Confessions très intimes [Bruce O’Neil][WARNING, 18+, SEX INTENTIONS]

Il y a des promesses qu’il vaut mieux qu’on les tienne genre dans la foulée qu’on les a dites, les promesses. Action, réaction et mes paroles elles ont fait partie et pas qu’un peu ! On a les costumes et de quoi attirer les zombies d’une rue dans un endroit précis et loin de la rue donc à partir de là, c’est assez facile parce que ouais, mon idée implique de quitter le penthouse de Bruce. Les zombies, on les éloigne précisément d’une petite paroisse, parce que plus c’est petit, plus c’est moins risqué d’y trouver des "Michael Jackson" isolés, comme dirait Bruce. Une fois la meute locale attirée donc loin de nous par un fracas provoqué à retardement par nos soins, on a que deux zombies à buter, ça va. Ceci fait, on barricade l’entrée et c’est du solide. Puis déguisée en bourgeoise à tendance SM plus ou moins discrète mais qui ferait quand même sa midinette, je me retrouve dans l’endroit le plus important à nos yeux de la paroisse abandonnée, le confessionnal avec Bruce déguisé en curé. Bah, logique vues les circonstances.

"Pardonnez-moi mon père car j’ai pêché. Je ne me suis pas confessée depuis plus d’un an."

Evidemment, c’est un préambule, ça plante le décor. J’enchaîne.

"Je pensais que la conviction de feu mon mari était l’une des plus imposantes en ce bas monde mais mon père, celle de ce mâle en rut qui m’a sauvée la vie du mal … Il m’a donc sauvée et emmenée dans un lieu de débauche … Et là … Et là … Mais vous préférez peut-être que j’en reste là, mon père ... A moins que vous ayez des questions ?"

Je pose la question dans un souffle, seulement séparée de Bruce par une grille très fine et qu’il pourrait retirer à tout moment, je crois bien. En principe un homme d’église ne cède évidemment pas à la tentation, en tout cas pas en plein confessionnal mais je sens que Bruce va se faire un plaisir de verser avec moi dans la confession très intime dans pas longtemps, la question est juste de savoir combien de temps il va tenir, quels détails salaces il va m’amener à lui "confesser" avant qu’on ne fasse à nouveau plus qu’un, lui et moi !

On se repose une partie de la nuit. Disons ça fait foutrement du bien d’avoir un joli brin de femme qui partage ma folie et mes goûts qui dort paisiblement dans mes bras. Tendrement je lui caresse sa chevelure à la garçonne, la serre délicatement et selon ce que je vois elle semble apaiser par ma virilité de licorne galopante. Donc on dort et nos batteries autant sexuelles que physiques sont au beau fixe. Maintenant elle m’entraine vers un lieu inconnu avec des costumes dans un sac. J’adore et ça me fait relever le Brucie Jr qui est comme une Dora énerver de découvrir de nouveau sa contrée humide et sensuel. On doit éloigner les Michael Jackson d’une église et j’utilise le vieux truc du réveil pour faire un appât sonore à retardement. Tout fonctionne et on joue à taper la marmottes pourris avec deux anciens membres du clergé qui ont surement bouffer les enfants de chœurs autant figurés que de manière impropre. On barricade le tout et on se sépare pour mettre nos costumes. Me revoilà en padré et ça me rappelle quand j’ai vu ma perle d’orient. Mais voir ma sexy amie déguiser en bourgeoise ayant la tendance à user de la cravache et ayant quelques pièces de cuirs annonciateur sera le signe de damnation éternelle. On pénètre dans le confessionnal et aussitôt la voix torride et sensuelle de ma maitresse du moment se lève dans le silence presque sain de l’endroit. Sainteté qui sera pervertie foi de Brucie Jr!

Manon-"Pardonnez-moi mon père car j’ai pêché. Je ne me suis pas confessée depuis plus d’un an."

L’introduction est croustillante et déjà je me fais violence pour ne pas faire un trou du bonheur pour permettre à Brucie Jr de faire un sexy coucou. Prenant la voix grave et solennel à deux balles des pêcheurs numéro un de la chrétienté, les prêtres ont trop souvent abusé de leurs pouvoirs et des enfants de chœur. Je ne dis pas combien j’en ai flingué de ces pédobear en puissance car je n’ai pas toute la nuit pour les compter.

