciter encore plus et j’opine du chef quand il me propose d’alterner les plaisirs, genre sa position/situation puis la même, genre son envie puis la mienne puisque la chevauchée fantastique c’était avant tout mon envie.

"Ouais, viens me labourer !"

Pour avoir de la conviction, Bruce en a, une grosse conviction, et grande aussi même si c’est la grosseur qui compte davantage, avoir les deux c’est évidemment le top. Et là, ce n’est tout de même heureusement pas trop gros mais je m’attends quand même à crier de plaisir et ça ne manque pas quand après avoir savouré une douceur surprise sur ma chair, il s’installe, il la place, sa conviction à l’orée de mon désir et je me cambre en poussant un cri de pur contentement ouais, pas contentitude même si ce mot est plus rigolo. Nous ne faisons à peine plus qu’un que c’est déjà le pied total et je passe mes jambes autour de sa taille et mes mains dans son dos, plongeant mon regard empli de désir pour l’inviter à me labourer ouais !

Bruce- Ma potion magique c’est toi et on va faire de la lutte coquine toute la nuit. Aussi longtemps que tu es capable!

Elle est trop parfaite cette nana! Elle saisit tout ce que je lui dis, comprenant mes conneries et ayant ce grain de folie qui m’allume totalement. Voir une sexy et torride femme fatale avec une mini jupe du petit Chaperon rouge en train de faire une dance de thriller me chatouille le Brucie Jr. Ce coquin salut la prestation en soulevant la tête et suivant les mouvement de ma partenaire de Kama Sutra en se balançant de gauche à droite. J’applaudis et je répond à son baiser avec une fougue et une passion qui en dit vachement long sur mon exaltation. Mes mains incendie son arrière-train alors qu’elle fait redresser ma fierté masculine sur son bassin. Je me sens revivre et elle est ma cure de jouissance et de jouvence. Quand elle me parle de la labourer, je m’empresse de lui obéir avec un sourire aussi lubrique que charmeur.

Bruce- J’ai jamais eu une beauté  aussi jouissante à labourer et faire jouir d’une multiple façon! Tu étais ou dans le passé ma torride amie?

Je prend position, Brucie Jr comme un canon d’artillerie charger juste à la gueule. Je pénètre ses tranchées ruisselantes de plaisir et elle fais un étau de ses jambes autour de mes reins. Ses mains dans mon dos m’impose la cadance et je suis un foutu cheval sauvage qui ne demande qu’à être dressé par ma passion du moment.  Nos regards sont brûlants de passion et de désir sauvage alors que je laisse Brucie Jr l’emmener encore et toujours plus loin vers le nirvana organisme. On ne fait qu’un, baisant de manière tantôt bestial, tantôt douce. En plein ébat je me relève tout en la gardant contre moi pour ensuite l’endosser au mur et continuer mes coups de reins avec entrain. Mes lèvres sont toujours en mouvements, embrassant son cou et savourant ses lèvres. On a une endurance formidable, la mienne étant la pratique de plusieurs années et elle la jeunesse. Je la dévore comme un zombie, mais seulement pour satisfaire mon appétit lubrique. Presque une demi-heure de baise non stop on joui presque en symbiose, j’ai pu enlever mon copain Brucie avant qu’il se transforme en crache yogourt violet. Mon putain de crédo c’est de faire jouir mes partenaires et ne pas être un foutu égoïste se préoccupant de mon propre désir. Je l’étend alors sur le lit après une long et langoureux baiser.

Bruce- Round 3 fini... On est proche du finisih him ou bien tu es partante après du repos pour le quatrième?

Je m’assis près d’elle après lui avoir tendu sa boisson, alcool ou eau, et je lui fait un sourire ravageur alors que mes yeux d’azur renversant dévorent son corps sensuelle.

Bruce- Manon tu es trop parfaite pour la licorne sexy que je suis. Tu as un groupe ou tu es seule? Car moi je passe un peu de temps chez les culs bénis... Alors tu as une envie?

