Depuis quelques jours le texan si droit dans ses bottes avait remarquer un changement subtil chez sa blonde compagne. La morosité, l’énervement et surtout l’épuisement semblait avoir fait un ravage psychologique chez celle qui était devenu le centre de l’univers pour le cowboy au palpitant d’or. Leurs longues discussions s’étaient tari comme un ruisseau sous la chaleur de sa fatigue quotidienne. Quelquefois William soupçonnait que Teddy esquivait ses étreintes comme si elle ne désirait plus l’homme issue autant du noble Texas et de la fière tribu Navajo. Ce qui irritait et blessait autant celui qui se tenait coi et indulgent. La scientifique s’entrainait maintenant avec des militaires, des techniques universelles et de base que le vétéran connaissait intimement. Alors pourquoi que la pétillante demoiselle jetait son dévolu sur les virils hommes et non sur le vieux briscard. Peut-être que William n’occupait plus sa place privilégier. Aussi la disparition du paternel retrouver de la jeune femme troublait encore plus celle-ci. C’était toutes ces raisons qui poussaient le viril et musculeux homme au regard d’ambres si captivant de fourbir armes et équipements pour une expédition en solo. Une mission de recherche en enfer pour ramener le sourire à celle qu’il aimait avec une si grande intensité. Donc comme d’habitude depuis des jours le cowboy avait accompagné Rita une collègue à son lieu de vie qui était à un jet de pierre de la chambre commune. La militaire française aurait pu mourir lors de l’évacuation, sentant les doigts ressemblant à des ergots tranchants des wendigos s’infiltrer dans sa chevelure flamboyante. Elle avait vu littéralement le visage grimaçant de joie perfide de la Faucheuse s’apprêter à trancher le filin de son existence avec sa faux aiguiser. Hors comme un héros des temps moderne, le pistolero de l’apocalypse avait surgit du ventre du véhicule de fuite pour ventiler avec une précision presque surnaturelle l’ancestrale Colt familiale. Six détonations et autant de parodie de non-vie s’écroulèrent au sol. Saisissant la main de la militaire, William l’avait littéralement arraché de la perdition éternelle. Mais la Française voulait remercier son héros autre que par des mots, désirant lui exprimer sa gratitude de manière plus physique. Mais le cœur et l’âme du texan était offert à une jeune femme qui n’était guère sûre de ses sentiments. Donc le viril homme n’avait aucunement décelé les approches sentimentales de sa collègue qui tenait bon. Tentatives que la blonde percevait sans aucune difficulté.
S’assoyant dans le vieux fauteuil, nettoyant le colt ancestral avec une dévotion presque religieuse, le texan attendit que la belle arrive fourbu comme à son habitude. Le repas mijotait doucement, laissant une alléchante arôme se répandre dans l’atmosphère. Quand la porte s’ouvrit sur la scientifique exténuer, le vieux briscard équiper pour la survie et armé comme les plus grandes légendes de l’ouest. Se levant respectueusement, un mince sourire écorchant ses lippes charnues, l’ancien ingénieur de combat hocha la tête. Cette voix si rauque et chaude qui rappelait la démarche chaloupant d’un mustang au pas se leva alors dans les airs.
William- Welcome darling. Le repas est fait. Tu pourras te reposer. J’aimerais que tu sois en forme à mon retour.
Le texan pouvait sentir l’approche de tant de questions qui se bousculaient autant dans l’esprit que sur les lèvres sensuelles de la belle. Donc comme tout texan qui se respecte, il prit le taureau par les cornes pour devancer la marée inquisitrice.
William- Tu te fais un sang d’encre pour ton père. Ça perturbe ton sommeil et je suis inquiet pour toi. J’ai essayé de discuter avec toi, mais la grogne était trop forte et surtout la fatigue avec les entrainements.
Ouvrant son calepin il montra une carte des arrondissements de Paris. Des cercles étaient éparpiller ça et là.
William- Ce sont des groupes de rescapés repérer par les éclaireurs. Je vais aller voir si ton père est là. Tu vois avec son bagage il est précieux pour ces gens. En plus il est aussi fort que toi et désire te revoir comme toi tu veux. Te savoir ici va me donner la force de te ramener.
Le cowboy était rendu à un point ou le viril homme se demandait s’il devait l’embrasser ou bien simplement attendre. Connaissant le tempérament volcanique occasionnel de la blonde, il préféra attendre pour voir venir…
Métier : Microbiologiste Multi-compte : Ellie Sandoval Messages : 104 Date d'inscription : 14/03/2022 Localisation Du Personnage : Là où je ne devrais pas être...
Le ton cinglant, sans appel et surtout direct fit hésiter le pistolero de l’apocalypse. Plissant des paupières sous l’effet de surprise, le texan prit une longue respiration pour répondre avec sa franchise et surtout son aplomb qui furent guider par cette voix rauque et chaude qui était sienne.