Bruce- Voilà trop longtemps mon enfant que vous vous esquivez la confession. La sentence ne sera pas bonbon, mais des plus facile à avaler toutefois.

Je reste dans mon personnage malgré le fait que déjà dans ma soutane il y a une tente puissante de former. Ma partenaire de jeu sait m’allumer complètement.

Manon- "Je pensais que la conviction de feu mon mari était l’une des plus imposantes en ce bas monde mais mon père, celle de ce mâle en rut qui m’a sauvée la vie du mal … Il m’a donc sauvée et emmenée dans un lieu de débauche … Et là … Et là … Mais vous préférez peut-être que j’en reste là, mon père ... A moins que vous ayez des questions ?"

À la fin son souffle m’indique qu’elle veut continuer dans l’échange oral et je suis partant. Prenant un ton alarmiste, je lui réponds avec un sourire vicelard qu’elle peut certainement voir par la fenêtre tamisée du confessionnal.

Bruce- Feu votre mari était surement combler par vous mon enfant. Mais comme il est dans l’incapacité de vous faire voyager vers le pays du Seigneur par l’extase de la chair, je me doute que vous êtes laissée tenter par ce démon qui me semble ma foi si virile. Le nombre de détails que vous allez confesser sauvera votre âme mon enfant.

J’ai emporté des hosties et du vin de messe pour mieux savourer le spectacle, mais bon joueur je rajoute alors,

Bruce- Si votre gossier se retrouve sec, une bouteille de vin et de bière que j’ai confisquer à un pénitent se trouve sous votre siège. Et n’oublier pas les voies du Seigneur sont impénétrable, mais qui sait ce qui se produira plus tard…

Je suis heureux de moi tout à coup…

Comment dire, je me sens aux anges en écoutant mon hardi partenaire jouer le rôle du confesseur à sa façon mais au final en l’incarnant fort bien, tout en le jouant à sa façon ! Ce Bruce alors ! Je sens qu’il a hâte d’entendre ma confession et tout sourire, je m’humecte les lèvres avec la langue avant de me dire qu’un peu de messe pourrait être bienvenu par la suite, en effet. Après avoir fait un peu le tri dans mes pensées, je reprends donc la parole d’une voix sensuelle mais aussi sur un ton qui se veut faussement coupable. C’est pour mieux t’exciter dirait le grand méchant loup mais ça serait déplacé ici.

"Cet homme m’a fait des choses … Des choses que feu mon mari ne m’aurait jamais faite … Rien que son regard quand il s’est penché sur moi, un regard d’une telle avidité, d’un tel désir que je crois bien avoir ressenti les premiers signes humides d’une femme fontaine ..."

Je m’interromps quelques instants et je crois bien entendre sa respiration et à sa respiration, je ne laisse pas mon interlocuteur indifférent, or ce n’est bien sur qu’un début !

"Je ne pouvais plus bouger sous ce regard, comme hypnotisée, alors il tendait ses mains et malgré le tissu de ma robe, j’avais l’impression qu’elles glissaient sur ma chair. Puis il les passait sous mon vêtement, sous mes sous-vêtements tandis que ces lèvres adhéraient aux miennes et sa langue s’enroulait autour de la mienne en une danse qui me faisait frémir de plaisir ..."

Ma voix trahit alors évidemment volontairement un émoi certain tandis que je poursuis :

"Il m’effeuillait alors et je faisais de même pour lui, nous nous dénudions en nous embrassant, en nous caressant mutuellement puis je me souvenais que ce que nous étions en train de faire, c’était mal alors je tentais de le repousser mais avec trop peu de force mon père, si peu de force qu’il n’avait aucun mal à amener son visage, et surtout sa bouche entre mes cuisses qu’il venait d’écarter et là, mon père, et là, ce qu’il m’a fait avec sa langue ..."

Et je concluais pour le moment d’une toute petite voix timide :

"Désirez-vous que je continue, mon père ?"

Mon petit doigt me dit que oui, ce même petit doigt qui est à deux doigts d’interagir avec mon intimité ! Ben quoi, ça donnerait plus de corps à ma confession. Une confession que je fais à ma façon en somme !