Comme on dit, en tout cas comme je dis, la perfection elle est pas de ce monde mais je trouve que Bruce et moi on est raccords, déjà au niveau sexe et c’est quelque chose parce que depuis Las Vegas, c’était le désert sans mauvais jeu de mots, sans rire en somme parce que le désert, Las Vegas … Fin ouais, on s’envoie en l’air, Bruce et moi et il a l’art et la manière pour me faire grimper aux rideaux. Façon de parler et je préfère le dévorer du regard et de mes baisers quand il me demande où j’étais avant qu’on se rencontre parce que carpe diem et parce que sans me souvenir du mot littéraire, je sais que c’est le genre de question qui ne demande pas de réponse parce qu’il n’y en a pas vraiment, de réponse. Puis on reprend mon souffle et je rigole en l’entendant me parler ainsi de lui mais avant, les rounds. Quand on aime, on ne compte pas mais je ne veux pas briser son délire de corps à corps, de combat de boxe à notre façon surtout que je crois bien que c’moi qui l’ai initié, ce délire ! Puis c’est bien qu’il ne vienne pas en moi, au moins pour le moment même si j’aurais préféré avaler son sperme.

"Tu pourras venir dans ma bouche les prochaines fois et ouais, je suis prête pour me faire des dizaines de rounds par jour avec toi ma licorne. Ca ta va bien, t’es fantastique et t’as une sacrée corne."

Que je dis en "le prenant par les sentiments".

"Et moi je pourrais être fille de marin, je tiens la barre à deux mains."

Il me faudrait presque trois mains pour bien saisir la conviction de Bruce mais je crois bien que j’assure déjà à deux mains, à son air ravi. Puis pour sa question de groupe.

"J’étais dans une bande, on vivait du tourisme, sans rire je connais Paris comme ma poche et on vendait de l’herbe mais de la bonne, pas de la trafiquée mais depuis l’invasion des Michael Jackson, ma bande s’est tournée peu à peu vers ses brutes, ses violeurs et violeuses d’Anarchie et tu as vu ce que ça a donné quand j’ai refusé de les rejoindre. Du coup je suis sans groupe mais un pote, Robert, doit me présenter son groupe la semaine prochaine et ouais, je connais les grenouilles de bénitiers réfugiés à Notre Dame."

Ca m’étonnerait que le groupe dont Robert fait partie soit en mauvais termes avec celui des culs bénis comme dit Bruce mais je sens que Bruce est prêt pour un autre round.

"Une envie ? J’ai pleine d’envies. Tiens, en vla une, d’envie, enfile ça !"

J’ai repéré quelques costumes dans le dressing de ce penthouse, j’en file une à Bruce, j’en enfile une, je me "coiffe façon pétard", ce qui donne ça :

Spoiler:

Et lui ça donne ça :

Spoiler:

Alors ouais, j’ai plus de tissus que lui sauf qu’il va m’effeuiller à la vitesse grand V, le connaissant mais roleplay, je "joue" mon rôle de super héroïne délurée.

"Oooh, "Piscine de la Mort", maintenant qu’on a sauvé le monde, la galaxie et le périph', mais qu’est-ce qu’on va pouvoir bien faire pour s’occuper ?"

Dis-je en me trémoussant, en faisant la timide, ouais, la mijaurée pour mieux l’exciter !

Bordel de merde que je suis carrément envoûter par Manon. Elle et moi on partage le goût torride du sexe, la folie amusante et là elle me pousse à m’inventer encore plus pour le jeu. Et j’adore ça. Je lui fait un clin d’oeil complice et surtout ravageur quand elle me dit de lui gicler dans la bouche à l’avenir.

Bruce- Tu es carnivore ma belle et j’adore ça! Manger tout ces petits Bruce sans défense! Tu adore la vitamine B! Et je te retourne le compliment ma torride amie. Tu es bandante et si aguichante que je me vois mal me passer de nos rounds. En plus tu as un corps de rêve et une tête sur les épaules. Tout pour me plaire!

Elle me cause de ce groupe de nullos d’anarchie et compagnie et je hoche la tête en souriant comme un con.

Bruce- Écoute perso moi ce groupe me fait chier. Et ce qu’ils ont oser de faire me répugne. Donc je vais les chasser en ton nom et les toucher en profondeur. Tu me cause de Robert. J’en connais un. Un putain de colosse qui défonce des portes blindés comme Brucie jr adore ta chaleur! Je ne le ferais pas chier, mais il me semble foutrement sympa. Et si tu veux de la compagnie je te suis. Sinon viens chez les culs bénies histoire qu’on se fait un Quasimodo et Esméralda torride en s’en faire sonner les cloches ou sinon je pique les habits du prêtre pour que tu me défroque à volonté.