William- Je vais te le dire… Et je serais seul car le commandement ne veut pas que des gens m’accompagne car c’est trop dangereux comme sortie…
Patiemment et avec délicatesse. Comprenant sans peine que la fatigue ravageait littéralement la scientifique qui semblait à cran, le cowboy expliqua son impression et surtout le pourquoi de cette sortie que son officier répondant jugeait littéralement suicidaire et vouer à l’échec. Mais de nouveau un jet cinglant de mots déroutant et surtout couvant une colère grondante comme le tonnerre éclatant soudainement lors d’une belle journée d’été. Il s’exprima avec son palpitant si amoureux d’elle, si fort de cette tendresse qui lui donner toujours sans compter alors qu’elle semblait de plus en plus éloigner. Mais la suite des accusations de la magnifique blonde fit serrer les dents de fureur de William à s’en faire sauter l’émail dessus. Il encaissa sans broncher les remords et la colère tout en rongeant son frein, chassant son côté revanchard et sans merci de ses origines texanes qui tempêtèrent pour réclamer justice. Quand elle eut fini, il enleva son stetson pour libérer sa chevelure blonde comme les blé parsemer par la neige alors qu’il tremblait d’une juste colère. Alors le ton froid et empreint d’une fureur à peine contenu le fier homme musculeux s’exprima. On pouvait sentir aussi le désarroi et la peine d’avoir été juger de la sorte.
William- Pourquoi quoi en fait? Pourquoi ne pas m’en avoir parler et tout doutes auraient été dissiper à l’instant.
Il se désengagea alors et recula de quelques pas pour permettre aux deux de prendre de grandes respirations. Lançant de frustration son chapeau tant aimer sur le lit froid de l’ardeur leurs ébats depuis quelques temps, l’ancien ingénieur de combat parla avec les accents d’honnêteté qu’il prouvait depuis toujours.
William- Rita est une collègue et une amie… qui préfère la complicité des femmes et non des hommes. Elle voulait oui me remercier de l’avoir tirer de l’enfer, chose que j’aurai fait pour n’importe qui, mais j’ai refusé ses avances. Alors elle m’a proposé de t’inclure dans une sorte de ménage à trois… Je t’avoue que je suis égoïste car je ne veux pas te partager avec personne…
Levant alors son regard ambré qui donnait un frisson de honte et de souffrance, l’homme viril et musculeux rajouta doucement.
William- C’est normal qu’on s’entende bien vu qu’à part toi elle est une des seules qui comprend parfaitement l’anglais. Il n’y a que toi qui peut ressentir une sorte de jalousie vu que par le passé tu as été trompé? Je vais d’annoncer quelque chose qui te fera un choc Théodora… Je suis fidèle quand j’aime une femme et même la plus grande séductrice ne pourra me détourner de celle que j’aime…
On voyait la souffrance et le désarroi gagner les traits taillés à la serpe de cet âme si forte et respectueuse.
William- Marie pendant son calvaire m’a demandé, prier et même ordonner de partir me trouver une autre femme à aimer alors que la maladie la rongeait… J’avais sa bénédiction… Elle ne voulait pas me faire souffrir à cause de sa déchéance physique qui l’entrainait vers son retour au territoire de chasse des grands Esprits…
Il se pointa alors le torse, la région de son palpitant qui avait littéralement souffert le martyre et son regard d’ambre s’était brouillé de larmes trop longtemps contenues.
William- Tu sais quoi… Je suis resté auprès de mon amour juste à son dernier souffle et c’est seulement là que j’ai accepter qu’elle me redonne mon cœur que je lui avais offert lors de notre union. Cœur que je t’ai offert et que pour rien au monde ne résonnera pour une autre personne que toi.
Il prit alors une immense respiration.
William- Te savoir avec tout ces soldats jeunes, vigoureux et beaux me fait mal. Mais je te fais une confiance aveugle… Je sais qu’on n’est en rien un couple, juste des amis. Mais depuis des nuits tu ne cherche plus le réconfort de mes bras… Je crois simplement que je suis rendu trop vieux, dépasser… Et je veux simplement ton bonheur… Donc j’allais chercher ton père et même si je mourrais en accomplissant cette tâche, j’aurai souri au Grand Esprit car tu serais heureuse…
Reprenant alors son stetson et l’ajustant sur sa tête, le viril et courageux homme eut un triste sourire.
William- Je t’aime Darling, plus que ma vie elle-même… Dommage que tu ne peux me faire confiance… Qui sait je pourrais retrouver mon mustang lors de mon errance? Au moins tu es en sécurité et je ne serais plus une cause de chagrin ou de colère…
Théodora M. Sullivan
Métier : Microbiologiste Multi-compte : Ellie Sandoval Messages : 104 Date d'inscription : 14/03/2022 Localisation Du Personnage : Là où je ne devrais pas être...