Je rigole sous ma soutane vue que je suis le père confesseur et je pourrais entendre la confession de mon amante qui semble m’avoir dans la peau autant que mon Brucie Jr l’adore. Je sais c’est une petite jeune, mais rendu à la fin du monde autant laisser les putains de conventions de côté pour vivre le moment présent non. Ma torride partenaire prend son temps et disons que, ça énerve de frustration le Brucie. Alors sa voix sensuelle et au timbre d’innocence s’élève. Je suis littéralement pendu à ses lèvres et plus tard c’est sûr que je vais allez lui embrasser sa féminité ruisselante car je sens qu’elle est totalement à point pour un orgasme tout comme moi. Déjà j’ai des vapeurs et ma respiration se fait rauque et lubrique comme un vieil oncle cochon. À sa première déclaration, je ne peux m’empêcher de lui demander une spécification des plus rigolotes.

Bruce- Donc c’est une sorte messie tant attendu de l’orgasme si je vous comprends bien mon enfant… Quand vous parlez de femme fontaine, ça ne risque pas de transformer le tout en vapeur car vous avez des immenses chaleurs?

Bizarrement plus que ça avance plus que je m’émoustille et je me fais violence de ne pas défoncer le confessionnal pour lui offrir la rédemption la plus charnel qui soit. Je ne peux que soupirer autant de frustration que de désir quand elle me demande de continuer ou non. Je grogne doucement comme si le démon de la luxure le plus sournois aspirait à prendre possession de mon corps et de mon fruit totalement offert à tous.

Bruce- Ma fille je vous somme de vous repentir de vos pêchers en vous confessant tout en profondeur. Mais le plaisir de la chair m’affaibli grandement. Je ne suis pas comme notre sauveur sur la croix en haut de vous. Je ne suis pas fait en bois et je n’ai pas sa vue plongeante sur vos monts et vallée si tentatrice…

Je dois me saisir le Brucie Jr à deux mains pour l’empêcher de tout casser pour rejoindre ma pénitente.

Bruce- Vous savez que vous devrez vous soulager de tous ces pêchers ma fille? Dans un autre sens Dieu est amour et plaisir… Donc je vais me pencher sur votre cas à la fin de votre confession… Mais je peux vous certifier si une ouaille pourra me défroquer, c’est bien vous en toute honnêteté.

Je prends une grande respiration et s’étire au maximum mon col romain pour la faire rire. Car je sais qu’elle me zieute par le grillage.

Bruce- Nous allons pénétrer ensemble dans le cœur de cette affaire ma fille. Je vais tout faire pour faire jouir votre âme d’une aura de pureté renouvelée…

Bordel de merde j’attend juste son signal pour foutre en l’air le confessionnal et qu’on ne fasse qu’un!

L’association des fluides émis par une femme dite fontaine et de la chaleur provoquée par l’émoi sexuel m’amuse beaucoup mais ses paroles suivantes ne me font pas oublier pour quelle raison nous nous trouvons ici et maintenant, pourquoi on s’est donnés du mal pour vider de ses occupants plus vraiment en vie cette petite paroisse et pour quelle raison on l’a sécurisée le temps de faire justement ce qu’on est venus faire ici, c’est-à-dire pour s’envoyer en l’air, pour aller au septième ciel avec "une petite mort" à la clef et j’aurais peut-être du penser aux guillemets pour les expressions précédents, à savoir "s’envoyer en l’air" et "aller au septième ciel". Donc Bruce ne perd pas de vue non plus cet objectif dans le rôle du curé défroqué.

"Bien dit, mon père et j’approuve tellement votre démarche. Alors je continue. Ses mains glissaient sur mon corps, ses lèvres sur les miennes, dans mon cou … Sa langue glissant sur mes seins, sur mon ventre, jusqu’à mon intimité, jusqu’à dévorer ma forêt noire ..."

En temps ordinaire, c’est-à-dire avant ce merdier, j’avais plutôt "un bosquet" mais quand on survit à une invasion zombique, on n’a plus vraiment les moyens de se raser le minou alors c’est devenu une forêt noire parce que je suis en effet une vraie brune. J’espère que Bruce aime aussi ça, quand c’est poilu mais à priori il aime clairement. En tout cas, ma respiration devient saccadée et il
doit comprendre que je ne reste pas inactive avec mes mains et j’imagine que ça doit l’exciter un maximum tandis que je poursuis.

"Et quand il s’est enfoncé en moi, on eut dit Moïse séparant … Les flots et comme je mouillais et pas qu’un peu, comme je mouillais un maximum de désir, je la sentais passer, sa virilité, je me cambrais de plaisir et il me prenait encore, encore et encore et venez me prendre, mon père, qu’on approfondisse ma confession, je vous en prie !"

Alors je pourrais continuer encore un peu "pour faire monter la température" mais j’ai comme l’impression que Bruce attend mon signal pour venir faire la bête à deux dos avec moi alors là c’est le signal qu’il ne pourra que comprendre et moi aussi je dois dire que la situation m’a bien chauffée les sens et j’ai hâte qu’il vienne me combler dans tous les sens du terme !

Bordel de merde je ne croyais pas que jouer au téléphone rose dans un confessionnal friqué en curé pourrait être si excitant. Je sais que Manon est un peu jeune, mais j’adore sa vigueur et surtout son enthousiasme. En fait je n’ai connu qu’une autre femme qui était torride au li et c’était ma belle Zayna. Sauf elle c’était faire l’amour avec passion et tendresse. Avec ma badass c’est de la fougue et de l’évasion. Mais comme ma belle est partie prendre soin de nos filles au paradis car je n’ai pu rien foutre pour les protéger, j’ai vengé leurs morts une bonne centaine de fois et je trouve que c’est foutrement peu, je me permets d’être volage. Et c’est juste de l’amusement, du sexe et d’oublier la merde qu’est devenu la vie avec ma super copine qui adore se déguiser comme moi. Je l’entends gémir doucement, mettant des intonations perverses et sensuelles qui me fait mal à mon Brucie Jr. En vérité je suis bandé comme Starbucks le reproducteur alpha en début de journée. Je l’imagine utiliser ses doigts tentateurs pour augmenter le plaisir et je dis alors avec un certain empressement dans la voix.

Bruce- Vous êtes une tentatrice mon enfant… J’ai juré l’abstinence lors de mon séminaire… Mais je peux venir vous aider à sauvegarder votre âme de la damnation et jouir de la vie éternelle…

Je passe littéralement par la mince cloison de bois. Ça aurait pris de temps de faire le tour. Déjà je suis défroqué et ma foi bien en main. Je lui fais un sourire conquis et mon regard d’azur se fait désapprobateur.

Bruce- Par ce qui est saint, et j’adore vos seins ma fille en passant, j’ai perdu mon pantalon dans l’espoir d’arriver à temps pour votre rédemption. Mais vais-je briser mes saints vœux?

Je la joue mélodramatique à deux balles et je regarde le sauveur sur sa croix de bois.

Bruce- Jésus aide-moi à résister à la tentation.

Je me décale près de l’objet de culte et prend une voix autoritaire et complètement rigolote.

Bruce- Espèce de connard je suis pris sur cette putain de croix… Détache-moi et je vais lui faire oublier son amant de merde!

Je prends une pose réflective totalement gâcher par la puissance de mon Brucie Jr dressé.

Bruce- Donc si je laisse mon immense bâton cantoral dans ses mains et lui laisser ma sainte sueur se mélanger à la sienne et la semence du St-Esprit sera communicative?

J’adore le look princesse victorienne dominatrice et je sens qu’on va s’éclater. Je la lève alors avec fougue et la planque au mur. Je fais mine de lutter un instant pour augmenter le désir qui est palpable et je l’embrasse avec une telle passion que jamais personne ne doit l’avoir embrassé de la sorte.

Bruce- Tenez et manger s’en tous car voici mon corps livrer pour vous…

Je lui embrasse le cou en lui libérant de mes mains impatientes sa poitrine de son corset.

Bruce- Laissez-moi nous guider vers l’enfer de la lubricité absolue et qu’on se propulse ensuite au septième ciel par le biais d’orgasmes salvateurs!

Je ne me souviens plus trop de l’âge de Bruce et quand je pense, plutôt que dire, que je ne m’en souviens "plus trop", ça veut dire, ca signifie que je ne me souviens pas exactement de son âge. Je me souviens qu’il est presque quadragénaire mais "presque", c’est flou dans le sens où ce n’est pas clair, et ce n’est pas clair dans le sens où c’est flou. En gros, ce n’est pas clair parce que c’est flou et c’est flou parce que ce n’est pas clair. Presque, à trois ans près ? A un an près ? Et "au milieu", à deux ans près ? Pas quatre ans près parce que là on ne serait plus dans le presque. Or, comme finalement je n’aurais pas pensé au mot "presque" s’il avait été près des quarante ans à trois ans, je dis, ou plutôt je pense qu’il a entre trente-huit et trente-neuf ans. Autant dire que le tombeur ne fait pas son âge, qu’il est plus que bien conservé pour son âge et qu’il a une expérience sexuelle largement supérieure à la mienne. Il a du s’envoyer en l’air avec plein de femmes alors que moi j’en suis à deux amants, lui compris ! Je me rattrape néanmoins certainement avec la fougue de ma jeunesse, ma fantaisie et mon grain de folie qui ont l’air de plaire à Bruce et pas qu’un peu. Ainsi ce petit jeu érotique nous excite manifestement bien plus que ce que nous avions prévu et évidemment c’est tant mieux !

"Oh mon Dieu, une intervention divine, mais quel retournement de situation !"

Je m’exclame de la sorte avec une surprise non feinte parce que je ne m’attendais vraiment pas à ce que Bruce improvise justement un tel retournement de situation en mimant cette intervention divine en même temps hilarante ! Je ne comprends juste pas pourquoi l’amant de mon récit, soit Bruce hein, soit au final dévalorisé ainsi mais j’imagine que Bruce s’est laissé emporter par sa fougue ! Puis il n’y va pas par quatre chemins, c’est le cas de le redire puisqu’il me rejoint en mettant à mal le confessionnal mais je doute qu’il resserve de sitôt de tout façon ! Je savoure ses caresses et ses baisers, les lui rendant avec la même passion avant de murmurer à son oreille.

"Vous savez ce qu’on dit … Que sucer, c’est pas tromper ..."

Ceci murmuré à son oreille donc, je libère "son bâton cantoral" de sa prison d’étoffes, avant de me mettre à genoux et de lui montrer à quel point je suis doué en langue vivante, très vivante. Le plaisir que je lui procure alors porte un nom mais lequel … Ca a inspiré le titre d’un fil dit culte pour adulte mais lequel … Ah oui !

Gorge profonde !

Evidemment ça pourrait être un prélude mais on a encore un "jeu de rôles" à faire ici après notre premier orgasme donc il vaudrait mieux qu’on passe à la suite après cette fellation et le suçage d’abricot qui devrait suivre !

Bordel de merde de tous les saints en toges de satin en train de nous zieuter sur leurs putains de nuages en train de houer de leur petite harpe perso. Car les seins de ma maîtresse du moment je m’en occuper comme elle adore et je vais incendier ce lieu bénie par les flammes du péché absolue. Je défonce la paroi de bois avec le même entrain que le foutue Starbuck qui est rut et ça s’annonce mouvementer pour notre jeu de rôle des plus comique. Je soulève un sourcil à la façon de The Rock et lui dit avec un sourire salace à souhait qui annonce que son buisson de féminité sera ardant dans pas long.

Bruce- Ma fille la situation ne sera pas la seule à être retourner dans peu de temps. Tu vas avoir le corps béni en ton sein et comme Moise je vais devoir séparer tes eaux.

On s’embrasse et on se caresse avec la fougue et l’ardeur de deux amants qui n’attendaient que ça. Bordel de merde plus jeune et je crois qu’on aurait fait la paire parfaite vu qu’on aurait été des lapins infernales. Rien n’aura résister à nos envies et sûrement qu’on aurait fini en prison pour grossière indécence. À sa phrase murmurer sensuellement mon regard lubrique et d’azur qui doit déclencher des inondations dans les dentelles se pose sur son corps torride avec un appétit féroce.

Bruce- Pour préserver mon vœu de chasteté, je vais suivre la maxime de ne pas parler, regarder ou écouter la succube que tu es... Comme une queue n’a pas de yeux, je peux regarder...

Aussi je plaque une main sur ma bouche et je commence à chanter des cantiques qui ont une très grande prononciation sexuelle. Alors je me souviens de Sexual Religion de Rob Stuart et je me lance dans la nostalgie perverse tout en caressant la chevelure de ma partenaire pour l’encourager à faire la reprise de Gorge Profonde 2, l’odyssée de Brucie Jr.

Bruce- Tell me how do you do the thing that you do to me
Over and over again
I'm addicted to your sexual religion
And I don't feel no shame
Tell me how do you do the thing that you do to me
Over and over again
I'm a helpless disaster in the temple of love
A slave to the pleasure and pain
When you're out on the dance floor
I'm checking your hips
And you let down your hair and your pop those lips
You're a heartbreaker honey and I can't let you go
You drive me out of my mind
And this drug that you're dealing is a powerful stuff
Your loving is working and sometimes not
You're a angel of Eden and an angel of love
And I just can't work you out
Tell me how do you do the thing that you do to me
Over and over again
I'm addicted to your sexual religion
And I don't feel no shame
Tell me how do you do the thing that you do to me
Over and over again
I'm a helpless disaster in the temple of love
A slave to the pleasure and pain
I'm real in deep this time
Can't sleep or eat but I'll be fine


Le plaisir et génial et la jouissance est parfaite. Quand elle réussit à faire cracher ma tête violet gorgée de vitamine B, je me penche à mon tour pour lui passer ses cuisses autour de mon cou.

Bruce- Dieu je suis ton pénitent... Me voilà à genou devant ta plus torride et sublime création pour la louanger...

À mon tour de lui démontrer que je suis démagogue hors pair avec une langue de bois qui sait faire couler la sève. Je la déguste, la dévore, la fait frémir tout en utilisant aussi mes mains pour la caresser de manières aussi noircissure qu’incendiaire. Quand elle est secouer par les orgasmes libérateurs, je me redresse tout en lui parcourant sa poitrine de ma langue salace.

Bruce- J’espère que mon inexpérience de religieux ne vous refroidi point ma fille. Je suis disposer à apprendre avec vous la luxure pour mettre en garde les autres paroissiens...

Bruce est doué. Comment que ce serait inutile de le nier et puis pourquoi le nier ? Il n’y a en effet aucune raison de ne pas en venir à cette conclusion. Bruce est doué, et même très doué. Il faudrait une foultitude … Ca se dit, foultitude ? Il faudrait plein de "très" avant doué pour dire à quel point qu’il est doué, Bruce. Très doué, très très doué, très très très doué … Donc il est doué mais en quoi  qu’on pourra se demander. Parce qu’il est doué en plein de choses mais ça serait pas le moment pour dire qu’il est doué en escrime. Il est doué en langue vivante, très vivante la langue, lui aussi. Si, je suis douée et mon amant me le montre visiblement, sonorement et au niveau du goût également. Il est doué pour nos baisers, quand sa langue se mêle à la mienne, il est doué pour régaler ma bouche du haut mais aussi celle du bas. Et il me fait marrer.

Ca c’est la cerise sur le gâteau.

Sur le cake ? Je ne sais plus. Je ne sais plus où je suis. Il me fait perdre la tête, je caresse sa chevelure en me cambrant de plaisir et je suis au septième ciel dans une version interdite aux moins de dix-huit ans. Je prends mon pied avec sa langue et quand je dis langue, c’est une façon de parler, ou de penser parce qu’il faudrait ajouter "avec sa bouche, avec ses doigts, et la tête ? Alouette" mais je me comprends. Je prends moi aussi mon pied et il a du le voir, l’entendre et le sentir, au niveau du goût. Je reprends mon souffle en l’amenant à goûter à mes lèvres du haut.

Vient la deuxième confession !

Celle-là, on ne serait pas dans une invasion zombique, je ne la ferais pas mais si Dieu existe et qu’il laisse donc mourir ses enfants par milliards, Il ne devrait pas s’offusquer de ce qui suit. La poussière et la poutre hein. Puis si on n’aime pas, on ne regarde pas. Ainsi comme dédouanée par le contexte apocalyptique, je me retrouve quelques minutes plus tard à prier devant l’autel, à genoux pour mieux prier, vêtue d’une tenue de nonne qui je dois dire me moule comme une capote moule une queue, donc paradoxalement sexy ! Quant à Bruce, il a eu toute liberté pour choisir sa propre tenue, et son petit coté également imprévisible doublé de "licorne" devraient rendre la deuxième séance de confession particulièrement excitante !