Alors je la vois joueuse et me lance un costume. Moi combler ses désirs c’est de source. Elle est déguiser en raleuse X-Men et moi en sexy Deadpool! Mon perso favori. Elle fait une petite mise en bouche et je me décide alors de l’impressionner avant de passer aux corps-à-corps. Je me propulse derrière et fais semblant de parler avec une voix imaginaire. Elle se trémousse et ça me chatouille déjà le biscuit et il n’y a pas que mes katanas qui sont long et dur.

Bruce- Oui ma belle et râleuse amie. Je pourrais te raconter l’histoire d’un homme qui devrait être un héros. Il ne ressent pas le mal et adore la baston! Je pourrais te faire le chant de ses exploits et je suis sur que tu aimerais le rencontrer de manière charnel! Avant de commencer tu as utiliser de la vitamine B pour mettre ta coiffure comme ça?

Je fais une révérence et je prend la pause de l’imaginaire théâtre en agitant mes doigts. Je fais semblant d’être un barman qui fait des drinks et je lui en fais un avec parasol inclus et une bonne bière trouver dans le petit frigo. Je démarre mon cellulaire pour faire une musique d’ambiance. Je me sens d’humeur coquine et surtout extravagante.  Je prends une grosse voix intimidante qui me rappelle un putain d’irlandais de ma connaissance. Le rythme de la musique de Gaston, le film de la Belle et la Bête que ma plus jeune vénérait, me revient en mémoire et je me décide à improviser un spectacle pour faire rire la belle en latex.

Bruce- Dieu que tu répugne
En te voyant Bruce
En vérité tu es aussi inutile
Que mes couilles cachées par le bar
Tu viens de me gâcher la vue
De cette sexy beauté
Il n’y a pas un homme dans cette ville qui n’est pas révulsé par toi
Et tous souhaite que tu crève
Tu as prouvé à tous que tu es dur à tuer
Mais chacun va essayeeeeeeer!

D’une traction souple je me propulse de l’autre côté du bar, déchirant le slip trop ajuster pour que mon marteau piqueur perso fait l’hélicoqueue. Si un jour je perds mon bec de corbin dans un combat, promis je matraque à mort le type avec ma queue. Mourir battu à mort par un phallus ça doit être la honte suprême. Je m’appuie alors nonchalant se le comptoir avec mon masque mais le brucie sauvage libre. Je prends ma voix de ténor et commence à chanter. Je fais les mimiques et surtout je rigole comme un charmeur à deux balles.

Bruce- Personnnnnnne
Ne gifle comme Bruce
Personne n’est rapide comme Bruce
Personne ne te frappe directement dans les parties comme Bruce
Il n’y a aucun homme dans cette ville qui m’arrive à la hauteur de mon kilt
Vous pouvez demander à tout le monde car c’est vraiiiiii!

Je prends la canette de bière et le drink avec parasol dans chaque main et je gambade joyeusement pour déposer le tout près de la table où se trouve la coquette demoiselle bandante. Je reprends le chant en faisant une chorégraphie loufoque et déjantée.

Bruce- Personnne
Ne s’amuse comme Bruce
Vide ses armes comme Bruce
Personne ne tue pas tout ce qui fait chier comme Bruce
Mon tableau de pourritures buter est intimidannnnnt

Alors je prends la posture d’un type menaçant et reprend la grosse voix du sergent Murphy.

Bruce- Il faut tuer ce Type
Qu’on lui tire dans les couilles
Qu’on lui tranche la gorge
Le premier qui bute Bruce
Gagne le grand prix

Je me place tout près de la belle et prend un regard faussement effrayé tout en essayant de zieuter dans son décolleté. Tiens sournoisement je descend la fermeture éclair juste à son nombril histoire d’être motiver à mort.

Bruce-Si une alliée sexy voudrait bien m’aider
À me motiver
Ce sera très apprécier

J’imite un peu le ton de la sexy Manon en me plaçant tout près.

Bruce- Tu es chanceux je n’étais pas loin

Je reprends ma voix en lui zieutant le derrière en me prenant le visage à deux mains complètement émerveillé.