Les murs de Versailles tremblèrent sur leurs fondations alors que le couple qui s’aimaient encore plus que les plus magnifiques contes de romances qui furent inspirer en ces lieux. Chacun était excéder, transit par la peur de perdre l’être adoré. Frayeur encore plus grande que les horreurs chancelantes avides de chair humaine qui erraient dans leur quête pour assouvir une faim autant démoniaque qu’inépuisable. Des larmes de rages roulèrent tantôt sur le duveté rosée de porcelaine de la scientifique et ensuite sur les joues crevassées par l’âge et le soleil rustre du Texas. Les voix s’éraillent par l’épuisement et tout à coup une accalmie dans l’œil du cyclone de la jalousie. William senti sa mâchoire virile subir abruptement la pleine gravité terrestre alors que le regard d’ambre si lumineux se brouilla de larmes et de soulagement. Les plus beaux mots de l’univers avaient enfin franchi les exquises lèvres de la belle scientifique sous le coup de la peur de perdre le texan. Comprenant subitement qu’elle avait laisser tomber ses véritables sentiments, la magnificence se placarda la bouche de cette main gracile. Courageusement elle essaya de reprendre le débat. Mais dès les premières consommes prononcer, le pistolero de l’apocalypse laissa choir son vieux sac à dos de cuir qui avait connu autant la rigueur du soleil du Texas que l’enfer du devoir envers son pays. Le bruit mat résonna dans le silence qui venait de chuter subitement. Le regard de l’homme se perdit dans les yeux merveilleux de la belle et il s’avança pour l’enserrer avec une tendresse presque surnaturelle. Collant son front sur celui de Teddy. Elle pouvait déceler tout l’amour, l’admiration et surtout la complicité qu’il avait pour elle seule. La voix rauque, chaude et trainante si poétique se leva avec douceur dans leur chambre.
William- Il n’y a que toi que je vois Darling. Même pas une horde de Wendigo, Rita ou même la mort ne sauront me détourner de la femme que j’ai offert mon cœur lors de notre toute première rencontre. Les Esprits m’en soient témoin, je t’ai aimé à l’instant où mon regard c’est posé sur ton âme si unique et merveilleuse. Merci d'apaiser mon âme avec tes mots que je désirais entendre depuis si longtemps...
Posant ses mains calleuses sur les joues de porcelaine de son aimée, le viril homme du Texas utilisa ses pouces pour chasser les larmes de colère pour y apporter réconfort et tendresse.
William- Quelquefois je suis long à la détente. Je croyais avoir mis les choses au clair avec elle. Peut-être qu’elle n’a pas apprécier que je lui dise que tu étais mon univers, ma raison de continuer de me battre jour après jour ou simplement de me lever pour affronter une journée exténuante… Juste pour apprécier les instants passés près de toi.
Il hocha la tête avec douceur avant de continuer.
William- Demain je lui dis qu’on ne se voit plus, que je vais changer de quart pour l’éviter. Et si elle ose encore de faire du mal autant par geste que par parole, je vais réagir avec ma colère légitime de la hargne texane qui me coule dans mes veines.
Alors les lippes charnues se déposèrent sur les lèvres sensuelles de la demoiselle pour combler ce besoin de la sentir près de lui. D’entendre leurs cœurs battre en symbiose et d’un même amour enfin dévoilé. De construire cet Eden avec leur tendresse ou rien ne peut les atteindre. Que le temps glisse entre leurs doigts selon leur envie et leur désir. D’empêcher littéralement le globe de tourner sur son axe et d’avancer sur son orbite céleste. Quand le manque d’air fit son œuvre, le cowboy eut un petit sourire franc et honnête.
William- Je t’aime Théodora Sullivan et même Dieu ou le Diable ne pourra changer ce fait. Mon monde c’est toi, tu es le centre de mon univers et simplement tu me possède autant de cœur que d’esprit.
Il planta son regard d’ambre chatoyant dans les yeux envoutant de la belle blonde.
William- Je m’excuse de tes souffrances… Je ne veux pas te faire souffrir… Mais fais-moi confiance comme je te fais confiance. Et tu as toujours eu cette force que tu semble découvrir, cette détermination qui me fais chavirer et d’aimer à chaque jour un peu plus…
Théodora M. Sullivan
Métier : Microbiologiste Multi-compte : Ellie Sandoval Messages : 104 Date d'inscription : 14/03/2022 Localisation Du Personnage : Là où je ne devrais pas être...
Les paroles de la superbe blonde avait littéralement fait vaciller les fortifications de résolution du Texan. Tel le tristement célèbre Alamo, le cowboy au regard d’ambre si pur rendait littéralement les armes en laissant tomber son paquetage qui le suivait depuis des décennies. Un sourire éclatant à la dentition scintillante qui aurait rendu fou de jalousie n’importe quel dentiste se produisit alors sur les traits virils et intransigeants de l’homme qui semblait défier autant le temps que la nature. Attirant à lui la forme aussi parfaite que sensuelle de la scientifique dans une étreinte d’une tendresse parfaite, Teddy pouvait sentir que le palpitant si doux du pistolero de l’apocalypse semblait trépigner par l’aveu si ardemment désiré. Leur front s’unir, leurs âmes se touchèrent et chavirèrent brièvement sous la joie de ce moment qui sera gravé dans le marbre de la mémoire de l’ancien ingénieur de combat pour l’éternité. Une seconde chance à l’amour, un coup de foudre enfin réciproque et désirer avec la même chaleur. Les mots à la fois sincère et authentique du dernier cowboy honorable de Paris franchirent les lippes charnues. Une évidence pour le viril homme musculeux, une certitude même, mais surtout un appel à l’amour pour rassurer une fois de plus la scientifique. Hochant la tête en comprenant et acceptant surtout la déclaration de la belle, le texan eut un sourire compatissant et apaisant.
William- Écoute-moi Darling… Je ne partirais jamais loin de toi. Et même si je devais être emporté par la mort, je vais demander au Grand Esprit de pouvoir rester auprès de toi pour l’éternité.
Il laissa sa main rugueuse se transformer en douce caresse sur la joue de porcelaine de la britannique alors qu’elle massa tendrement l’arrière de son crâne.
William- Oui je suis plus habituer au côté direct et sans ambages de ma famille et des militaires. Les jeux de séduction et de manipulation me sont étrangers. En fait j’aime de manière inconditionnelle et surtout exclusif. Car les sentiments de l’être aimer sont égaux ou sinon plus important que les miens. Tu es ma priorité de ma vie Théodora.
Après l’avoir rassuré par le changement d’horaire et d’équipe pour éviter au maximum celle qui perturbait tant sa raison de combattre jour après jour. Un long baiser chargé d’un amour infini, d’une tendresse digne d’une ballade country et d’une promesse indestructible fut échangé. De la véritable émotion et de l’amour sincère venait contrebalancer l’horreur absolue et le chaos de cette époque trouble. La promesse d’amour fit un bien si immense au cowboy qu’il en sourit de soulagement, son regard ambré étincelant d’un respect et d’une romance uniquement tournée vers l’élue de son palpitant. Docilement, comme par jeu de dominance dont il prenait de plus en plus le goût, le viril homme musculeux laissa la jeune femme lui enlever la veste de cuir qui semblait aucunement stéréotypé sur le texan. Souriant tendrement le texan enleva son ceinturon orner de ce holster où reposait l’un de ses deux SAA Colt single action. Le second souvenir familial fut égaré dans la fuite de l’artiste vers la survie. Sous l’injonction il s’assit confortablement.
William- Moi tu ne m’étonne guère, car j’ai vu la femme que tu es réellement. Tu sais pourquoi je désirais retrouver ton père?
Bouffant d’un rire bon enfant alors qu’il enserrait la taille de la blonde pour la lover contre son torse avenant et apaisant, le texan hocha la tête pour acquiescer.
William- Maintenant que tu m’as dit les plus beaux mots de la création, je te crois parfaitement. Tout à coup j’adore la science pour cette étude… Personnellement j’ai vécu et je sais ce que je veux, ce que j’aime et avec qui j’aimerais passer le reste de ma vie. Maintenant à moi de parler… Mais avant…
Un long baiser d’un amour et d’une fougue si magnifique fut échanger alors que les mains calleuses du texan incendiait les hanches et le dos en prodiguant des caresses velouté. Quand le manque d’air se fit sentir, il colla son front à celui de la scientifique.
William- Premièrement je voulais que tu as ton père près de toi… Mais je voulais lui demander l’autorisation de te fiancer et que plus tard on puise se marier… En secret et pour te permettre d’avoir tout le temps du monde…
Sortant de la poche de sa chemise les alliances si symboliques pour lui, le blondinet permit au noble métal de scintiller à la lueur de l’astre du jour.
William- J’aimerais beaucoup qu’on se fiance, qu’on marque cette journée d’une pierre blanche comme étant une étape importante pour chacun de nous.
Rigolant doucement il ajouta.
William- Je devrais remercier Rita pour son œuvre car sinon nous ne serions pas encore avouer.
Il prit un air solennel et si sérieux que la dureté de son visage n’était l’égale de sa virilité texane qui rayonnait de l’être du cowboy.
William- Teddy tu acceptes que je te passe cet anneau, ce symbole d’amour infini universel? Que plus tard tu acceptes de venir au ranch familial que je te présente au mien comme étant ma destinée? Qu’on se marie sous le vieux chêne dont les Ward ont convoler en juste noce?
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