Bruce- Ta  tenue te fait un cul superbe
Et me fait dresser mon Brucie Jr pour te saluer comme la plus bandante de Paris

Je la pousse vers la chaise pour qu’elle s’asseye et qu’elle puisse profiter du show. Je suis un spectacle de burlesque au complet à moi seul. Je reprends alors l’air de la chanson et je fais les actions du couplet. Un saut périlleux en arrière, je lance deux slips de ma collection dans les airs. Je suis un peu agile quand même avec ma prothèse de merde

Bruce- Personnnne ne fait
Des culbutes comme Bruce
Changer de slip comme Bruce
Personne ne se bat avec son gros marteau comme Bruce
Mais je suis particulière bon pour provoquer des orgasmes

Je réponds alors avec une voix aguicheuse.

Bruce- Brucie c’est le pied!

Je continue à chanter joyeusement tout en gambadant comme une écolière allant à l’école.

Bruce- Depuis que je suis tout petit
Je me branle à chaque matin
Pour bien me réveiller
Mais maintenant que je suis membré comme un taureau
J’ai besoin d’autres mains et tu voudrais m’aideeeer

Personnnnnnnne
Ne blague comme Bruce
Ou provoque comme Bruce
Personne n’a un si gros égo que Bruce
Personne ne dispose d’un si gros zizi que Bruce

Je suis tout ça et même plusssssssssssssssss!

Je finis alors en levant les mains au ciel et en tournant sur moi-même. Je suis flamboyant et merveilleux. Ensuite je m’assoie à mon tour et lui fait un sourire ravageur.

Bruce- Bruce est mon nom véritable... Je le dis qu'à ceux que j'adore littéralement. Alors ma mutante favorite. J’ai entendu dire que tu peux faire des frictions du tonnerre? Ça te dit qu’on essaie pour allumer des feux de jouissances.

Je balance mon masque pour l’embrasser avec fourgue alors que mes mains gantés caressent ses formes dangereusement excitante.

Chanson qui joue du cellulaire:

Je rigole quand Bruce me sort que ça contient de la vitamine B parce que c’est vrai, ça contient de la vitamine B12 et de la vitamine C aussi, je m’étais renseignée à Vegas où j’avais déjà préféré "boire les gosses" plutôt que de prendre le risque de tomber enceinte et là, en pleine fin du monde, ça n’est clairement pas le moment ! Après peut-être, genre si on survit et qu’il n’y a plus de zombies et qu’il faut repeupler le monde mais pour le moment, avoir un gros ventre ça empêche de courir ! Ouais donc, c’est vitaminé et c’est ce que j’appelle joindre l’utile à l’agréable ou la cerise sur le gâteau ou la goutte qui fait plaisir sur le gland qui fait plaisir. J’imagine si des coincés sur cul assistaient à nos débats, à Bruce et moi, comment qu’ils seraient choqués ! Je l’écris au masculin mais autant les nanas que les gus, ben qu’ils aillent s’asseoir sur un cactus et un gros, avec tout ça !

Qu’ils aillent se faire foutre !

Mais il n’y a pas d’espions ici, pas de voyeurs, pas de zombies. Bruce évoque alors un survivant qui s'appelle aussi Robert et à sa description, je crois bien qu'on cause du même.

"Un colosse prénommé Robert, c'est mon pote ouais."

Bruce me fait ensuite un numéro qui ne peut que me ravir ! Ca n’est pas tout ça pour ça ! C’est tout ça pour moi ! Je le siffle, je l’applaudis et je fais tourner un string sous l’euphorie du moment.

"Mon héros !"

Je lui dis avant de savourer notre baiser, de jouer avec sa langue en sentant ses mains courir sur mon corps et me dénuder et bientôt nous ne faisons à nouveau qu’un sauf que je le chevauche à nouveau et c’est la chevauchée sauvage, c’est le cas de le dire ! Et quand je sens qu’il va venir, après mon orgasme, chose promise et tout, je me retire pour mieux déguster la cuvée Bruce ou Brucie ? Qu’importe, je le bois avec une gourmandise qui doit lui faire plaisir avant de revenir à sa bouche et de lui faire "The french kiss" !

"On devrait se reposer un peu parce que j’ai une envie qui va demander un tout petit peu de prépa, de zombies à dégommer mais ça vaudra le coup !"

Le tout dit avec une malice qui devrait exciter sa curiosité puis l’exciter tout court !

Spoiler: